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En hommage à
EUROPEENDoudou et Mounette
Il nous a quittés le:23/10/2017
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En hommage à
Doudou et Mounette
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797 Fleurs
208 messages
Déposé par biscuit le 10/01/2018Tu étais mon cœur, mon bonheur, Ce qui m’est arrivé de meilleur, Tu m'écoutais avec tendresse, Toi mon petit ange Tu n’étais que câlins et caresses, T'avais les yeux remplis d'affection Tu me donnais sans compter Je t’ai aimé comme mon enfant, Tu étais mon ami, mon confident Mais tu es parti, un matin au paradis Sans rien dire, sans faire de bruit Juste un bisous pour me dire merci Ton dernier soupir s’est enfuit, Laissant mon cœur meurtri, Me laissant dans mon silence Enfermée dans cette peine immense. Ton absence est une souffrance au quotidien Toi mon ange, mon amour de petit chat d’amour Au paradis où tu reposes, sois heureux, Pour toujours dans mon coeur tu demeures. Ta famille qui t’aime et t’aimeras câlins et bisous sur ton petit ventre , |
Déposé par biscuit le 08/01/2018On a tous quelqu'un de qui on ne parle jamais. Quelqu'un qui nous importait tant, Que même en respirant son nom, L'âme tremble avec ses souvenirs et ses peines. (Nikita Gill), |
Déposé par biscuit le 03/01/2018Paroles de la chanson "Un Jour" par Damien Sargue Où vont ceux qu’on aime Quand ils disparaissent, Tout à coup ? Quelqu’un qui nous laisse, Quelqu’un qui vous blesse Quand il s’en va trop loin de nous. Ils sont en nous-mêmes, À portée de nos souvenirs. Pas un mot de trop, Que le geste qu’il faut, Pour une dernière fois, Les retenir Personne ne finit dans l’oubli, Si quelqu’un l’attend encore ici. Un ami manque toujours, On pense toujours à son retour. Un jour, tous les espoirs sont permis, Que le passé reprenne vie ; Le présent, les absents réunis. Un jour, il fera bon s’endormir Et ne plus penser au pire. On vit aussi de souvenirs ! Que font ceux qui restent Quand leur peine est plus forte que tout, Quand ils se détestent D’être ceux qui restent, Ceux qui doivent aller jusqu’au bout ? Personne ne finit dans l’oubli, Si quelqu’un l’attend encore ici. Un ami manque toujours, On pense toujours à son retour Un jour, tous les espoirs sont permis, Que le passé reprenne vie Le présent, les absents réunis. Un jour, il fera bon s’endormir Et ne plus penser au pire. On vit aussi de souvenirs Un jour, tous les espoirs sont permis, Que le passé reprenne vie ; Les présents, les absents réunis. Un jour, il fera bon s’endormir Et ne plus penser au pire. On vit aussi de souvenirs ! Un jour, tous les espoirs sont permis, Que le passé reprenne vie ; Le présent, les absents réunis. Un jour, il fera bon s’endormir Et ne plus penser au pire. On vit aussi de souvenirs !, |
Déposé par biscuit le 02/01/2018poème De sa fourrure blonde et brune Sort un parfum si doux, qu'un soir J'en fus embaumé, pour l'avoir caressée une fois, rien qu'une. C'est l'esprit familier du lieu ; Il juge, il préside, il inspire Toutes choses dans son empire ; Peut-être est-il fée, est-il dieu. Quand mes yeux, vers ce chat que j'aime Tirés comme par un aimant Se retournant docilement Et que je regarde en moi-même, Je le vois avec étonnement Le feu de ses prunelle pâles Clairs fanaux, vivantes opales, Qui me contemplent fixement |
Déposé par biscuit le 01/01/2018Le Chat et la Lune William Butler Yeats Le chat s'en allait ça et là, La lune tournait comme une toupie, Le plus proche parent de la lune, Le chat rampant, leva les yeux. Minnaloushe rampe dans l'herbe De flaque de lune en flaque de lune, Et là-haut la lune sacrée Commence une phase nouvelle. Minnaloushe a-t-il conscience Que ses prunelles changent sans cesse, Qu'elles vont du cercle au croissant, Pour aller du croissant au cercle ? Minnaloushe rampe dans l'herbe, Solitaire, sage, important, Levant vers la lune changeante Ses yeux changeants. |
Déposé par biscuit le 30/12/2017De l'autre coté de la vie Quand je sortirai de mon corps, Comme un papillon ou mieux encore Pour m'envoler vers d'autres ciels, Et découvrir d'autres soleils Quand je partirai dans la nuit Entre les fleurs et les bougies Quand je partirai pour de bon, Souviens-toi de cette chanson Quand j'aurai fini d'en finir Entre les larmes et les sanglots Je viendrai vers toi sans rien dire Et flotterai comme un drapeau Et dans un signe de la main Entre les vapeurs et l'encens Je sais que tu me verras bien Tu sauras que je suis vivant De l'autre côté, de l'autre côté de la vie Des mots de lumière, je t'écris Entre le silence et la nuit De l'autre côté, de l'autre côté du miroir Si tu fermes les yeux, tu peux me voir Quand j'aurai fini de parler Que j'n'aurai plus rien à chanter Alors, j'attendrai l'ascenseur Et qu'importe le temps et l'heure Si c'est à Paris dans mon lit Ou dans un pays loin d'ici Ce n'est qu'un contrat qui s'termine Mais surtout pas la fin du film De l'autre côté, de l'autre côté de la vie Des mots de lumière, je t'écris Entre le silence et la nuit De l'autre côté, de l'autre côté du miroir Si tu fermes les yeux, tu peux me voir De l'autre côté, de l'autre côté de la vie Des mots de lumière, je t'écris Entre le silence et la nuit De l'autre côté, de l'autre côté du miroir Si tu fermes les yeux, tu peux me voir Paroles: Alain Turban, , |
Déposé par biscuit le 28/12/2017Je t'aime encore si fort que ta vie est en moi. Ton horizon est différent mais mon amour est là, vivant, Tes souvenirs me réchauffent de toi Ils sont comme l'ombre, preuve de lumière Si les larmes parfois viennent arroser mon coeur C'est que, jardin fleuri, il embaume encore de ta présence silencieuse. Si parfois ma souffrance veut prendre le dessus, c'est preuve que je t'aime et que rien ne pourra t'arracher de ma vie Père André Marie, |
Déposé par biscuit le 27/12/2017Mon âme s'est envolée ,telle une colombe, Vers ce mystérieux paradis d'Eve et d'Adam. J'ai suivi cette éblouissante lumière ,pour rentrer dans l'infini, Alors une paix immense m'a envahie ,la peur, la tristesse,se sont envolées, Les couleurs des fleurs,des arbres sont intenses, Les bleus se marient avec les verts, Les parfums des fleurs m'enivrent, Telle une liqueur,la douce musique apaise mon âme, Est ce cela la mort ? Simplement le passage de la vie à la mort... Alors oublions la tristesse,fêtons cet événement, Qu'est la venue dans ce nouveau Monde qu'est le paradis, Car la vie et la mort nous suivent pas à pas, Mourir c'est vivre,vivre c'est mourir, Le tout ne faisant qu'un... Car rien ne meurt,tout renait, c'est cela l'éternité, de l' ÉTERNEL... |
Déposé par biscuit le 26/12/2017AU PAYS DES ETOILES Dans le vaste infini Où se noient les étoiles Il existe un pays Que l’absence nous voile. C’est un pays magique, Baigné de pur amour, Aux charmes magnifiques Où seul règne le jour. Des cascades d’eau pure Et des prairies fleuries, Et des lacs, j’en suis sûre Où l’on s’ébat, ravi. A ce pays doré Seules accèdent les âmes De nos êtres aimés Par un grand pont diaphane, Sous un bel arc en ciel, Vers une chaude lumière, Dans ce pays de miel Qui survit dans l’Ether. S’y retrouvent ensemble Nos parents, nos amis, Nos amours et me semble Nos animaux chéris. Ils sont devenus anges Entourés d’une aura, C’est de là qu’ils s’arrangent A gommer nos tracas ! Ils nous veillent sans cesse Et calment nos chagrins, Écartent nos détresses, Nous montrant le chemin. Ils soulagent nos peines Et apaisent nos larmes, Toutes nos peurs sont vaines, Leur amour est une arme. Dans le vaste infini Où se noient les étoiles Il existe un pays Que l’absence nous voile. Clau (novembre 2012) , |
Déposé par biscuit le 25/12/2017toi mon beau chat qui a honnoré plus que toutes les belles promesses plus que tous les dons et amours imparfaits qui a couvert d'or la part d'indignité des relations humaines, qui a réanimé la part d'amour, que le hommes n'ont pas pu recueillir, n'ont pas su regarder et ont laissé mourrir, sache que mes plus belles pensées t'accompagne dans ta dernière demeure récompense ta fidèlité sans faille ton amour si parfait toi mon fidèle ami que j'aurais voulu éternel puisses tu être une lumière une étoile au firmament sans pareille. , |
Déposé par biscuit le 24/12/2017La neige tombait sur la ville sans faire de bruit. Le petit chat marchait dans la neige sans faire de bruit. Les flocons saupoudraient de blanc ses poils roux. La rue était déserte. C'était la nuit de Noël. Bientôt les douze coups de minuit allaient sonner pour la plus belle nuit de l'année. Mais le petit chat ne le savait pas. Il n'avait que trois mois et avait encore beaucoup de choses à apprendre. Surtout cette nuit où il faisait si froid… et qu'il ne savait pas où se nicher pour dormir. Il était seul pour se débrouiller, si seul et si ignorant des astuces. Ce n'est pas comme ce gros matou gris de tout à l'heure qui l'avait chassé du coin chaud où il s'était blotti. Il en savait des choses, lui, mais alors quel sale égoïste ! Croyez-vous qu'il aurait partagé ce qu'il était en train de manger ? " Va pleurnicher ailleurs" lui avait-il dit. Aussi, le petit chat marchait seul dans la rue. Il avait faim, il avait froid. Et il regardait les fenêtres éclairées derrière lesquelles il devait faire bon vivre. Entendit-il sonner les douze coups de minuit ? Ca n'est pas sûr, mais par contre, il entendit parfaitement quelque chose passer au-dessus de lui, comme le vol d'un gros oiseau. Il s'aplatit au sol de frayeur ; quand il osa relever le museau, un drôle d'engin venait de se poser sur la maison d'en face. Il n'avait jamais rien vu de pareil ! Et maintenant voilà qu'un gros bonhomme tout en rouge en sortait avec un sac sur le dos. Et devant le drôle d'engin, deux grands rennes se mettaient à parler au bonhomme tout en rouge : - Fais attention Père Noël, disait l'un, la cheminée n'a pas l'air bien solide ! - Te mélanges pas dans ta liste, disait l'autre, ici c'est des rollers et une panoplie de "Mulan". - Mais oui, mais oui… Vous n'allez pas commencer à me surveiller quand même ! Vous savez bien que je ne me trompe jamais. D'en bas, le petit chat ne pouvait pas voir si ce bonhomme avait une barbe blanche. Il lui trouva quand même une ressemblance avec le bonhomme en manteau rouge des images qu'il voyait partout dans la ville depuis quelques jours. Mais que faisait-il donc là-haut ? Pour en avoir le cœur net, il décida d'aller voir ça de plus près. … Oui, mais comment faire pour monter ? En passant par les escaliers ? C'est que le petit chat gardait le souvenir cuisant des méchants coups de pied qu'on lui donnait quand il voulait rentrer dans une maison. Il fit donc le tour de l'immeuble, et finit par trouver un endroit pour grimper jusqu'au au premier étage. Ce ne fut pas très difficile. Restaient deux autres étages… et avec des pattes gelées, c'était pas évident ! Il lui fallut sept essais avant d'arriver en haut. Sept essais dont quatre moments d'équilibres acrobatiques, trois griffes arrachées, et un rétablissement miraculeux. Mais ça y était, il était sur le toit, il allait savoir. L'engin était toujours là. Les rennes bavardaient entre eux de choses que le petit chat tout essoufflé ne comprenait pas… Il était question d'une liste avec des noms de garçons et de filles, d'horaire à suivre, d'adresses, etc. Le petit chat se dirigea sans bruit vers l'engin. C'était plein de sacs dedans. Et plein de paquets aussi. Des gros, des très gros même, des plus petits, des minuscules. Tous avaient des couleurs joyeuses et scintillantes qui lui donnèrent envie de jouer avec. Il sauta hardiment dessus. Malheur ! Une petite musique se déclencha sous ses pattes. Le cœur battant, il s'enfuit au fond du traîneau où il trouva un sac à demi-ouvert pour se cacher. C'était tout sombre dedans, mais il y faisait chaud et doux. Le petit chat sentit des poils contre lui. Il renifla pour comprendre si c'était un autre chat ou un des ces monstres de chien, mais comme ça ne sentait ni l'un ni l'autre et que ça ne bougeait pas, il se blottit tout contre, rassuré. Puis il attendit. Dehors un renne parla : - Ca doit être un appareil de musique qui s'est encore déclenché tout seul ! Puis la voix du vieux bonhomme à l'habit rouge retentit, sonore et joyeuse : - Allons-y mes amis, au suivant de la liste ! Le petit chat sentit tout bouger autour de lui. Il eut la sensation de s'envoler puis quelques instants après, un coup de frein suivi d'un choc le déséquilibra. Son cœur tapait fort. Dehors, le vieux bonhomme riait : - Ah ! Ah ! Ah ! Cette fois, la cheminée est large, je vais pouvoir descendre à l'aise ! Le petit chat commençait à sortir le museau dehors quand tout bascula brusquement. Secoué de droite et de gauche, il roula dans le sac, parmi les paquets qui l'écrasaient. Une grande descente dans le vide lui remonta l'estomac dans le gosier… il miaula fort. Une main l'attrapa par la peau du cou. Un grand rire résonna à ses oreilles. - Mais qu'est-ce que je vois là ! Mais croyez-vous, ça !... Un passager clandestin! Le bonhomme en habit rouge le tenait en l'air, en riant très fort. Ses yeux riaient autant que sa bouche. - Tu as donc voulu savoir comment je m'y prend pour faire ma tournée ? Mais le petit chat était effrayé. Et il avait si faim et si froid qu'il miaulait à s'en étrangler et qu'il tremblait à en claquer des dents. - Dis-moi, dis-moi, tu n'as pas l'air si courageux que ça pour un petit curieux ! Il suffit qu'on te découvre pour que tu appelles maman au secours ? Allons, voyons je suis le Père Noël, tu n'as rien à craindre de moi. Bien sûr, je devrais te punir de m'avoir suivi, alors que personne ne doit accompagner le Père Noël pendant sa tournée, mais comme tu viens de me donner une très bonne idée, je ne dirai rien et je vais même te garder un petit moment avec moi. Et le Père Noël le mit dans la grande poche de son manteau. C'était doux à l'intérieur, et c'était chaud. Le petit chat s'y trouva bien de suite. Il ne savait pas encore qu'il allait vivre ce qui sera la nuit la plus extraordinaire de son existence. Ah, si seulement il n'avait pas cette faim atroce au ventre ! Il se redressa pour sortir le nez et pousser un petit miaulement de détresse… Peut-être que ce gentil bonhomme comprendra son problème… - Veux-tu bien te taire, tu risques de réveiller les enfants ! Si tu veux m'accompagner, il faut rester silencieux. Aussi silencieux que la neige qui tombe. Le bonhomme était en train de déposer des paquets auprès de deux paires de chaussons, tout petits, si petits qu'ils disparaissaient sous les paquets. - Tu vois, ici c'est pour Mélanie ; elle a commandé un poney en peluche et une piscine magique. Là c'est pour Eric, il a demandé un "établi de moulage" et une "batmobile". Et regarde comme ils sont gentils tous les deux, ils ont laissé une tasse de lait et des biscuits pour moi. Ils savent que je suis un peu gourmand, tu comprends, et puis ça me redonne des forces… Hé ! Mais qu'est-ce que tu fais ? Le petit chat s'était jeté sur le lait et qu'il le lapait en s'étranglant tellement il allait vite. De retour au traîneau, le Père Noël s'approcha des rennes avec un air mystérieux. - Regardez qui va passer la nuit avec nous ! Il sortit de sa poche une petit boule de poils ébouriffés et aux babines barbouillées de lait. - Il avait si faim, le pauvre chaton, que j'ai partagé mon goûter avec lui… enfin, disons qu'il m'en a laissé quelques gouttes ! Allez les rennes, aux suivants. Le petit chat garda les yeux écarquillés toute la nuit. Jamais il n'avait vu autant de belles choses, jamais il n'avait vu autant de couleurs scintillantes, jamais il n'avait vu autant de jouets, et jamais il n'avait crû que quelqu'un pouvait avoir autant de joie à déposer dans les maisons toutes ces merveilles. A la fin de sa tournée, le Père Noël rentra dans une demeure où brillait une lampe de chevet dans une chambre. Des pantoufles de grand-mère attendaient près du lit. - Tu vois, ici habite une gentille mamy qui m'a écrit pour me demander un cadeau. Elle voudrait quelque chose qui puisse la distraire pendant ses longs jours solitaires, et qui en même temps attirerait ses petits enfants pour qu'elle les voit plus souvent. Alors j'ai pensé à toi. Tu seras heureux ici, regarde comme tout est accueillant. Tu seras bien au chaud et je suis sûr que tu te régaleras… les grand-mères savent si bien faire la cuisine ! Mais chut… ne dis à personne que tu m'a accompagné cette nuit. Il déposa doucement le petit chat dans une pantoufle, lui fit un gros bisou, et attendit qu'il s'endormit, le museau niché dans les pattes, le cœur à jamais étoilé de cette merveilleuse nuit de Noël. |
Déposé par biscuit le 23/12/2017En cette fin d'année Et en ce jour merveilleux qu'est noël Je ne peux t'offrir un cadeau merveilleux comme chaque années Je ne peux t'offrir les étoiles,parceque mon étoile c'est toi Mais je peux t'offrir un plus beau cadeau Et ce cadeau c'est mon coeur ,et mon amour à jamais Toi et moi sommes ensembles comme des anges Pourquoi? Car tu es mon ange d'amour Car tu es mon ange de toujours Car tu me donne toute ta tendresse Car tu éloigne ma tristesse Et que ma vie avec toi n'était que du bonheur Alors oui, je ne peux t'offrir de cadeau Mais je peux t'offrir mon amour Je peux t'offrir mon coeur Et je peux t'offrir ma tendresse. Mon amour de toujours Je t'aime et je te souhaite Un très bon et heureux noel Pour toi mon petit chat que j'aime |
Déposé par biscuit le 23/12/2017Quand le jour me réveille et qui m'offre encore ses plus beau éclats Le vide est le même car tu n'es plus la Dans le monde de mes sommeils je respire Mais je sais que je n'vis pas Plus rien n'est pareil Quand tu n'es plus la Je n'suis plus sur de s'qui nous est arrivés J'y pense tous les jours j'ai même peur d'accepter, |
Déposé par biscuit le 22/12/2017ANDRÉ PHILIPPUS BRINK ,On ne peut se fier a personne,les Chats,c'est autre chose,une fois qu'ils t'acceptent dans leur vie,c'est pour toujours |
Déposé par biscuit le 21/12/2017Souhaiter un joyeux Noël C’est donner à la pelle Pas rien qu’à sa famille Mais aux gens sans famille Oublier les discordes Et tendre une jolie corde A ceux qui n’ont plus rien Qu’on traite moins que rien Apporter des mots doux Qui apaisent de tout Et partager surtout Un endroit chaud et doux Souhaiter un beau Noël C’est mettre une chandelle Qui fait qu’on se rappelle Que la vie doit être belle Pour tous les êtres humains Qui sont dans le chagrin. |
Déposé par biscuit le 20/12/2017Vole, vole jusqu’au ciel, que cet envol soit pour toi un vrai soulagement, que toutes tes peines disparaissent. Que tu sois léger comme un ange dans le ciel, et qu’il t’apporte les clés du bonheur. Que tes souffrances cessent, maintenant diriges-toi vers les petits anges, qui te guideront via la clé des songes. Que tu m’aperçoives pour que je te fasse savoir d’ici bas que je ne t’oublie pas! |
Déposé par biscuit le 19/12/2017CITATION DE BENJAMIN CONSTANT La douleur réveille en nous, tantôt ce qu'il y a de plus noble dans notre nature : le courage. Tantôt ce qu'il y a de plus tendre : la sympathie et la pitié. Elle nous apprend à lutter pour nous et pour les autres. |
Déposé par biscuit le 18/12/2017Le Lait Tout d'abord, de son nez délicat il le flaire. Le frole; puis ,à coups de langue très petits, il le lampe, et dès lors il est à son affaire; Et l'on entend, pendant qu'il boit un clapotis. Il boit, bougeant la queue, et sans faire une pause, Et ne relève enfin son joli museau plat Que lorsqu'il a passé sa langue reche et rose Partout, bien proprement débarbouillé le plat. Alors, il se pourlèche un moment les moustaches Avec l'air étonné d'avoir déjà fini; Et, comme il s'aperçoit qu'il s'est fait quelques taches, Il relustre avec soin son pelage terni. Ses yeux bleus et jaunes sont comme deux agates; Il les ferme à demi, parfois en reniflant, Se renverse, ayant pris son museau dans ses pattes, Avec des airs de tigre étendu sur le flanc. "Edmond Rostand", , |
Déposé par biscuit le 17/12/2017Profondeurs de mon coeur là où personne n'a jamais été. Je t'écris tous les moments de bonheur que tu as su m'apporter, Je t'écris des secrets inavoués que toi seul peut mérité, Je t'écris des morceaux de douceur que tu recevras en plein coeur, Je t'écris de ma main des mots pour toi, Mais que j'aimerais te dire tout bas, Je t'écris que je t'aime,et que c'est devenu un problème, Je t'écris car ça me fait souffrir, Je t'écris,je t'écris,sans fin jusqu'à en épuiser mes mains, Je t'écris des éclats de louange que je te chanterait toi mon ange, Je t'écris,je t'écris ou plutôt je te le dis!! ...je t'aime,je t'aime... Oh que oui je t'aime., , |
Déposé par biscuit le 15/12/2017À fréquenter le chat, on ne risque que de s'enrichir. Nos compagnons les plus parfaits n'ont jamais moins de quatre pattes. De la confiance mentale, du murmure télépathique En s'associant avec un chat, on ne fait que prendre le risque d'être plus riche Le temps passé avec un chat n'est jamais perdu. Colette |
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