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In tribute to
EUROPEENPAÏVA
Born on :07/07/1999
left us on:09/10/2014
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195 messages
left by elise2512 on 09/04/2023Pour toi ma doudouce |
left by elise2512 on 09/04/2021Une pensée pour toi ma doudouce adorée. Tu es dans mon cœur pour toujours ! |
left by elise2512 on 09/10/2019Ma douce Païva chérie, Triste jour pour nous car il y a 5 ans tu as rejoint Paco et Ramsès. Tu nous manques tellement ! Tu étais affectueuse et si douce. Je te fais des bisous et des tendres câlinous ma doudouce, te serre très fort dans mes bras et te garde dans mon cœur pour toujours… ***** Je remercie les amis du site pour leurs fleurs et messages… |
left by elise2512 on 09/10/2018Ma petite Païva, ma doudouce, Aujourd'hui; cela fait 4 ans que tu es partie et depuis ce temps, je pense tout le temps à toi. Tu étais si affectueuse et si douce. Tu me manques tellement et j'aimerais te serrer dans mes bras pour embrasser ta belle fourrure. J'espère que tu reposes en paix au pays étoilé avec tes copain Paco et Ramsès. Je vois que mes amis du site ont déjà déposé des messages et des fleurs. Je suis très touchée et les remercie de tout mon coeur. |
left by annie on 09/10/2018🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹❤️🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹 |
left by biscuit on 07/04/2018Les adieux sont seulement pour ceux qui aiment avec leurs yeux. Parce que pour ceux qui aiment avec leur coeur et leur âme, il n'y a pas de séparation. Repose en paix, tu ne seras jamais oublié..., |
left by biscuit on 04/03/2018( Christian Bobin ) L'absence d'un mort nous inonde de sa présence , et nous le rend encore plus cher . |
left by biscuit on 03/12/2017AVOIR UN CHAT C'EST : Sortir en pyjama au beau milieu de la nuit. Passer sans cesse le rouleau à poils sur tous ses vêtements. Avoir un concert privé chaque soir en rentrant chez soi. Avoir un concert privé chaque matin aussi ;). Dépenser des sommes phénoménales chez le véto. Avoir une ombre qui te suit partout et ce même jusqu'au wc Ne plus s'entendre avec tes voisins. Lui trouver des excuses quand il a fait une bêtise. Etre ridicule avec une voix de débile quand tu lui parles. Etre surveillé quand tu manges. Apprendre le sens du partage et finir par lui donner ton assiette. Apprendre à s'organiser et ne plus jamais laisser de nourriture sur la table. Ne plus avoir aucune autorité quand il te fait ses petits yeux de malheureux. Lui interdire le canapé et finir par céder quand tu te sens seul. Organiser tes week end en fonction de lui. Avoir des centaines de photos de lui floues dans ton téléphone. L'avoir aussi sur ton fond d'écran. Lui apprendre des tours idiots et être tellement fier de lui. Avoir envie d'en avoir un deuxième. Avoir un ami qui te fait des calins quand tu es triste. Te sentir incomplet quand il n'est pas avec toi. Des rires à n'en plus finir quand il fait n'importe quoi. De l'amour inconditionnel tous les jours. Appréhender le temps qui passe parce qu'il vieillit plus vite que toi. Etre prêt à tout pour lui. Un immense bonheur que les gens qui n'en ont pas ne peuvent pas comprendre. Avoir la chance d'avoir une petite boule de poil qui t'aime plus que tout au monde et qui te sera fidèle à jamais. Avoir un chat c'est partager tellement d'amour qu'il est devenu impossible de vivre sans. , , |
left by elise2512 on 09/10/2017Ma Païva chérie, Il y a 3 ans, tu as fermé les yeux pour toujours chez le vétérinaire, entourée de tout notre amour et tu as rejoint Paco et Ramsès. Le temps n'a pas refermé la blessure et c'est toujours aussi douloureux de te revoir ici sur la page d'accueil. Ma belle, comme tu nous manques! Tu étais tellement affectueuse et douce! Je pense à toi chaque jour et tu restes enfouie dans mon cœur à jamais. Je te serre très fort dans mes bras et te fais des câlins et bisous par milliers, ma doudouce. Ta maman qui t'aime... ***** Je remercie de tout mon cœur les amis du site pour leurs bouquets et messages pendant mon absence et en ce triste jour anniversaire. |
left by Tatachou on 09/10/2017Bonjour Païva Je ne suis pas venue pour ton anniversaire le 7 juillet dernier car j'étais hospitalisée, c'est pourquoi je t'envoie aujourd'hui une double ration de douceurs et de caresses ma belle. Mes amitiés à ta maman |
left by KEKER on 08/10/2017Loin des yeux, loin du coeur Tous ces trains de nuit, ces aéroports, tous ces longs courriers m'éloignent de toi ta photographie est dans mon passeport et j'ai dans le coeur un sourire de toi Toutes ces lumières, tous ces paysages je les donnerais pour être avec toi je passe la frontiére au long du voyage je sais que tu es à côté de moi Loin des yeux loin du coeur ça n'existe pas loin des yeux loin du coeur moi je pense à toi et chaque jour qui passe me rapproche de toi au rendez-vous de ton amour je suis toujours lá Moi je me réveille un matin a Londres et je me promène le soir dans Athènes le jour tu es là un peu comme un ombre, la nuit tu reviens comme un grand soleil Loin des yeux loin du coeur ça n'existe pas loin des yeux loin du coeur moi je oense à toi et chaque jour qui passe me rapproche de toi au rendez-vous de ton amour je suis toujours là Loin des yeux loin du coeur pas pour toi et moi Loin des yeux loin du coeur moi je n'oublie pas et chaque jour qui passe me rapproche de toi au rendez-vous de ton amour je suis toujours là Loin des yeux loin du coeur ça n'existe pas loin des yeux loin du coeur moi je pense à toi et chaque jour qui passe me rapproche de toi au rendez-vous de ton amour je suis toujours là |
left by GHETGHET on 14/09/2017Que Savent les Hommes ? Nous sommes leurs petites bêtes Leurs domestiques Animaux Ils nous font la fêtes Nous frottent souvent le dos Ils cherchent nos caresses Nos tendres ronronnements Mais notre nobles sagesses Pour eux ce n'est rien, c'est du vents Que savent les Hommes Des petits êtres que nous sommes ? Savent-ils que nos cœurs battent comme leurs propres cœurs ? Et que du bonheurs C'est de faires leur bonheurs Ils nous gardes biens au chauds Dans leurs hermétiques maisons Nourrissent nos petits corps A coups de boîtes de ronrons Nous sommes décoratif Dans leurs impersonnels décors Mais leurs mains qui souvent nous caressent N'apaisent pas notre détresses Que savent les Hommes Des petits êtres que nous sommes ? Savent-ils que nos yeux Ou brillent des ombres noires Ne sont que les reflets De leur secret désespoir ? Nous leur apportons le calmes Les allégeons de leurs angoisses Quand nous restons en silences C'est pour le bien-être de leurs ÂMES Nous les aidons a vivres A supporters leurs mondes d'Hommes Et quand ils partent a la dérives Nous esquissons un pas de danses Que savent les Hommes Des petits êtres que nous sommes ? Savent-ils que dans nos yeux L'univers entiers se reflètes Et que s'ils nous trouvent étranges C'est parce que nous sommes des ANGES ? PHILIPPE MUYL |
left by elise2512 on 14/08/2017A toi ma doudouce qui est toujours dans mes pensées. Je t'aime... |
left by biscuit on 13/08/2017L'amitié ,Les amis(es),comme les étoiles,on ne les voit pas mais ils sont toujours là.Merci pour mon Réglisse et mes autres compagnons |
left by biscuit on 09/04/2017Parce que... C'étaient des moments heureux. Ces moments ont existé. Ce bonheur qui a été vécu, rien ne peut faire qu'il ne l'ait pas été, Même la mort. La mort ne balaie rien. Le chagrin peut tout brouiller Un temps. Comme à chaque fois qu'on est séparé de ceux qu'on aime On se dit que plus jamais. Eh bien plus jamais, d'accord. N'empêche que ce qui a été est A l'intérieur. Pour toujours. |
left by tonton on 05/03/2017L'animal ne possède rien, sauf sa vie que si souvent nous lui prenons. Marguerite Yourcenar, |
left by GHETGHET on 02/03/2017 L'ESSENTIEL RESTERA Oui, nos mains vont disparaître... Mais nos poignées de mains, mais nos signes de bonjour, nos gestes d’adieu, nos câlins et nos caresses, l'étreinte de nos bras... nous n’allons jamais les oublier. Oui, nos pieds vont disparaître... Mais la foulée de nos promenades, l’élan de nos courses, le saut de nos jeux, le pas de nos danses et de nos rendez-vous... nous n’allons jamais les oublier. Oui, nos visages vont disparaître, et nos oreilles, et nos lèvres et nos yeux... Mais nos sourires, nos paroles, nos éclats de rires, nos écoutes, nos secrets échangés, notre complicité, nos regards, nos baisers... nous n’allons jamais les enterrer. Tout ce que nous avons été l'un pour l'autre, tout ce que nous avons vécu ensemble, tout ces moments partagés resteront à jamais dans nos Cœurs ,L'essentiel restera a l'infini Soit en PAIX et AMOURS a l'infini GABRIEL RINGLET |
left by biscuit on 01/03/2017OU ES-TU ? « Où es-tu, petit ange, où es-tu? On aurait bien voulu, À force d’amour, t’empêcher de partir, mais le monde est trop lourd, petit ange léger, Et n’a pas su te retenir. Où faut-il te chercher, maintenant ? Sous les gouttes de rosée? Sur les ailes du vent? Qui saura nous le dire? » Maman, » Là où je suis, je ne crains rien. J’ai les yeux pleins d’étoiles blondes, J’ai l’âme vaste comme le monde. Là où je suis, la joie est sans mélange. Ne me cherchez pas, je suis dans chaque chose… sur les ailes d’un ange, dans la rosée, dans le vent, dans le cœur d’une rose, Dans le cœur de mes parents. Ne me cherchez pas, je suis partout, Je suis avec vous, je suis chez moi. » Albert Gui, , |
left by elise2512 on 07/02/2017“Le vrai tombeau des morts, c'est le cœur des vivants.” Jean Cocteau |
left by biscuit on 24/12/2016La neige tombait sur la ville sans faire de bruit. Le petit chat marchait dans la neige sans faire de bruit. Les flocons saupoudraient de blanc ses poils roux. La rue était déserte. C'était la nuit de Noël. Bientôt les douze coups de minuit allaient sonner pour la plus belle nuit de l'année. Mais le petit chat ne le savait pas. Il n'avait que trois mois et avait encore beaucoup de choses à apprendre. Surtout cette nuit où il faisait si froid… et qu'il ne savait pas où se nicher pour dormir. Il était seul pour se débrouiller, si seul et si ignorant des astuces. Ce n'est pas comme ce gros matou gris de tout à l'heure qui l'avait chassé du coin chaud où il s'était blotti. Il en savait des choses, lui, mais alors quel sale égoïste ! Croyez-vous qu'il aurait partagé ce qu'il était en train de manger ? " Va pleurnicher ailleurs" lui avait-il dit. Aussi, le petit chat marchait seul dans la rue. Il avait faim, il avait froid. Et il regardait les fenêtres éclairées derrière lesquelles il devait faire bon vivre. Entendit-il sonner les douze coups de minuit ? Ca n'est pas sûr, mais par contre, il entendit parfaitement quelque chose passer au-dessus de lui, comme le vol d'un gros oiseau. Il s'aplatit au sol de frayeur ; quand il osa relever le museau, un drôle d'engin venait de se poser sur la maison d'en face. Il n'avait jamais rien vu de pareil ! Et maintenant voilà qu'un gros bonhomme tout en rouge en sortait avec un sac sur le dos. Et devant le drôle d'engin, deux grands rennes se mettaient à parler au bonhomme tout en rouge : - Fais attention Père Noël, disait l'un, la cheminée n'a pas l'air bien solide ! - Te mélanges pas dans ta liste, disait l'autre, ici c'est des rollers et une panoplie de "Mulan". - Mais oui, mais oui… Vous n'allez pas commencer à me surveiller quand même ! Vous savez bien que je ne me trompe jamais. D'en bas, le petit chat ne pouvait pas voir si ce bonhomme avait une barbe blanche. Il lui trouva quand même une ressemblance avec le bonhomme en manteau rouge des images qu'il voyait partout dans la ville depuis quelques jours. Mais que faisait-il donc là-haut ? Pour en avoir le cœur net, il décida d'aller voir ça de plus près. … Oui, mais comment faire pour monter ? En passant par les escaliers ? C'est que le petit chat gardait le souvenir cuisant des méchants coups de pied qu'on lui donnait quand il voulait rentrer dans une maison. Il fit donc le tour de l'immeuble, et finit par trouver un endroit pour grimper jusqu'au au premier étage. Ce ne fut pas très difficile. Restaient deux autres étages… et avec des pattes gelées, c'était pas évident ! Il lui fallut sept essais avant d'arriver en haut. Sept essais dont quatre moments d'équilibres acrobatiques, trois griffes arrachées, et un rétablissement miraculeux. Mais ça y était, il était sur le toit, il allait savoir. L'engin était toujours là. Les rennes bavardaient entre eux de choses que le petit chat tout essoufflé ne comprenait pas… Il était question d'une liste avec des noms de garçons et de filles, d'horaire à suivre, d'adresses, etc. Le petit chat se dirigea sans bruit vers l'engin. C'était plein de sacs dedans. Et plein de paquets aussi. Des gros, des très gros même, des plus petits, des minuscules. Tous avaient des couleurs joyeuses et scintillantes qui lui donnèrent envie de jouer avec. Il sauta hardiment dessus. Malheur ! Une petite musique se déclencha sous ses pattes. Le cœur battant, il s'enfuit au fond du traîneau où il trouva un sac à demi-ouvert pour se cacher. C'était tout sombre dedans, mais il y faisait chaud et doux. Le petit chat sentit des poils contre lui. Il renifla pour comprendre si c'était un autre chat ou un des ces monstres de chien, mais comme ça ne sentait ni l'un ni l'autre et que ça ne bougeait pas, il se blottit tout contre, rassuré. Puis il attendit. Dehors un renne parla : - Ca doit être un appareil de musique qui s'est encore déclenché tout seul ! Puis la voix du vieux bonhomme à l'habit rouge retentit, sonore et joyeuse : - Allons-y mes amis, au suivant de la liste ! Le petit chat sentit tout bouger autour de lui. Il eut la sensation de s'envoler puis quelques instants après, un coup de frein suivi d'un choc le déséquilibra. Son cœur tapait fort. Dehors, le vieux bonhomme riait : - Ah ! Ah ! Ah ! Cette fois, la cheminée est large, je vais pouvoir descendre à l'aise ! Le petit chat commençait à sortir le museau dehors quand tout bascula brusquement. Secoué de droite et de gauche, il roula dans le sac, parmi les paquets qui l'écrasaient. Une grande descente dans le vide lui remonta l'estomac dans le gosier… il miaula fort. Une main l'attrapa par la peau du cou. Un grand rire résonna à ses oreilles. - Mais qu'est-ce que je vois là ! Mais croyez-vous, ça !... Un passager clandestin! Le bonhomme en habit rouge le tenait en l'air, en riant très fort. Ses yeux riaient autant que sa bouche. - Tu as donc voulu savoir comment je m'y prend pour faire ma tournée ? Mais le petit chat était effrayé. Et il avait si faim et si froid qu'il miaulait à s'en étrangler et qu'il tremblait à en claquer des dents. - Dis-moi, dis-moi, tu n'as pas l'air si courageux que ça pour un petit curieux ! Il suffit qu'on te découvre pour que tu appelles maman au secours ? Allons, voyons je suis le Père Noël, tu n'as rien à craindre de moi. Bien sûr, je devrais te punir de m'avoir suivi, alors que personne ne doit accompagner le Père Noël pendant sa tournée, mais comme tu viens de me donner une très bonne idée, je ne dirai rien et je vais même te garder un petit moment avec moi. Et le Père Noël le mit dans la grande poche de son manteau. C'était doux à l'intérieur, et c'était chaud. Le petit chat s'y trouva bien de suite. Il ne savait pas encore qu'il allait vivre ce qui sera la nuit la plus extraordinaire de son existence. Ah, si seulement il n'avait pas cette faim atroce au ventre ! Il se redressa pour sortir le nez et pousser un petit miaulement de détresse… Peut-être que ce gentil bonhomme comprendra son problème… - Veux-tu bien te taire, tu risques de réveiller les enfants ! Si tu veux m'accompagner, il faut rester silencieux. Aussi silencieux que la neige qui tombe. Le bonhomme était en train de déposer des paquets auprès de deux paires de chaussons, tout petits, si petits qu'ils disparaissaient sous les paquets. - Tu vois, ici c'est pour Mélanie ; elle a commandé un poney en peluche et une piscine magique. Là c'est pour Eric, il a demandé un "établi de moulage" et une "batmobile". Et regarde comme ils sont gentils tous les deux, ils ont laissé une tasse de lait et des biscuits pour moi. Ils savent que je suis un peu gourmand, tu comprends, et puis ça me redonne des forces… Hé ! Mais qu'est-ce que tu fais ? Le petit chat s'était jeté sur le lait et qu'il le lapait en s'étranglant tellement il allait vite. De retour au traîneau, le Père Noël s'approcha des rennes avec un air mystérieux. - Regardez qui va passer la nuit avec nous ! Il sortit de sa poche une petit boule de poils ébouriffés et aux babines barbouillées de lait. - Il avait si faim, le pauvre chaton, que j'ai partagé mon goûter avec lui… enfin, disons qu'il m'en a laissé quelques gouttes ! Allez les rennes, aux suivants. Le petit chat garda les yeux écarquillés toute la nuit. Jamais il n'avait vu autant de belles choses, jamais il n'avait vu autant de couleurs scintillantes, jamais il n'avait vu autant de jouets, et jamais il n'avait crû que quelqu'un pouvait avoir autant de joie à déposer dans les maisons toutes ces merveilles. A la fin de sa tournée, le Père Noël rentra dans une demeure où brillait une lampe de chevet dans une chambre. Des pantoufles de grand-mère attendaient près du lit. - Tu vois, ici habite une gentille mamy qui m'a écrit pour me demander un cadeau. Elle voudrait quelque chose qui puisse la distraire pendant ses longs jours solitaires, et qui en même temps attirerait ses petits enfants pour qu'elle les voit plus souvent. Alors j'ai pensé à toi. Tu seras heureux ici, regarde comme tout est accueillant. Tu seras bien au chaud et je suis sûr que tu te régaleras… les grand-mères savent si bien faire la cuisine ! Mais chut… ne dis à personne que tu m'a accompagné cette nuit. Il déposa doucement le petit chat dans une pantoufle, lui fit un gros bisou, et attendit qu'il s'endormit, le museau niché dans les pattes, le cœur à jamais étoilé de cette merveilleuse nuit de Noël. Joyeux Noël à vous et vos proches |
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