Mon amour de Lou, tu me manques tellement mon grand et beau chat.. Je t'aime pour toujours...

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8 mars 2024 : Il y a 10 ans !
Mon chat, mon amour,
Comme d'habitude je pense à toi fort, et encore plus à la date de ton départ,
j'ai du mal à supporter malgré les années passées,
Les souvenirs du dernier jour, les moments de bonheurs sont si intenses, si présents,
Alors les 10 ans sont balayés,
L'amour traverse le temps, il est intact mon roi-chat, j'espère que tu es heureux, je t'aime et je t'envoie toute mon affection, mes plus douces pensées, et cet amour, vers les étoiles...

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8 mars 2023,
Je suis là et je t'embrasse,
je ferme les yeux et je te serre fort,
comme si tu étais encore dans mes bras mon grand chat,
je t'aime fort, notre lien est toujours là,
un fil d'amour invisible mais il me relit à toi, à vous,
et mon coeur tout triste sait qu'il a de la chance pour toutes ces années de bonheurs, pour ce cadeau de vous avoir eu auprès de moi...
Tendresse à partager...

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8 mars 2022 / 8 ans !
8 ans sans te voir, un peu dans mes rêves mais on ne peut pas dire que tu fais des excès mon Loulou, tu dois être occupé à jouer, courir, câliner Mouty et aussi Mamie..
8 ans d'absence physique,
365 jours x 8 = 2920 pensées au moins,
puisque je pense à toi bien plus qu'une seule fois chaque journée,
il en sera toujours ainsi,
éternellement dans mon coeur et mon esprit mon roi-chat.
Et toujours ce manque, toujours ce déchirement, toujours des larmes,
heureusement parfois des sourires au souvenir de ce que nous avons vécu,
toujours un merci mon chat, merci d'être venu dans ma vie, je suis heureuse des années passées ensemble avec toi et Mouty,
juste : j'en aurais voulu un peu plus !
Je t'aime, toi, et vous.
Tendresse...

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Mars 2017, Je n'ai rien noté de plus que la 1ere phrase en haut de cette page pendant 3 ans, et bien aujourd'hui, j'ai besoin "de parler" ;-)

Mon Lou,

Dans 3 jours cela fera 3 ans..... !
Trois ans sans ta présence, là, à côté de moi, avec Mouty qui est venue te rejoindre un peu plus d'un an après..

C'est toi qui devait me consoler mon chat, Mouty était plus âgée, je pensais que tu resterais avec moi - beaucoup - plus longtemps, que l'on aurait du temps pour nous deux, que notre chagrin de ne plus avoir la compagnie de notre choupette, nous le vivrions ensemble, nous consolant mutuellement de cet immense et horrible manque... et,
...et c'est toi qui m'a porté le premier coup, cette cicatrice indélébile, cette souffrance de ne plus te voir et te câliner, sentir ta présence et mettre ma main sur toi, voir ton regard clair se poser sur moi, me suivre le matin, jouer avec un simple lacet, et toutes ces petites choses du quotidien...

Il était une fois, ...
... au pied d'un immeuble, une maman chat qui avait compris qu'elle pouvait avoir de l'aide pour les 3 chatons noirs qu'elle venait de mettre au monde, de l'aide pour eux, mais pas pour elle, trop sauvage pour être attrapée et soignée.
Elle nous regardait laisser de quoi dormir à l'abri, et de quoi manger pour eux et pour elle, elle profitait mais s'en est allée mourir dans la colline je suppose, parce que je n'ai pas réussi à l'attraper pour soigner sa queue si blessée.
Je n'avais pas assez l'habitude à l'époque, "je regrette ma belle, je regrette..."

Trois petits chatons, un va disparaître très vite (adopté je l'espère !), les deux autres vont rester toujours ensemble, toi et ton frangin, vrais jumeaux, mes 2 petits chéris, mes 2 "loulous", que j'étais la seule à savoir distinguer.

Quelques mois après tu vas rester seul, je veux penser que ton frère a été adopté - aussi - ou alors il a été rejoindre sa mère bien trop tôt.. Puis-je dire ici qu'il était - un petit peu seulement - mon préféré ?
Plus câlin et toi plus indépendant, c'est lui pourtant qui va me mordre après votre stérilisation, moi et ma main-comme-un-pamplemousse sommes allés au petit matin aux urgences, je garde encore le souvenir de ces 2 trous impressionnants au milieu de cette énorme chose qu'était devenue ma "menotte" et cette douleur de folie, merci Loulou2 ;-) (mais je ne t'en veux pas tu sais, c'était de ma faute en plus...)
Et toi ? tu étais tranquille, confiant, un calme olympien même chez le véto, dès lors que j'étais à côté de toi, mon amour...

Tu as toujours connu Mouty, je la promenais dans la résidence, au pied de la colline et elle qui voulait toujours courser tes amis-chats, te laissait nous suivre lors de nos balades, nous étions trois inséparables...

Tu étais donc notre compagnon de promenade, notre compagnon tout court, pas vraiment "mon" chat encore, quoique...

Tu vivais dehors, j'ai toujours cette image de toi courant dans le jardin de la résidence, tu en étais le roi, mon roi-chat.
Le plus beau (!), le plus rapide, le plus fort (peu de bagarres : il te suffisait de courser les autres et l'affaire se réglait rapidement ! A de rares exceptions près), c'était vraiment "ton chez toi".
Ma panthère noire qui sautait d'arbre en arbre, qui filait d'un point à un autre comme un éclair, mais qui revenait vers moi, vers nous...

Et puis petit à petit tu as bien voulu visiter l'appartement, être au soleil sur la terrasse, dans le pot du beau rosier, tu montais le soir mais demandais à sortir en pleine nuit.
Toujours les balades, le bien-être, les jeux, les courses dans la colline, le soleil (la neige 2 fois je crois !) toi et Mouty.. et moi...

Tu reconnaissais ma voiture, tu courais à notre rencontre, où alors tu attendais devant l'arbre, mon chat, mon Loulou...

Le matin j'adorais te voir sur la pelouse, un petit sifflement et tu faisais le tour pour te précipiter devant la porte d'entrée.
...

Et puis j'ai déménagé, pas trop loin, je suis venue pendant des semaines 2 fois par jour pour te nourrir, te voir, promener encore avec Mouty...
Ensuite j'ai commencé à t'emmener dans le nouvel appartement : les jours de pluie, le samedi, puis le week-end entier, mais tu étais un chat d'extérieur, je n'avais pas encore le coeur de t'enfermer...

Un jour je suis venue te nourrir et tu es resté dans un des petits jardins, tu me regardais sans bouger, j'ai su que la prochaine fois j'allais te prendre "pour de bon" et te garder dans "notre chez nous"...
Tu ne serais plus le roi de la résidence, seulement le notre à Mouty et moi.

Mon Loulou, ce fameux jour où tu me regardais fixement, j'ai senti que tu en avais marre toi aussi de ne plus nous voir "comme avant", que peut être tu ne comprenais pas notre absence.

Et tu as changé de vie, de "chat-d'extérieur-mais-super-bien-soigné (et aimé !)" tu es devenu "pacha-d'appartement-super-choyé-et adoré"...

Oh je peux en écrire des anecdotes, ta 1ere fois sur le balcon et dans le jardin, ma peur à cause de la route pas assez loin, la partie de cache-cache pour te rattraper, le jour où j'ai cru que tu t'étais volatilisé par magie alors que tu avais seulement poussé délicatement la moustiquaire pour te retrouver à l'extérieur, les courses avec Mouty, les partages de coussins, les dodos côté à côte (ou pas !)...

Tu étais en pleine forme, alors pourquoi ?!
Pourquoi ce cri rauque, un jour, qui m'a tétanisé de peur.
Je me suis précipitée, tu étais allongé les yeux ouverts, le temps de filer m'habiller tu étais remis, le véto m'a dit de te surveiller, c'était la nuit, je t'ai gardé dans mes bras jusqu'au matin et je me suis dit que c'était un malentendu, que tu allais bien et que ça allait continuer.
"On" a rien trouvé, une petit alerte sans plus dixit le vétérinaire.
Mais c'est arrivé encore 2 fois.

Un vendredi après-midi, nos derniers moments ensemble, hier ou presque.
Je voulais avoir un autre avis, une véto plus "nature", et un peu plus loin, je voulais savoir et trouver un traitement de fond.

Je n'ai pas été travailler, et nous voilà tous les 2 pour notre dernière balade en voiture, tes beaux yeux qui regardaient le ciel, qui sentaient le vent par la fenêtre ouverte, ton museau sur ma main à travers le panier, tes petits miaulements, ton regard sur moi Loulou.

Je t'ai parlé comme d'habitude, tu avais un regard interrogateur, mais tu avais - encore et toujours - confiance, c'était un partage entre toi et moi, quelques heures volées sur le temps, un beau soleil, c'était doux et agréable...
Notre dernière journée.

La véto n'était pas inquiète, juste un petit souffle, elle t'a trouvé en forme, super gentil, pas stressé.
On devait attendre le résultat des prises de sang...
Encore ton regard vers l'extérieur, les arbres dans le jardin, la petite brise, tu prenais tes derniers souvenirs du dehors, du dehors sur notre terre, et j'étais là, avec toi. Comme je suis heureuse de ce tête à tête mon Lou...

Retour sans peur, la maison, Mouty et puis.... le matin, je t'ai entendu vomir, je suis venir te tenir et te soutenir, là aussi, sans peur... un petit vomissement de poils ça arrivait de temps en temps.
J'ai tenu ton corps en t'embrassant, le temps de me retourner il y a eu de nouveau cet horrible cri sorti de ton corps, le mien qui se crispe, mon coeur qui se brise, je m'habille vite, vite pour partir chez le vétérinaire.

Mais... cette fois tu as fait quelques pas, tu es allé à côté de votre coussin au salon et tu ne bougeais plus, allongé de tout ton long, mon grand, mon immense chat d'amour.

Je t'ai mis en pleurant dans le sac de ma belle, pour partir chez ce foutu docteur, mais je savais que....
Alors je t'ai parlé encore durant le trajet, j'ai posé ma main sur toi encore chaud, pourquoi, pourquoi ?

.... "je crois que mon chat est mort".... Je peux à peine parler, je sais que bientôt je ne vais plus te voir.
Te voilà allongé sur la table... mon Loulou, ma première confrontation avec un corps sans vie, j'ai honte, je pleure de ce que je vais noter ici : je ne t'ai pas pris dans mes bras mon chat !!!!!!!!!

J'étais hébétée de douleur, et j'avais peur de te sentir sans vie contre moi, comme je regrette Loulou, j'aimais tellement t'avoir contre moi mon ange.

Je t'ai dit au-revoir, j'ai pris dans ma main ta patte et j'ai serré tes coussinets, j'adorais faire cela quand tu dormais, et puis je t'ai embrassé plusieurs fois, j'ai touché ta tête, j'ai posé mes lèvres sur ton museau et j'ai murmuré cet au-revoir déchirant... mais... je ne t'ai pas pris dans mes bras une dernière fois... pourquoi, pourquoi....

Je t'ai récupéré Loulou, un galet tout simple et joli, couleur terre, je t'ai serré fort contre moi cette fois, je suis allée te promener dans l'ancienne résidence, j'ai pensé un instant répandre tes cendres dans la colline, là où tu étais en liberté, heureux, vif, sautillant et magnifique... mais non, mon amour, toi qui a vécu heureux avec nous malgré le manque de l'extérieur les dernières années, toi que j'aime tellement, tu es à la maison, tout près, toujours...

C'est Mouty qui est restée, j'ai puisé un peu de force au fond de moi, j'ai puisé sur le bonheur de l'avoir encore avec moi, sur notre bonheur passé à tous les 3, sur nos souvenirs, sur ces belles années en commun, sur cette chance de vous avoir connu...

Comme je t'aime mon chat, tu me manques infiniment...

Depuis mai 2015 ta copine est venu te rejoindre, je vous imagine en pleine forme dans cet ailleurs que je souhaite joyeux, de nouveau réunis mes beaux amours, un jour je serai avec vous et ce sera une sacrée fête !

On se retrouve au paradis mon Loulou, profites mon roi-chat, mon merveilleux ami, cours, vole et danse, je t'aime pour toujours, encore, encore...

Tendresse mes anges....