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En hommage à
ANGORA-TURCDUCHESSE
Il est né le:--/05/2002
Il nous a quittés le:22/02/2014
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1774 Fleurs
467 messages
Déposé par KEKER le 21/04/2017Tant de belles choses Même s'il me faut lâcher ta main Sans pouvoir te dire "à demain" Rien ne défera jamais nos liens. Même s'il me faut aller plus loin Couper les ponts, changer de train, L'amour est plus fort que le chagrin. L'amour qui fait battre nos cœurs Va sublimer cette douleur, Transformer le plomb en or ! Tu as tant de belles choses à vivre encore. Tu verras au bout du tunnel Se dessiner un arc-en-ciel Et refleurir les lilas. Tu as tant de belles choses devant toi. Même si je veille d'une autre rive, Quoi que tu fasses, quoi qu'il t'arrive, Je serai avec toi comme autrefois. Même si tu pars à la dérive, L'état de grâce, les forces vives Reviendront plus vite que tu ne crois. Dans l'espace qui lie le ciel et la terre Se cache le plus grand des mystères Comme la brume voilant l'aurore. Il y a tant de belles choses que tu ignores : La foi qui abat les montagnes, La source blanche dans ton âme, Penses-y quand tu t'endors : L'amour est plus fort que la mort. Dans le temps qui lie ciel et terre Se cache le plus beau des mystères. Penses-y quand tu t'endors : L'amour est plus fort que la mort. Françoise Hardy |
Déposé par KEKER le 16/04/2017Depuis ton départ un grand vide s’est fait au fond de moi, Mon coeur saigne beaucoup car cette place ne sera plus jamais comblée par tout l’amour que tu me donnais. Pour ma chatte qui me manque, Si les roses rouges poussent au Paradis je voudrais petits Anges que vous en fassiez un joli bouquet et que de ma part vous lui offriez en lui disant que je l’aime beaucoup, et qu’elle me manque terriblement à chaque instant toujours je pense à elle. |
Déposé par KEKER le 11/04/2017Si tu prends la peine d'écouter dans le courant d'air de la maison, tu peux entendre ma voix qui te dit : « Ne sois pas triste, ne pleure plus mon départ, où je me trouve maintenant, je suis bien ». Entouré de l'amour de ceux qui m'ont précédé, je ne souffre plus, mon corps me laisse enfin le repos tant demandé, fini le tourment Je me repose sans douleur, sans contrainte Je te quitte, mais je reste dans ta mémoire, pense à moi souvent, mais ne soit pas attristé par mon absence, je serai partout avec toi, dans les moments de peine, comme dans les moments de joie. Dans les villes, dans les forêts et dans les plaines, chaque fois que le vent des contraintes de la vie te couvrira, tends les bras vers le ciel, je t' envelopperai de mes ailes pour te réchauffer de mon amour et chasser tous tes tracas. (vu sur la page de Papou) |
Déposé par KEKER le 16/03/2017L'ESSENTIEL RESTERA Oui, nos mains vont disparaître... Mais nos poignées de mains, mais nos signes de bonjour, nos gestes d’adieu, nos câlins et nos caresses, l'étreinte de nos bras... nous n’allons jamais les oublier. Oui, nos pieds vont disparaître... Mais la foulée de nos promenades, l’élan de nos courses, le saut de nos jeux, le pas de nos danses et de nos rendez-vous... nous n’allons jamais les oublier. Oui, nos visages vont disparaître, et nos oreilles, et nos lèvres et nos yeux... Mais nos sourires, nos paroles, nos éclats de rires, nos écoutes, nos secrets échangés, notre complicité, nos regards, nos baisers... nous n’allons jamais les enterrer. Tout ce que nous avons été l'un pour l'autre, tout ce que nous avons vécu ensemble, tout ces moments partagés resteront à jamais dans nos cœurs. L'essentiel restera a l'infini. Gabriel RINGLET |
Déposé par biscuit le 01/03/2017OU ES-TU ? « Où es-tu, petit ange, où es-tu? On aurait bien voulu, À force d’amour, t’empêcher de partir, mais le monde est trop lourd, petit ange léger, Et n’a pas su te retenir. Où faut-il te chercher, maintenant ? Sous les gouttes de rosée? Sur les ailes du vent? Qui saura nous le dire? » Maman, » Là où je suis, je ne crains rien. J’ai les yeux pleins d’étoiles blondes, J’ai l’âme vaste comme le monde. Là où je suis, la joie est sans mélange. Ne me cherchez pas, je suis dans chaque chose… sur les ailes d’un ange, dans la rosée, dans le vent, dans le cœur d’une rose, Dans le cœur de mes parents. Ne me cherchez pas, je suis partout, Je suis avec vous, je suis chez moi. » Albert Gui, , |
Déposé par KEKER le 22/02/2017C'est vrai que tu n'es plus sur terre Mais dans mon cœur tu demeures Je pense à toi, c'est impossible de t'oublier Je voudrais revenir en arrière Pour t'empêcher de mourir Enfin arrêter toute cette tristesse Et retrouver le petit monde heureux. Mais je le sais, c'est impossible Je voudrais juste te retrouver Et t'embrasser une dernière fois Te serrer contre moi Pour sentir ton odeur Et la graver à jamais dans mon cœur |
Déposé par elise2512 le 22/02/2017" Le vrai tombeau des morts, c'est le cœur des vivants. " Jean Cocteau ***** Déjà 3 ans que tu es au paradis des félins, ma belle Duchesse et tu es toujours autant aimée par ta maman car tu continues à vivre dans son coeur. Mes plus tendres et affectueuses pensées vont vers toi et je t'envoie, là-haut sur ton beau nuage, mes plus douces caresses. Repose en paix ma jolie... |
Déposé par KEKER le 29/01/2017en mémoire de d'un ange de passage dans notre vie Pour toutes ces années de bonheur passées à ton côté, pour toute cette tendre complicité qu'au fil du temps nous avons partagée, pour cet amour qui perdure part delà la mort et qui un jour nous réunira dans l’éternité, pour tous ces rires, ces joies, ces émotions, ce bonheur au quotidien. Pour cette fidélité, qu'un seul de ton regard pouvait exprimer, pour avoir effacé le commun de notre vie, pour cet amour infini que nous avons puisé dans ton regard, un petit être de passage dans notre vie qui nous a appris la douceur de vivre à son côté, tu n'es pas loin ; juste de l'autre côté du chemin, ce n'est qu'un au revoir, on se reverra dans une autre vie ; dans l'attente, tu resteras dans nos mémoires et dans nos cœur à jamais. Tu me manqueras TOUJOURS (vu sur la page de Ponette) |
Déposé par KEKER le 17/01/2017Pour toi, un beau poème qui m'a fait pleurer... Assieds-toi à côté de moi, j'ai à te parler. Je t'ai, maintenant je le crois, assez écoutée. Je me souviens de notre rencontre, c'était un jour où le soleil brillait, l'air était doux. Un parfum de muguet, que je n'avais encore jamais respiré, se répandait tout autour de nous. Tu es venue vers moi, tu semblais si fatiguée, si triste, que je me suis tout de suite sentie proche de toi. Les arbres, les fleurs, l'herbe même sentaient la naissance, le début, la fraîcheur. Quand tu m'as prise dans tes bras, ton cœur battait encore plus fort que le mien. Je me le rappelle bien, j'en étais stupéfaite! Tu me donnais tant d'amour qu'il me semblait que l'éternité était en nous, que ma vie était elle. Tu m'as connu jeune, je suis maintenant beaucoup plus vieille que toi, au crépuscule de ma vie. C'est moi maintenant qui suis fatiguée, si fatiguée, éreintée. Je ne sens plus mes membres, je ne sens presque plus rien. Il est pour moi l'heure . Tu es ce que tu es, celle que j'ai aimée, que j'ai toujours aimée. La première, la dernière. Notre sort aurait pu être si différent… le mien surtout. J'aurais pu me retrouver seule, dans le froid, attendant jusqu'à ma mort ton retour. J'aurais pu me sentir abandonnée mais confiante, même si cela peut paraître incompatible. J'aurais pu croire en un faux Dieu, perdre ce que vous appelez des illusions. Comme je me sens bien près de toi… il me semble sentir à nouveau le muguet comme ce jour de mai ; je sens ta chaleur, ta vie, il me semble même entendre battre ton cœur, comme au premier jour. Pour moi, c'est le dernier. Ne pleure pas mon amie. Ton tour viendra, et je ne peux m'empêcher de te promettre que je t'attendrai, même si je sais que tu crois à ces choses-là. Que nous reste-t-il donc ? Rien d'autre que ce que tu penses être un fol espoir. Mais tu en sais sans doute plus que moi sur ce sujet ? Je vais continuer de vivre dans ton cœur, aussi longtemps que tu le souhaiteras. Je serai toujours tout près de toi, tant que mon image sera présente en toi. Je dois maintenant m'arrêter. S'il te plait… Pose ta main sur ma tête… caresse-moi. Je vais partir, et j'ai un peu peur. Il me faut ton odeur… Adieu... |
Déposé par KEKER le 14/01/2017Chacun donnant et chacun recevant. Autant de fleurs qui ne flétrissent pas. Pas plus que les arbres ne tombent et ne s`écroulent. Que même les pierres… Car même les pierres, ne peuvent résister au vent et à la pluie. Et avec le temps, même les cimes de la montagne majestueuse. Sont réduites à du sable. Ce que nous étions, nous le sommes encore. Ce que nous avions, nous l`avons encore. Tout notre passé conjoint demeure impérissablement présent. Alors, quand tu marcheras dans le jardin Comme nous l`avons déjà fait ensemble Tu chercheras en vain la tache de mon ombre à tes côtés. Et tu t`arrêteras au sommet de la colline. Comme nous l`avons toujours fait, pour contempler la plaine. Et tu remarqueras quelque chose, tout en cherchant. Comme d`habitude, ma main qui n`est plus là. Et si tu te sens envahie par le chagrin. Ne bouge pas, ferme les yeux, écoute mes pas dans ton cœur. Je ne t`ai pas quittée, je marche tout simplement dans ton cœur ! |
Déposé par KEKER le 31/12/2016J'ai perdu l'ange avec qui j'ai avancé pendant 11 ans. J'ai perdu ce bonheur quand je le voyais à mes côtés. Ah.. Ce que je l'aimais, cette chatte. Oui, bien sûr vous allez me dire : Mais ce n'était qu'un chat ! A vos yeux oui, mais aux miens c'était plus que ça. Comment vous expliquer, qu'un matin vous vous réveillez en vous disant que tout est fini en le voyant ne plus revenir. Alors, à ce moment-là, c'est un coup de poignard qui s'enfonce et s'enfonce encore jusqu'à ça vous fasse mal au point de ne plus pouvoir crier. C'est votre coeur, que vous sentez se briser doucement. C'est cette larme amère qui vous brûle la joue en coulant et c'est ces sanglots qui vous rappelleront pour toujours que plus jamais vous ne le reverrez. A présent, je regrette tellement de ne pas lui avoir dit au revoir. J'aurais tellement voulu l'accompagner jusqu'au bout. J'aurais tellement voulu lui faire un dernier bisou, qui lui aurait donné la force de quitter ce monde avec un peu moins de souffrance. Il faut que vous compreniez la douleur que ça fait de se dire qu'il va falloir, maintenant, avancer sans elle. sa présence, son coeur qui battait. Sa présence, son coeur qui battait, lui, me manqueront pour l'éternité. Elle me manque, oui, elle me manque énormément. Il faut qu'elle sache que mon amour pour elle restera à jamais en moi, que jamais je ne l'oublierai et que même après ma mort et le temps qui passera, il y aura toujours écrit en lettre d'or son prénom gravé dans mon coeur. Repose en paix ma belle amie ... :'( (vu sur la page de Daisy)..., |
Déposé par KEKER le 31/12/2016« Toi qui as disparu, je sais que tu es là » : « Toi que j’avais besoin d’embrasser, de toucher, de regarder… Toi qui t’en es allée, dont le souvenir est si vivant en moi… Toi qui as disparu de ma vie quotidienne, de mes allées et venues, je sais que tu es là, je sais que ton absence provoque ma présence, non pas à de vains souvenirs, mais à une autre façon d’être présent à toi, d’être aimée de toi, non pas comme une fleur fanée, mais comme une fleur dont, un jour, le parfum te retrouvera. » Père André Marie (vu sur la page de Cléo) |
Déposé par KEKER le 25/12/2016En ce jour de Noël, un poème pour toi... Poème pour quelqu’un au paradis Je ne cesse de penser à toi Tu étais la minette la plus formidable sur cette terre Depuis ton départ un grand vide s’est fait au fond de moi Mon coeur saigne beaucoup car cette place ne sera plus jamais comblée par tout l’amour que tu me donnais. Pour mon chat qui me manque Si les roses rouges poussent au Paradis je voudrais petits Anges que vous en fassiez un joli bouquet et que de ma part vous lui offriez en lui disant que je l’aime beaucoup. et qu’il me manque terriblement à chaque instant toujours je pense à elle. Si le temps a passé Je n’ai rien oublié. J’ai pu te retrouver Au détour d’un sentier Et dans cette forêt Où nous aimions marcher Avant ta maladie Avant ta fin de vie. tu es ma plus belle pensée tu es mon énergie et ma force à chaque pas tu seras en moi dans mon coeur en chaque jour de soleil je te reconnaîtrai j’étais ton petit ange et tu es devenue le mien au paradis tu m’attendras Puisque la vie nous a séparées Et avant de là-haut nous retrouver Nous devons apprendre à vivre sans toi Ce n’est pas évident crois-moi On n’a rien d’autre à quoi se raccrocher Ton sourire est éteint à tout jamais Nous avons appris à faire de tes souvenirs une force qui nous permet de tenir Tu nous as quittés brutalement pour rejoindre la lumière des étoiles |
Déposé par biscuit le 24/12/2016La neige tombait sur la ville sans faire de bruit. Le petit chat marchait dans la neige sans faire de bruit. Les flocons saupoudraient de blanc ses poils roux. La rue était déserte. C'était la nuit de Noël. Bientôt les douze coups de minuit allaient sonner pour la plus belle nuit de l'année. Mais le petit chat ne le savait pas. Il n'avait que trois mois et avait encore beaucoup de choses à apprendre. Surtout cette nuit où il faisait si froid… et qu'il ne savait pas où se nicher pour dormir. Il était seul pour se débrouiller, si seul et si ignorant des astuces. Ce n'est pas comme ce gros matou gris de tout à l'heure qui l'avait chassé du coin chaud où il s'était blotti. Il en savait des choses, lui, mais alors quel sale égoïste ! Croyez-vous qu'il aurait partagé ce qu'il était en train de manger ? " Va pleurnicher ailleurs" lui avait-il dit. Aussi, le petit chat marchait seul dans la rue. Il avait faim, il avait froid. Et il regardait les fenêtres éclairées derrière lesquelles il devait faire bon vivre. Entendit-il sonner les douze coups de minuit ? Ca n'est pas sûr, mais par contre, il entendit parfaitement quelque chose passer au-dessus de lui, comme le vol d'un gros oiseau. Il s'aplatit au sol de frayeur ; quand il osa relever le museau, un drôle d'engin venait de se poser sur la maison d'en face. Il n'avait jamais rien vu de pareil ! Et maintenant voilà qu'un gros bonhomme tout en rouge en sortait avec un sac sur le dos. Et devant le drôle d'engin, deux grands rennes se mettaient à parler au bonhomme tout en rouge : - Fais attention Père Noël, disait l'un, la cheminée n'a pas l'air bien solide ! - Te mélanges pas dans ta liste, disait l'autre, ici c'est des rollers et une panoplie de "Mulan". - Mais oui, mais oui… Vous n'allez pas commencer à me surveiller quand même ! Vous savez bien que je ne me trompe jamais. D'en bas, le petit chat ne pouvait pas voir si ce bonhomme avait une barbe blanche. Il lui trouva quand même une ressemblance avec le bonhomme en manteau rouge des images qu'il voyait partout dans la ville depuis quelques jours. Mais que faisait-il donc là-haut ? Pour en avoir le cœur net, il décida d'aller voir ça de plus près. … Oui, mais comment faire pour monter ? En passant par les escaliers ? C'est que le petit chat gardait le souvenir cuisant des méchants coups de pied qu'on lui donnait quand il voulait rentrer dans une maison. Il fit donc le tour de l'immeuble, et finit par trouver un endroit pour grimper jusqu'au au premier étage. Ce ne fut pas très difficile. Restaient deux autres étages… et avec des pattes gelées, c'était pas évident ! Il lui fallut sept essais avant d'arriver en haut. Sept essais dont quatre moments d'équilibres acrobatiques, trois griffes arrachées, et un rétablissement miraculeux. Mais ça y était, il était sur le toit, il allait savoir. L'engin était toujours là. Les rennes bavardaient entre eux de choses que le petit chat tout essoufflé ne comprenait pas… Il était question d'une liste avec des noms de garçons et de filles, d'horaire à suivre, d'adresses, etc. Le petit chat se dirigea sans bruit vers l'engin. C'était plein de sacs dedans. Et plein de paquets aussi. Des gros, des très gros même, des plus petits, des minuscules. Tous avaient des couleurs joyeuses et scintillantes qui lui donnèrent envie de jouer avec. Il sauta hardiment dessus. Malheur ! Une petite musique se déclencha sous ses pattes. Le cœur battant, il s'enfuit au fond du traîneau où il trouva un sac à demi-ouvert pour se cacher. C'était tout sombre dedans, mais il y faisait chaud et doux. Le petit chat sentit des poils contre lui. Il renifla pour comprendre si c'était un autre chat ou un des ces monstres de chien, mais comme ça ne sentait ni l'un ni l'autre et que ça ne bougeait pas, il se blottit tout contre, rassuré. Puis il attendit. Dehors un renne parla : - Ca doit être un appareil de musique qui s'est encore déclenché tout seul ! Puis la voix du vieux bonhomme à l'habit rouge retentit, sonore et joyeuse : - Allons-y mes amis, au suivant de la liste ! Le petit chat sentit tout bouger autour de lui. Il eut la sensation de s'envoler puis quelques instants après, un coup de frein suivi d'un choc le déséquilibra. Son cœur tapait fort. Dehors, le vieux bonhomme riait : - Ah ! Ah ! Ah ! Cette fois, la cheminée est large, je vais pouvoir descendre à l'aise ! Le petit chat commençait à sortir le museau dehors quand tout bascula brusquement. Secoué de droite et de gauche, il roula dans le sac, parmi les paquets qui l'écrasaient. Une grande descente dans le vide lui remonta l'estomac dans le gosier… il miaula fort. Une main l'attrapa par la peau du cou. Un grand rire résonna à ses oreilles. - Mais qu'est-ce que je vois là ! Mais croyez-vous, ça !... Un passager clandestin! Le bonhomme en habit rouge le tenait en l'air, en riant très fort. Ses yeux riaient autant que sa bouche. - Tu as donc voulu savoir comment je m'y prend pour faire ma tournée ? Mais le petit chat était effrayé. Et il avait si faim et si froid qu'il miaulait à s'en étrangler et qu'il tremblait à en claquer des dents. - Dis-moi, dis-moi, tu n'as pas l'air si courageux que ça pour un petit curieux ! Il suffit qu'on te découvre pour que tu appelles maman au secours ? Allons, voyons je suis le Père Noël, tu n'as rien à craindre de moi. Bien sûr, je devrais te punir de m'avoir suivi, alors que personne ne doit accompagner le Père Noël pendant sa tournée, mais comme tu viens de me donner une très bonne idée, je ne dirai rien et je vais même te garder un petit moment avec moi. Et le Père Noël le mit dans la grande poche de son manteau. C'était doux à l'intérieur, et c'était chaud. Le petit chat s'y trouva bien de suite. Il ne savait pas encore qu'il allait vivre ce qui sera la nuit la plus extraordinaire de son existence. Ah, si seulement il n'avait pas cette faim atroce au ventre ! Il se redressa pour sortir le nez et pousser un petit miaulement de détresse… Peut-être que ce gentil bonhomme comprendra son problème… - Veux-tu bien te taire, tu risques de réveiller les enfants ! Si tu veux m'accompagner, il faut rester silencieux. Aussi silencieux que la neige qui tombe. Le bonhomme était en train de déposer des paquets auprès de deux paires de chaussons, tout petits, si petits qu'ils disparaissaient sous les paquets. - Tu vois, ici c'est pour Mélanie ; elle a commandé un poney en peluche et une piscine magique. Là c'est pour Eric, il a demandé un "établi de moulage" et une "batmobile". Et regarde comme ils sont gentils tous les deux, ils ont laissé une tasse de lait et des biscuits pour moi. Ils savent que je suis un peu gourmand, tu comprends, et puis ça me redonne des forces… Hé ! Mais qu'est-ce que tu fais ? Le petit chat s'était jeté sur le lait et qu'il le lapait en s'étranglant tellement il allait vite. De retour au traîneau, le Père Noël s'approcha des rennes avec un air mystérieux. - Regardez qui va passer la nuit avec nous ! Il sortit de sa poche une petit boule de poils ébouriffés et aux babines barbouillées de lait. - Il avait si faim, le pauvre chaton, que j'ai partagé mon goûter avec lui… enfin, disons qu'il m'en a laissé quelques gouttes ! Allez les rennes, aux suivants. Le petit chat garda les yeux écarquillés toute la nuit. Jamais il n'avait vu autant de belles choses, jamais il n'avait vu autant de couleurs scintillantes, jamais il n'avait vu autant de jouets, et jamais il n'avait crû que quelqu'un pouvait avoir autant de joie à déposer dans les maisons toutes ces merveilles. A la fin de sa tournée, le Père Noël rentra dans une demeure où brillait une lampe de chevet dans une chambre. Des pantoufles de grand-mère attendaient près du lit. - Tu vois, ici habite une gentille mamy qui m'a écrit pour me demander un cadeau. Elle voudrait quelque chose qui puisse la distraire pendant ses longs jours solitaires, et qui en même temps attirerait ses petits enfants pour qu'elle les voit plus souvent. Alors j'ai pensé à toi. Tu seras heureux ici, regarde comme tout est accueillant. Tu seras bien au chaud et je suis sûr que tu te régaleras… les grand-mères savent si bien faire la cuisine ! Mais chut… ne dis à personne que tu m'a accompagné cette nuit. Il déposa doucement le petit chat dans une pantoufle, lui fit un gros bisou, et attendit qu'il s'endormit, le museau niché dans les pattes, le cœur à jamais étoilé de cette merveilleuse nuit de Noël. Bon Noël à vous |
Déposé par KEKER le 16/12/2016«Il y a quelque chose de plus fort que la mort, c’est la présence des absents, dans la mémoire des vivants.» (Jean d’Ormesson). |
Déposé par biscuit le 03/12/2016Que les étoiles éloignent notre tristesse que les fleurs remplissent notre coeur de beauté que l'espoir essuie nos larmes a jamais que le silence nous rende fort. pensée Amérindienne. mais que le souvenir de ce passé si fragile a notre âme ,notre amour pour nos petits anges ne s'éteigne a jamais,que la lueur de cette flamme brille pour toujours dans notre chair meurtri, afin d'y apporter un peu de lumière ,de sérénité et apaise notre douleur,afin que leur sommeil soit en paix.... |
Déposé par KEKER le 02/12/2016«Il y a quelque chose de plus fort que la mort, c’est la présence des absents, dans la mémoire des vivants.» (Jean d’Ormesson). |
Déposé par KEKER le 23/11/2016"Je vais bien ne t'en fais pas <3 Des hauteurs du paradis des chats, si tu ne peux me voir, moi je te vois toujours. Profite au maximum du temps précieux que tu as encore devant toi pour expérimenter les délices de la matière, c'est ce qui de mon nuage pourra me rendre la plus heureuse du monde. Plus tu vivras dans la joie, plus je serai heureuse, et dès lors nos retrouvailles n'en seront que plus radieuses le moment venu. Tu n'as pas à te sentir coupable, encore moins triste car aujourd'hui je te parle par la voix des Châmes pour te dire combien je t'aime et que tout va bien. Merci pour tout, tu es vraiment une personne formidable, alors s'il te plaît, continue de vivre comme tu le faisais avant, c'est vraiment cela qui pourra me rendre heureuse. Mille baisers des cimes du paradis, on se retrouvera juste quand il le faudra " |
Déposé par heredia le 09/10/2016repose en paix jolie duchesse |
Déposé par mistigri13 le 28/09/2016Quand on veut jouer tous ensemble on va sur un grand nuage et quand je veux prendre un peu de temps pour penser à toi, pour veiller sur toi, je reste sur mon petit nuage et je te regarde avec plein d'amour dans le regard... Ce que je préfère, c'est te voir sourire...Je ne t'oublierai jamais !!!Je t'aime!!! |
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