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En hommage à
BRITISH-SHORTHAIRAgathe (cleo)
Il est né le:26/01/2005
Il nous a quittés le:04/04/2013
44 bougies
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704 Fleurs
407 messages
Déposé par chacaju le 15/05/2013 " Je souhaiterais pouvoir écrire aussi mystérieux qu'un chat." Edgar Allan Poe |
Déposé par chacaju le 15/05/2013 Dans les yeux d'un chat.... Regarde bien les yeux du chat. Il rêve, il fait semblant, il dort Tout éveillé. Pourtant c’est toi C’est bien toi qu’il épie. Mais plonge tes yeux dans les siens Ne les laisse pas t’échapper. Très lentement ; tu vas glisser Dans l’eau dorée de ce regard, Glisser sans fin jusqu’à T’anéantir dans son immensité. Regarde bien les yeux du chat. Bientôt tu seras devenu ; Sans le savoir, le chat lui-même Les yeux du chat qui te regarde. Pierre Gabriel Pierre Gabriel |
Déposé par chacaju le 15/05/2013 Coucou Cléo, Je te fais plein de gros câlins, le temps est très moche. c 'est tristounet . Ce n'est pas un temps à mettre un chat dehors. de grosses caresses ma cléo. |
Déposé par chacaju le 14/05/2013 Chaque chat est un chef d'oeuvre. (Léonard de Vinci) |
Déposé par chacaju le 14/05/2013 La fleur, Oh! La jolie fleur dans la vitrine! Oui c'est un petit pavot blanc. Je ne vous parle pas des petits pavots, je vous montre la fleur d'en bas, tachetée de clair et de sombre, veloutée, avec deux gouttes de rosée qui brillent, et de grandes étamines blanches pointues... Tiens je me trompais, ce n'est pas une fleur, c'est un chat... Colette |
Déposé par elise2512 le 14/05/2013Merci encore pour vos messages réconfortants et jolis bouquets sur mon Paco ; ils me touchent beaucoup et me font plaisir. A mon tour d'offrir un poème à votre magnifique Cleo : LE CHAT AU BAISER - Alfred Ruffin En me voyant venir quand tu fermes les yeux Pour me laisser poser un baiser sur ta tête, Minet, tu ne sais pas quel sentiment pieux Tu me fais éprouver, bonne petite bête ! Moi qui pourrais si bien sur ton frêle minois, Te soulevant au bout de mon bras de colosse, Me venger du respect effrayé que je dois A ton royal cousin, le grand tigre féroce, D'un si lâche dessein loin de me soupçonner, Pour atteindre du front mes lèvres que tu charmes Tu te hausses vers moi, fier de t'abandonner A mes mains qui jamais ne t'ont causé d'alarmes. |
Déposé par chacaju le 14/05/2013Ma Cléo, hier soir, je prononçais ton prénom" Cléo" à haute voix, et cela m'était étrange. Autant il traverse en permanence mon esprit, mes pensées , lorsque je t'écris, lorsque nous parlons de toi et cela est naturel, autant en le disant à haute voix pour moi, seule, cela avait un autre sens, j'ai ressenti un gros pincement au coeur , une sensation de vide, douloureuse. Ton absence est encore pesante. C'est à se demander qui a le plus besoin de l'autre. Je t'espère heureuse sur le pont en arc en ciel avec tous tes compagnons, je te fais plein de câlins, veille bien sur ta petite famille que nous sommes. Nous t'avons tellement aimée ma douce Cléo., |
Déposé par chacaju le 14/05/2013 "Le chat est d'une honnêteté absolue : les êtres humains cachent, pour une raison ou une autre, leurs sentiments. Les chats non. " Ernest Hemingway |
Déposé par elise2512 le 13/05/2013Lorsque je joue avec mon chat, Qui sait s'il ne s'amuse pas plus avec moi que moi avec lui ? (Montaigne) |
Déposé par AMARIE le 12/05/2013** Les yeux d'un chat sont des fenètres qui permettent de voir dans un autre monde ** (légende irlandaise) Une douce pensée pour votre CLEO et merci d'avoir pensé à mon PANCHO et MES chatounes LOLA et MITZY |
Déposé par chacaju le 12/05/2013 "Le ronronnement est le sourire du chat." Hector Biancotti |
Déposé par elise2512 le 12/05/2013Le chat à nos côtés est le souvenir chaud, ronronnant et moustachu d'un paradis perdu... Léonor Fini |
Déposé par chacaju le 11/05/2013À fréquenter le chat, on ne risque que de s'enrichir. Nos compagnons les plus parfaits n'ont jamais moins de quatre pattes. De la confiance mentale, du murmure télépathique En s'associant avec un chat, on ne fait que prendre le risque d'être plus riche Le temps passé avec un chat n'est jamais perdu. Colette |
Déposé par chacaju le 10/05/2013 La sensibilité Des cils roides et longs, antennes hérissées, Font sentinelle autour de son nez frémissant ; Et le plus léger bruit qui le frôle en passant Élargit sur son front ses oreilles dressées. Quand la nuit a brouillé les formes effacées, Il voit ; le monde noir à son regard perçant Ouvre ses profondeurs ; il distingue, il pressent ; Ses sens plus acérés aiguisent ses pensées. Des craquements de feu courent sur son poil roux ; Tout le long de sa moelle un tressaillement doux Conduit l'émotion en son âme inquiète. Les poils de son museau vibrent à l'unisson, Et sa queue éloquente a le divin frisson, Comme une lyre d'or aux mains d'un grand poète. H. Taine |
Déposé par elise2512 le 10/05/2013LE CHAT, L'ETRE LE PLUS BEAU... Guillaume d'Aquitaine dit le Troubadour - 12ème siècle L'élégance regarda la femme et, après l'avoir adorée, voulut la surpasser. Elle y parvint en prenant lignes, chevelure et yeux de verre, en devenant chat, l'être le plus beau... |
Déposé par chacaju le 10/05/2013 Comme il est difficile, de devoir allumer son ordi pour voir tes yeus vivants ma douce, à défaut de ne plus les avoir dans notre maison. J'ai envie de caresser ta fourrure pour entendre tes doux ronrons mais hélas....... Tu me manques Cléo, ton absence me pèse encore, mais c'est ainsi. Je t'espère heureuse, je ne te dirai pas sans souffrances maintenant, tu es partie si vite sans maladie connue, un beau départ certes , mais trop tôt, nous avions encore tant de choses à partager. Je pense beaucoup à toi, à nous. Veille sur ta petite famille, fais leur des signes , nous avons tous une petite parcelle de notre coeur qui t'aime tant et qui t'aimera. de grosses bises ma douce et belle Cléo , sois rassurée je ne pleure pas, je n'oserai point te rendre malheureuse mais tu sais combien nous étions proches Cléo. encore de gros câlins ma clé |
Déposé par chacaju le 09/05/2013Je me tourne, Ô beau chat, vers tes prunelles sacrées Et il me semble que j'ai devant moi deux étoiles. Le Tasse |
Déposé par chacaju le 09/05/2013A notre Cléo, A toi notre chat tout en rondeur de la tête aux pieds, Cléo, ta tête ronde comme une pomme, nous rappelait la tête de l'ours en peluche de notre enfance, tes yeux ronds cuivrés pleins de malice, aux couleurs si intenses exprimaient à eux seuls tes moindres désirs, ton regard nous donnait l'impression d'un étonnement, d'un émerveillement perpétuels. Mon gros nounours, tu étais toute ronde jusqu'au bout des pattes avec tes pieds fermes et ronds que tu déposais toujours si délicatement. Chez toi, tout était rond, ta tête,ton corps, tes yeux, le bout de ta queue, Chez toi, tout était doux, ta fourrure et ton tempérament, nous ne pouvions rêver plus tendre. Est ce cette rondeur qui te donnait ce caractère si paisible, si équilibré? Ecrire ces quelques lignes , te décrire m'apaisent, tu étais un chat zen, anti-stress. Tu régnais dans notre maison en "Maîtresse",tu savais tout en douceur t'imposer. Quand tu voulais des caresses, c'est toi qui décidais du moment et de qui tu désirais les recevoir. D'une grande curiosité, tu passais beaucoup de temps à observer ,à nous épier calmement. Tu comprenais tous les interdits. CLEO, tu étais notre nounours, une" bonne pâte"mise autant que je puisse l'espèrer entre des mains aimantes. Tu étais british, et comme eux flegmatique (ce n'est pas une insulte,plutôt une qualité) et ce trait de caractère avait l'immense pouvoir d'apaiser. Tes rondeurs,tes grands yeux, ton poil soyeux,tes lèvres légèrement remontées te donnaient ce sourire qui faisait penser au chat d "Alice au pays des Merveilles" Tu étais bavarde,toujours quelque chose à dire et tu nous écoutais. Tu étais intelligente. Il ne te manquait que la parole, mais même sans elle, tu savais toujours te faire comprendre. Tu savais toujours décrypter nos peines et nos maux et tenter de les déjouer par ton doux ronronnement et ta présence, tu m'étais particulièrement précieuse ma Cléo. Quel bonheur de t'avoir aimée, te t'avoir rendue heureuse, tu nous suivais partout, surtout ceux de nous que tu préférais, tu n'aimais pas la solitude, et tu ne supportais pas la notre. Bien que très affectueuse, tu n'étais cependant pas un chat de genoux, tu n'aimais pas non plus être portée, avoir les pattes dans le vide te mettait mal à l'aise. Toutes ces qualités font que la vacuité que tu as laissée malgré toi, est pesante, mon gros Nounours, ma Cléo, nous voudrions encore une fois te remercier pour ces huit années de bonheur, nous ne le ferons jamais assez! Si nous parlons de toi à l'imparfait, c'est parce qu'il faut que nous nous disions que ces moments là, nous ne les revivrons plus. Mais ne pleurons pas, cela t''enlèverait toute ta jovialité, nous savons que là où tu es désormais, nous l'espérons, tu es heureuse. DE GROS CALINS MON GROS NOUNOURS, nous t'avons tant aimée Cléo. |
Déposé par chacaju le 09/05/2013Cléo, Je me souviens de toi, pétrissant la couette tantôt de la patte droite, tantôt de la patte gauche, lorsque je venais le soir ,lire ou me coucher. Tu le faisais si joliment ,calmement en me regardant de tes beaux yeux cuivrés. De ton petit minois humide,tu me déposais un bisou sur le visage et au passage, tes longues antennes me frôlaient si délicatement, quelle sensation merveilleuse! Puis, tu t'asseyais ou te couchais là tout près de moi. quand je te caressais, tu te roulais sur moi, te frottais et ronronnais au creux de mon cou. C'était le rituel du soir, ensuite tu allais dormir en ten endroit favori. Notre histoire est si longue, Cléo qu j'écris des pages et des pages, je ne veux occulter aucun de nos souvenirs. Les poèmes que je te dédie me font parfois frémir tant ils sont beaux et vrais même s'ils sont parfois un tantinet surannés, certains datent des années 1800 et ils reflètent merveilleusement bien ce que vous les chats, avez apporté à nos poètes et philosophes. Gros câlins ma douce Cléo. , |
Déposé par chacaju le 09/05/2013Le bonheur Dans votre cœur tranquille et dans vos larges yeux O vénérable chat, la sagesse est innée ; Votre rouet sans fin près de la cheminée Est l'écho bourdonnant d'un rêve harmonieux. Quand vous voulez dormir comme dorment les Dieux, Vous vous roulez en boule, âme prédestinée, Vous laissez les soucis à la race damnée Qui laboure la terre et qui sonde les cieux. Tel qu'un brahme affranchi des misères du monde Vous buvez le bonheur dans la coupe profonde Où l'homme ne boit plus que la fièvre et la mort Et de l'Eden perdu le mirage tragique Apparaît, évoqué par un miroir magique, Dans la sérénité de vos prunelles d'or. H. Taine (A Trois chats douze sonnets) |
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