Bonsoir Monique,
Je vous envoie toute ma compassion en ces tristes circonstances, et suis auprès de vous par la pensée. Bien sûr, je comprends que vous n'ayez pas le coeur à discuter en de pareils moments... Prenez tout le temps qu'il vous faut, nul ne vous en tiendra rigueur, et Opaline ainsi que Fripounette ne seront pas oubliées, soyez-en sûre. Je vous souhaite beaucoup de courage et je vous embrasse, amicalement, Anne-Marie |