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En hommage à
Fripouille

Il est né le:--/06/2001
Il nous a quittés le:23/02/2017
 

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En hommage à Fripouille

Fripouille,mon fripouillou
Voilà ,ce matin tu as rejoints ton copain Ti-Mousse,j'ai du encore prendre cette dure décision,mais ton état était tel qu'il fallait hèlas que je fasse cela pour toi.Tu étais arrivé chez nous le 4 septembre 2001,c'est Gérald qui t'avait trouvé près d'un champs au bord de la route,chaton ,que faisait tu là tout seul ?Bref tu as eus je crois une belle vie avec nous,tu vas me manquer,tu t'installais souvent sur mon tapis d'ordinateur,tu as encore dormi contre moi cette nuit,va vite retrouver tous tes amis chats et chiens,je ne t'oublierais jamais,doux repos Fripouille,ta maman




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1173 Fleurs
Déposé par gribouille
Déposé par gribouille
Toi aussi Fripouille tu as été aimé et choyé
Déposé par gribouille
Déposé par gribouille
Pensées pour toi petit Fripouille ainsi qu'à tes braves maîtres
Déposé par biscuit
Déposé par biscuit
dans mes pensées,caresses pour toi
Déposé par pacificelectric
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Déposé par Akhenaton
Déposé par Akhenaton
Pensées pour toi, Fripouille, en ce jour...
Déposé par susi
Déposé par susi
Déposé par annie
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🍃💕🍃 Pensée pour toi Fripouille ce 23 février 2021 🍃💕🍃
Déposé par Chantalotte21
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🌺🌼 Ce bouquet pour tes 4 ans au paradis, joli petit coeur. 🌹🌷
Déposé par superfetatoire
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Déposé par AMARIE
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🌟🌈🌟 🌈 🌟🌈 🌟🌈🌟 🌈🌟
Déposé par MISTRAL
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Famille MISTRAL, RAMSES II, DOUGLAS et GOLDEN MILADY
Déposé par Minouhe
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tendres pensées
Déposé par mumubert
Déposé par mumubert
tendres pensées pour ton anniversaire au pays de l'arc en ciel. Plein de douces caresses pour toi .....
Déposé par pacificelectric
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Déposé par pacificelectric
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de la part de Mélusine et Mélisande
Déposé par lepapou
Déposé par lepapou
Pour tes 4 ans au paradis des chats
Déposé par KEKER
Déposé par KEKER
Pour tes 4 ans au paradis des minous, ces roses en tendre hommage, repose en paix, très tendrement...
Déposé par pacificelectric
Déposé par pacificelectric


380 messages

Déposé par biscuit le 12/01/2018  
poème à notre petit être aimé
Petit être de douceur,
qui m'a donné tant de bonheur,
toi, qui réchauffais mon coeur,
dans mes moments de pleurs.
Petit être de douceur,
tu as enrichis ma vie,
de souvenirs tellement jolis,
inscris dans le livre de ma vie.
Petite être de douceur,
nous avons traversé des nuits d'orages,
nos coeurs emplis de rage.
Petit être de douceur,
toi, l'ami fidèle pour toujours,
celui qui ne trahi jamais,
quelque soit le parcours.
Après un dernier regard,
qui m'enlevait mon dernier espoir,
tu m'as donne un dernier baiser,
comme pour me dire,
je dois te laisser.
Tu es parti doucement,
et j'ai revu tous nos moments,
te voilà envolé,
vers cette fameuse éternité.
Va mon coeur, mon bonheur,
tu as gagné ta place au paradis,
et si jamais tu croise un ange,
laisses' toi donc emporté,
dans les profondeurs du firmament,
Petit être de douceur,
n'oublies jamais maman et ta soeur
un jour tu verras,
je reviendrai auprès de toi.
Au revoir, mon coeur,
au revoir, mon grand bonheur,
au revoir petit ange,
au revoir,
petit-être de douceur.......

Déposé par biscuit le 10/01/2018  

Tu étais mon cœur, mon bonheur,
Ce qui m’est arrivé de meilleur,
Tu m'écoutais avec tendresse,
Toi mon petit ange
Tu n’étais que câlins et caresses,
T'avais les yeux remplis d'affection
Tu me donnais sans compter
Je t’ai aimé comme mon enfant,
Tu étais mon ami, mon confident
Mais tu es parti, un matin au paradis
Sans rien dire, sans faire de bruit
Juste un bisous pour me dire merci
Ton dernier soupir s’est enfuit,
Laissant mon cœur meurtri,
Me laissant dans mon silence
Enfermée dans cette peine immense.
Ton absence est une souffrance au quotidien
Toi mon ange, mon amour de petit chat d’amour
Au paradis où tu reposes, sois heureux,
Pour toujours dans mon coeur tu demeures.
Ta famille qui t’aime et t’aimeras
câlins et bisous sur ton petit ventre ,

Déposé par biscuit le 08/01/2018  

On a tous quelqu'un de qui on ne parle jamais.
Quelqu'un qui nous importait tant,
Que même en respirant son nom,
L'âme tremble avec ses souvenirs et ses peines.
(Nikita Gill),

Déposé par biscuit le 03/01/2018  
Paroles de la chanson "Un Jour" par Damien Sargue
Où vont ceux qu’on aime
Quand ils disparaissent,
Tout à coup ?
Quelqu’un qui nous laisse,
Quelqu’un qui vous blesse
Quand il s’en va trop loin de nous.
Ils sont en nous-mêmes,
À portée de nos souvenirs.
Pas un mot de trop,
Que le geste qu’il faut,
Pour une dernière fois,
Les retenir
Personne ne finit dans l’oubli,
Si quelqu’un l’attend encore ici.
Un ami manque toujours,
On pense toujours à son retour.
Un jour, tous les espoirs sont permis,
Que le passé reprenne vie ;
Le présent, les absents réunis.
Un jour, il fera bon s’endormir
Et ne plus penser au pire.
On vit aussi de souvenirs !
Que font ceux qui restent
Quand leur peine est plus forte que tout,
Quand ils se détestent
D’être ceux qui restent,
Ceux qui doivent aller jusqu’au bout ?
Personne ne finit dans l’oubli,
Si quelqu’un l’attend encore ici.
Un ami manque toujours,
On pense toujours à son retour
Un jour, tous les espoirs sont permis,
Que le passé reprenne vie
Le présent, les absents réunis.
Un jour, il fera bon s’endormir
Et ne plus penser au pire.
On vit aussi de souvenirs
Un jour, tous les espoirs sont permis,
Que le passé reprenne vie ;
Les présents, les absents réunis.
Un jour, il fera bon s’endormir
Et ne plus penser au pire.
On vit aussi de souvenirs !
Un jour, tous les espoirs sont permis,
Que le passé reprenne vie ;
Le présent, les absents réunis.
Un jour, il fera bon s’endormir
Et ne plus penser au pire.
On vit aussi de souvenirs !,

Déposé par biscuit le 01/01/2018  

Le Chat et la Lune William Butler Yeats
Le chat s'en allait ça et là,
La lune tournait comme une toupie,
Le plus proche parent de la lune,
Le chat rampant, leva les yeux.
Minnaloushe rampe dans l'herbe
De flaque de lune en flaque de lune,
Et là-haut la lune sacrée
Commence une phase nouvelle.
Minnaloushe a-t-il conscience
Que ses prunelles changent sans cesse,
Qu'elles vont du cercle au croissant,
Pour aller du croissant au cercle ?
Minnaloushe rampe dans l'herbe,
Solitaire, sage, important,
Levant vers la lune changeante
Ses yeux changeants.

Déposé par biscuit le 30/12/2017  

De l'autre coté de la vie
Quand je sortirai de mon corps,
Comme un papillon ou mieux encore
Pour m'envoler vers d'autres ciels,
Et découvrir d'autres soleils
Quand je partirai dans la nuit
Entre les fleurs et les bougies
Quand je partirai pour de bon,
Souviens-toi de cette chanson
Quand j'aurai fini d'en finir
Entre les larmes et les sanglots
Je viendrai vers toi sans rien dire
Et flotterai comme un drapeau
Et dans un signe de la main
Entre les vapeurs et l'encens
Je sais que tu me verras bien
Tu sauras que je suis vivant
De l'autre côté, de l'autre côté de la vie
Des mots de lumière, je t'écris
Entre le silence et la nuit
De l'autre côté, de l'autre côté du miroir
Si tu fermes les yeux, tu peux me voir
Quand j'aurai fini de parler
Que j'n'aurai plus rien à chanter
Alors, j'attendrai l'ascenseur
Et qu'importe le temps et l'heure
Si c'est à Paris dans mon lit
Ou dans un pays loin d'ici
Ce n'est qu'un contrat qui s'termine
Mais surtout pas la fin du film
De l'autre côté, de l'autre côté de la vie
Des mots de lumière, je t'écris
Entre le silence et la nuit
De l'autre côté, de l'autre côté du miroir
Si tu fermes les yeux, tu peux me voir
De l'autre côté, de l'autre côté de la vie
Des mots de lumière, je t'écris
Entre le silence et la nuit
De l'autre côté, de l'autre côté du miroir
Si tu fermes les yeux, tu peux me voir
Paroles: Alain Turban,
,

Déposé par biscuit le 28/12/2017  

Je t'aime encore si fort que ta vie est en moi.
Ton horizon est différent mais mon amour est là, vivant,
Tes souvenirs me réchauffent de toi
Ils sont comme l'ombre, preuve de lumière
Si les larmes parfois viennent arroser mon coeur
C'est que, jardin fleuri,
il embaume encore de ta présence silencieuse.
Si parfois ma souffrance veut prendre le dessus,
c'est preuve que je t'aime et que
rien ne pourra t'arracher de ma vie
Père André Marie,

Déposé par biscuit le 27/12/2017  
Mon âme s'est envolée ,telle une colombe,
Vers ce mystérieux paradis d'Eve et d'Adam.
J'ai suivi cette éblouissante lumière ,pour rentrer dans l'infini,
Alors une paix immense m'a envahie ,la peur, la tristesse,se sont envolées,
Les couleurs des fleurs,des arbres sont intenses,
Les bleus se marient avec les verts,
Les parfums des fleurs m'enivrent,
Telle une liqueur,la douce musique apaise mon âme,
Est ce cela la mort ?
Simplement le passage de la vie à la mort...
Alors oublions la tristesse,fêtons cet événement,
Qu'est la venue dans ce nouveau Monde qu'est le paradis,
Car la vie et la mort nous suivent pas à pas,
Mourir c'est vivre,vivre c'est mourir,
Le tout ne faisant qu'un...
Car rien ne meurt,tout renait, c'est cela l'éternité,
de l' ÉTERNEL...

Déposé par biscuit le 26/12/2017  
AU PAYS DES ETOILES
Dans le vaste infini
Où se noient les étoiles
Il existe un pays
Que l’absence nous voile.
C’est un pays magique,
Baigné de pur amour,
Aux charmes magnifiques
Où seul règne le jour.
Des cascades d’eau pure
Et des prairies fleuries,
Et des lacs, j’en suis sûre
Où l’on s’ébat, ravi.
A ce pays doré
Seules accèdent les âmes
De nos êtres aimés
Par un grand pont diaphane,
Sous un bel arc en ciel,
Vers une chaude lumière,
Dans ce pays de miel
Qui survit dans l’Ether.
S’y retrouvent ensemble
Nos parents, nos amis,
Nos amours et me semble
Nos animaux chéris.
Ils sont devenus anges
Entourés d’une aura,
C’est de là qu’ils s’arrangent
A gommer nos tracas !
Ils nous veillent sans cesse
Et calment nos chagrins,
Écartent nos détresses,
Nous montrant le chemin.
Ils soulagent nos peines
Et apaisent nos larmes,
Toutes nos peurs sont vaines,
Leur amour est une arme.
Dans le vaste infini
Où se noient les étoiles
Il existe un pays
Que l’absence nous voile.
Clau (novembre 2012)

Déposé par biscuit le 25/12/2017  

toi mon beau chat
qui a honnoré
plus que toutes les belles promesses
plus que tous les dons et amours imparfaits
qui a couvert d'or la part d'indignité des relations humaines,
qui a réanimé la part d'amour,
que le hommes n'ont pas pu recueillir,
n'ont pas su regarder et ont laissé mourrir,
sache que mes plus belles pensées
t'accompagne dans ta dernière demeure
récompense ta fidèlité sans faille
ton amour si parfait
toi mon fidèle ami
que j'aurais voulu éternel
puisses tu être une lumière
une étoile au firmament sans pareille.
,

Déposé par biscuit le 24/12/2017  
La neige tombait sur la ville sans faire de bruit. Le petit chat marchait dans la neige sans faire de bruit. Les flocons saupoudraient de blanc ses poils roux.
La rue était déserte.
C'était la nuit de Noël.
Bientôt les douze coups de minuit allaient sonner pour la plus belle nuit de l'année.
Mais le petit chat ne le savait pas. Il n'avait que trois mois et avait encore beaucoup de choses à apprendre. Surtout cette nuit où il faisait si froid… et qu'il ne savait pas où se nicher pour dormir. Il était seul pour se débrouiller, si seul et si ignorant des astuces. Ce n'est pas comme ce gros matou gris de tout à l'heure qui l'avait chassé du coin chaud où il s'était blotti. Il en savait des choses, lui, mais alors quel sale égoïste ! Croyez-vous qu'il aurait partagé ce qu'il était en train de manger ?
" Va pleurnicher ailleurs" lui avait-il dit.
Aussi, le petit chat marchait seul dans la rue. Il avait faim, il avait froid. Et il regardait les fenêtres éclairées derrière lesquelles il devait faire bon vivre.
Entendit-il sonner les douze coups de minuit ? Ca n'est pas sûr, mais par contre, il entendit parfaitement quelque chose passer au-dessus de lui, comme le vol d'un gros oiseau. Il s'aplatit au sol de frayeur ; quand il osa relever le museau, un drôle d'engin venait de se poser sur la maison d'en face.
Il n'avait jamais rien vu de pareil !
Et maintenant voilà qu'un gros bonhomme tout en rouge en sortait avec un sac sur le dos.
Et devant le drôle d'engin, deux grands rennes se mettaient à parler au bonhomme tout en rouge :
- Fais attention Père Noël, disait l'un, la cheminée n'a pas l'air bien solide !
- Te mélanges pas dans ta liste, disait l'autre, ici c'est des rollers et une panoplie de "Mulan".
- Mais oui, mais oui… Vous n'allez pas commencer à me surveiller quand même ! Vous savez bien que je ne me trompe jamais.
D'en bas, le petit chat ne pouvait pas voir si ce bonhomme avait une barbe blanche. Il lui trouva quand même une ressemblance avec le bonhomme en manteau rouge des images qu'il voyait partout dans la ville depuis quelques jours.
Mais que faisait-il donc là-haut ?
Pour en avoir le cœur net, il décida d'aller voir ça de plus près.
… Oui, mais comment faire pour monter ? En passant par les escaliers ? C'est que le petit chat gardait le souvenir cuisant des méchants coups de pied qu'on lui donnait quand il voulait rentrer dans une maison.
Il fit donc le tour de l'immeuble, et finit par trouver un endroit pour grimper jusqu'au au premier étage. Ce ne fut pas très difficile.
Restaient deux autres étages… et avec des pattes gelées, c'était pas évident !
Il lui fallut sept essais avant d'arriver en haut. Sept essais dont quatre moments d'équilibres acrobatiques, trois griffes arrachées, et un rétablissement miraculeux.
Mais ça y était, il était sur le toit, il allait savoir.
L'engin était toujours là. Les rennes bavardaient entre eux de choses que le petit chat tout essoufflé ne comprenait pas… Il était question d'une liste avec des noms de garçons et de filles, d'horaire à suivre, d'adresses, etc.
Le petit chat se dirigea sans bruit vers l'engin.
C'était plein de sacs dedans. Et plein de paquets aussi. Des gros, des très gros même, des plus petits, des minuscules. Tous avaient des couleurs joyeuses et scintillantes qui lui donnèrent envie de jouer avec. Il sauta hardiment dessus. Malheur ! Une petite musique se déclencha sous ses pattes. Le cœur battant, il s'enfuit au fond du traîneau où il trouva un sac à demi-ouvert pour se cacher.
C'était tout sombre dedans, mais il y faisait chaud et doux. Le petit chat sentit des poils contre lui. Il renifla pour comprendre si c'était un autre chat ou un des ces monstres de chien, mais comme ça ne sentait ni l'un ni l'autre et que ça ne bougeait pas, il se blottit tout contre, rassuré. Puis il attendit.
Dehors un renne parla :
- Ca doit être un appareil de musique qui s'est encore déclenché tout seul !
Puis la voix du vieux bonhomme à l'habit rouge retentit, sonore et joyeuse :
- Allons-y mes amis, au suivant de la liste !
Le petit chat sentit tout bouger autour de lui. Il eut la sensation de s'envoler puis quelques instants après, un coup de frein suivi d'un choc le déséquilibra. Son cœur tapait fort. Dehors, le vieux bonhomme riait :
- Ah ! Ah ! Ah ! Cette fois, la cheminée est large, je vais pouvoir descendre à l'aise !
Le petit chat commençait à sortir le museau dehors quand tout bascula brusquement. Secoué de droite et de gauche, il roula dans le sac, parmi les paquets qui l'écrasaient.
Une grande descente dans le vide lui remonta l'estomac dans le gosier… il miaula fort. Une main l'attrapa par la peau du cou. Un grand rire résonna à ses oreilles.
- Mais qu'est-ce que je vois là ! Mais croyez-vous, ça !... Un passager clandestin!
Le bonhomme en habit rouge le tenait en l'air, en riant très fort. Ses yeux riaient autant que sa bouche.
- Tu as donc voulu savoir comment je m'y prend pour faire ma tournée ?
Mais le petit chat était effrayé. Et il avait si faim et si froid qu'il miaulait à s'en étrangler et qu'il tremblait à en claquer des dents.
- Dis-moi, dis-moi, tu n'as pas l'air si courageux que ça pour un petit curieux ! Il suffit qu'on te découvre pour que tu appelles maman au secours ? Allons, voyons je suis le Père Noël, tu n'as rien à craindre de moi. Bien sûr, je devrais te punir de m'avoir suivi, alors que personne ne doit accompagner le Père Noël pendant sa tournée, mais comme tu viens de me donner une très bonne idée, je ne dirai rien et je vais même te garder un petit moment avec moi.
Et le Père Noël le mit dans la grande poche de son manteau.
C'était doux à l'intérieur, et c'était chaud. Le petit chat s'y trouva bien de suite.
Il ne savait pas encore qu'il allait vivre ce qui sera la nuit la plus extraordinaire de son existence. Ah, si seulement il n'avait pas cette faim atroce au ventre !
Il se redressa pour sortir le nez et pousser un petit miaulement de détresse… Peut-être que ce gentil bonhomme comprendra son problème…
- Veux-tu bien te taire, tu risques de réveiller les enfants ! Si tu veux m'accompagner, il faut rester silencieux. Aussi silencieux que la neige qui tombe.
Le bonhomme était en train de déposer des paquets auprès de deux paires de chaussons, tout petits, si petits qu'ils disparaissaient sous les paquets.
- Tu vois, ici c'est pour Mélanie ; elle a commandé un poney en peluche et une piscine magique. Là c'est pour Eric, il a demandé un "établi de moulage" et une "batmobile". Et regarde comme ils sont gentils tous les deux, ils ont laissé une tasse de lait et des biscuits pour moi. Ils savent que je suis un peu gourmand, tu comprends, et puis ça me redonne des forces… Hé ! Mais qu'est-ce que tu fais ?
Le petit chat s'était jeté sur le lait et qu'il le lapait en s'étranglant tellement il allait vite.
De retour au traîneau, le Père Noël s'approcha des rennes avec un air mystérieux.
- Regardez qui va passer la nuit avec nous !
Il sortit de sa poche une petit boule de poils ébouriffés et aux babines barbouillées de lait.
- Il avait si faim, le pauvre chaton, que j'ai partagé mon goûter avec lui… enfin, disons qu'il m'en a laissé quelques gouttes ! Allez les rennes, aux suivants.
Le petit chat garda les yeux écarquillés toute la nuit. Jamais il n'avait vu autant de belles choses, jamais il n'avait vu autant de couleurs scintillantes, jamais il n'avait vu autant de jouets, et jamais il n'avait crû que quelqu'un pouvait avoir autant de joie à déposer dans les maisons toutes ces merveilles.
A la fin de sa tournée, le Père Noël rentra dans une demeure où brillait une lampe de chevet dans une chambre. Des pantoufles de grand-mère attendaient près du lit.
- Tu vois, ici habite une gentille mamy qui m'a écrit pour me demander un cadeau. Elle voudrait quelque chose qui puisse la distraire pendant ses longs jours solitaires, et qui en même temps attirerait ses petits enfants pour qu'elle les voit plus souvent. Alors j'ai pensé à toi. Tu seras heureux ici, regarde comme tout est accueillant. Tu seras bien au chaud et je suis sûr que tu te régaleras… les grand-mères savent si bien faire la cuisine ! Mais chut… ne dis à personne que tu m'a accompagné cette nuit.
Il déposa doucement le petit chat dans une pantoufle, lui fit un gros bisou, et attendit qu'il s'endormit, le museau niché dans les pattes, le cœur à jamais étoilé de cette merveilleuse nuit de Noël.

Déposé par biscuit le 23/12/2017  
ANDRÉ PHILIPPUS BRINK ,On ne peut se fier a personne,les Chats,c'est autre chose,une fois qu'ils t'acceptent dans leur vie,c'est pour toujours

Déposé par biscuit le 22/12/2017  
En cette fin d'année
Et en ce jour merveilleux qu'est noël
Je ne peux t'offrir un cadeau merveilleux comme chaque années
Je ne peux t'offrir les étoiles,parceque mon étoile c'est toi
Mais je peux t'offrir un plus beau cadeau
Et ce cadeau c'est mon coeur ,et mon amour à jamais
Toi et moi sommes ensembles comme des anges
Pourquoi?
Car tu es mon ange d'amour
Car tu es mon ange de toujours
Car tu me donne toute ta tendresse
Car tu éloigne ma tristesse
Et que ma vie avec toi n'était que du bonheur
Alors oui, je ne peux t'offrir de cadeau
Mais je peux t'offrir mon amour
Je peux t'offrir mon coeur
Et je peux t'offrir ma tendresse.
Mon amour de toujours
Je t'aime et je te souhaite
Un très bon et heureux noel
Pour toi mon petit chat que j'aime

Déposé par biscuit le 21/12/2017  
La neige tombait sur la ville sans faire de bruit. Le petit chat marchait dans la neige sans faire de bruit. Les flocons saupoudraient de blanc ses poils roux.
La rue était déserte.
C'était la nuit de Noël.
Bientôt les douze coups de minuit allaient sonner pour la plus belle nuit de l'année.
Mais le petit chat ne le savait pas. Il n'avait que trois mois et avait encore beaucoup de choses à apprendre. Surtout cette nuit où il faisait si froid… et qu'il ne savait pas où se nicher pour dormir. Il était seul pour se débrouiller, si seul et si ignorant des astuces. Ce n'est pas comme ce gros matou gris de tout à l'heure qui l'avait chassé du coin chaud où il s'était blotti. Il en savait des choses, lui, mais alors quel sale égoïste ! Croyez-vous qu'il aurait partagé ce qu'il était en train de manger ?
" Va pleurnicher ailleurs" lui avait-il dit.
Aussi, le petit chat marchait seul dans la rue. Il avait faim, il avait froid. Et il regardait les fenêtres éclairées derrière lesquelles il devait faire bon vivre.
Entendit-il sonner les douze coups de minuit ? Ca n'est pas sûr, mais par contre, il entendit parfaitement quelque chose passer au-dessus de lui, comme le vol d'un gros oiseau. Il s'aplatit au sol de frayeur ; quand il osa relever le museau, un drôle d'engin venait de se poser sur la maison d'en face.
Il n'avait jamais rien vu de pareil !
Et maintenant voilà qu'un gros bonhomme tout en rouge en sortait avec un sac sur le dos.
Et devant le drôle d'engin, deux grands rennes se mettaient à parler au bonhomme tout en rouge :
- Fais attention Père Noël, disait l'un, la cheminée n'a pas l'air bien solide !
- Te mélanges pas dans ta liste, disait l'autre, ici c'est des rollers et une panoplie de "Mulan".
- Mais oui, mais oui… Vous n'allez pas commencer à me surveiller quand même ! Vous savez bien que je ne me trompe jamais.
D'en bas, le petit chat ne pouvait pas voir si ce bonhomme avait une barbe blanche. Il lui trouva quand même une ressemblance avec le bonhomme en manteau rouge des images qu'il voyait partout dans la ville depuis quelques jours.
Mais que faisait-il donc là-haut ?
Pour en avoir le cœur net, il décida d'aller voir ça de plus près.
… Oui, mais comment faire pour monter ? En passant par les escaliers ? C'est que le petit chat gardait le souvenir cuisant des méchants coups de pied qu'on lui donnait quand il voulait rentrer dans une maison.
Il fit donc le tour de l'immeuble, et finit par trouver un endroit pour grimper jusqu'au au premier étage. Ce ne fut pas très difficile.
Restaient deux autres étages… et avec des pattes gelées, c'était pas évident !
Il lui fallut sept essais avant d'arriver en haut. Sept essais dont quatre moments d'équilibres acrobatiques, trois griffes arrachées, et un rétablissement miraculeux.
Mais ça y était, il était sur le toit, il allait savoir.
L'engin était toujours là. Les rennes bavardaient entre eux de choses que le petit chat tout essoufflé ne comprenait pas… Il était question d'une liste avec des noms de garçons et de filles, d'horaire à suivre, d'adresses, etc.
Le petit chat se dirigea sans bruit vers l'engin.
C'était plein de sacs dedans. Et plein de paquets aussi. Des gros, des très gros même, des plus petits, des minuscules. Tous avaient des couleurs joyeuses et scintillantes qui lui donnèrent envie de jouer avec. Il sauta hardiment dessus. Malheur ! Une petite musique se déclencha sous ses pattes. Le cœur battant, il s'enfuit au fond du traîneau où il trouva un sac à demi-ouvert pour se cacher.
C'était tout sombre dedans, mais il y faisait chaud et doux. Le petit chat sentit des poils contre lui. Il renifla pour comprendre si c'était un autre chat ou un des ces monstres de chien, mais comme ça ne sentait ni l'un ni l'autre et que ça ne bougeait pas, il se blottit tout contre, rassuré. Puis il attendit.
Dehors un renne parla :
- Ca doit être un appareil de musique qui s'est encore déclenché tout seul !
Puis la voix du vieux bonhomme à l'habit rouge retentit, sonore et joyeuse :
- Allons-y mes amis, au suivant de la liste !
Le petit chat sentit tout bouger autour de lui. Il eut la sensation de s'envoler puis quelques instants après, un coup de frein suivi d'un choc le déséquilibra. Son cœur tapait fort. Dehors, le vieux bonhomme riait :
- Ah ! Ah ! Ah ! Cette fois, la cheminée est large, je vais pouvoir descendre à l'aise !
Le petit chat commençait à sortir le museau dehors quand tout bascula brusquement. Secoué de droite et de gauche, il roula dans le sac, parmi les paquets qui l'écrasaient.
Une grande descente dans le vide lui remonta l'estomac dans le gosier… il miaula fort. Une main l'attrapa par la peau du cou. Un grand rire résonna à ses oreilles.
- Mais qu'est-ce que je vois là ! Mais croyez-vous, ça !... Un passager clandestin!
Le bonhomme en habit rouge le tenait en l'air, en riant très fort. Ses yeux riaient autant que sa bouche.
- Tu as donc voulu savoir comment je m'y prend pour faire ma tournée ?
Mais le petit chat était effrayé. Et il avait si faim et si froid qu'il miaulait à s'en étrangler et qu'il tremblait à en claquer des dents.
- Dis-moi, dis-moi, tu n'as pas l'air si courageux que ça pour un petit curieux ! Il suffit qu'on te découvre pour que tu appelles maman au secours ? Allons, voyons je suis le Père Noël, tu n'as rien à craindre de moi. Bien sûr, je devrais te punir de m'avoir suivi, alors que personne ne doit accompagner le Père Noël pendant sa tournée, mais comme tu viens de me donner une très bonne idée, je ne dirai rien et je vais même te garder un petit moment avec moi.
Et le Père Noël le mit dans la grande poche de son manteau.
C'était doux à l'intérieur, et c'était chaud. Le petit chat s'y trouva bien de suite.
Il ne savait pas encore qu'il allait vivre ce qui sera la nuit la plus extraordinaire de son existence. Ah, si seulement il n'avait pas cette faim atroce au ventre !
Il se redressa pour sortir le nez et pousser un petit miaulement de détresse… Peut-être que ce gentil bonhomme comprendra son problème…
- Veux-tu bien te taire, tu risques de réveiller les enfants ! Si tu veux m'accompagner, il faut rester silencieux. Aussi silencieux que la neige qui tombe.
Le bonhomme était en train de déposer des paquets auprès de deux paires de chaussons, tout petits, si petits qu'ils disparaissaient sous les paquets.
- Tu vois, ici c'est pour Mélanie ; elle a commandé un poney en peluche et une piscine magique. Là c'est pour Eric, il a demandé un "établi de moulage" et une "batmobile". Et regarde comme ils sont gentils tous les deux, ils ont laissé une tasse de lait et des biscuits pour moi. Ils savent que je suis un peu gourmand, tu comprends, et puis ça me redonne des forces… Hé ! Mais qu'est-ce que tu fais ?
Le petit chat s'était jeté sur le lait et qu'il le lapait en s'étranglant tellement il allait vite.
De retour au traîneau, le Père Noël s'approcha des rennes avec un air mystérieux.
- Regardez qui va passer la nuit avec nous !
Il sortit de sa poche une petit boule de poils ébouriffés et aux babines barbouillées de lait.
- Il avait si faim, le pauvre chaton, que j'ai partagé mon goûter avec lui… enfin, disons qu'il m'en a laissé quelques gouttes ! Allez les rennes, aux suivants.
Le petit chat garda les yeux écarquillés toute la nuit. Jamais il n'avait vu autant de belles choses, jamais il n'avait vu autant de couleurs scintillantes, jamais il n'avait vu autant de jouets, et jamais il n'avait crû que quelqu'un pouvait avoir autant de joie à déposer dans les maisons toutes ces merveilles.
A la fin de sa tournée, le Père Noël rentra dans une demeure où brillait une lampe de chevet dans une chambre. Des pantoufles de grand-mère attendaient près du lit.
- Tu vois, ici habite une gentille mamy qui m'a écrit pour me demander un cadeau. Elle voudrait quelque chose qui puisse la distraire pendant ses longs jours solitaires, et qui en même temps attirerait ses petits enfants pour qu'elle les voit plus souvent. Alors j'ai pensé à toi. Tu seras heureux ici, regarde comme tout est accueillant. Tu seras bien au chaud et je suis sûr que tu te régaleras… les grand-mères savent si bien faire la cuisine ! Mais chut… ne dis à personne que tu m'a accompagné cette nuit.
Il déposa doucement le petit chat dans une pantoufle, lui fit un gros bisou, et attendit qu'il s'endormit, le museau niché dans les pattes, le cœur à jamais étoilé de cette merveilleuse nuit de Noël.

Déposé par biscuit le 20/12/2017  

moi ,ton Fripouille,ton Fripouillou, je te passe un message de la part de tous les chats qui veillent sur vous :
( Et oui nous communiquons entre nous !! Nous avons un 5ème sens......Nous sommes l'âme de votre maison....)
Même absents...Nous sommes là...notre esprit reste....pour un peu de baume sur votre coeur d'humain, Vous nous avez donné tellement d'amour
que l'on ne se quitte pas comme cela....Nous sommes avec vous...Rappeler vous des bons moments...et nous ronronnons à vos côtés...
Sens cette petite caresse....tu ne sens toujours rien ...normal...je suis là...dans ton coeur....
Ne sois pas triste car je serais triste. Je te vois...Je lis tes pensées...Tu ne vois rien !! Les textes égyptien me nomme " chat de lumière "
Dans tes rêves j'apparaitrais pour te soutenir et te consoler , je suis le gardien " des portes de la nuit et du sommeil "
Penses à moi et je serais à tes côtés.....Tu n'y crois pas ? normal !! C'est moi le chat... Je suis un être magique , le félin sacré , descendant de Bastet, la pupille de Rê le soleil
Et je suis maintenant ta lumière........,

Déposé par biscuit le 19/12/2017  
CITATION DE BENJAMIN CONSTANT
La douleur réveille en nous,
tantôt ce qu'il y a de plus noble dans notre nature : le courage.
Tantôt ce qu'il y a de plus tendre : la sympathie et la pitié.
Elle nous apprend à lutter pour nous
et pour les autres.

Déposé par biscuit le 17/12/2017  
Profondeurs de mon coeur
là où personne n'a jamais été.
Je t'écris tous les moments de bonheur que tu as su m'apporter,
Je t'écris des secrets inavoués que toi seul peut mérité,
Je t'écris des morceaux de douceur que tu recevras en plein coeur,
Je t'écris de ma main des mots pour toi,
Mais que j'aimerais te dire tout bas,
Je t'écris que je t'aime,et que c'est devenu un problème,
Je t'écris car ça me fait souffrir,
Je t'écris,je t'écris,sans fin jusqu'à en épuiser mes mains,
Je t'écris des éclats de louange que je te chanterait toi mon ange,
Je t'écris,je t'écris ou plutôt je te le dis!!
...je t'aime,je t'aime...
Oh que oui je t'aime., ,

Déposé par biscuit le 10/12/2017  

Les morts ne sont pas sous la terre
Ils sont dans le feu éteint,
Ils sont dans les herbes qui pleurent,
Ils sont dans le rocher qui geint ,
Ils sont dans la forêt,
Ils sont dans la demeure,
Les morts ne sont pas morts.
Aimé Césaire,

Déposé par biscuit le 06/12/2017  

"""On doit malheureusement se faire à l'idée que ces souvenirs font désormais partie du passé.""""
Ton départ , laisse de la peine, et la résignation.
S'il est vrai que tu fais partie du passé par ton absence, sache comme tous tes compagnons qui t'ont reçu dans ce Paradis des Animaux, que vous serez toujours présent dans nos pensées, et seule une personne matérialiste ne peut le comprendre. Durant votre vie parmi nous, vous nous avez marqué profondément par votre fidélité sans faille et votre dévouement sans limite.
Tu as pris ta place dans votre Paradis, tu vas recommencer ta nouvelle vie, en pensant à celle que tu viens de quitter, tu t'amuseras et un beau jour, tu arrêteras subitement le jeu, tu pointeras les oreilles, tu humeras l'air, et ton regard se dirigera dans une certaine direction, et subitement tu quitteras avec rapidité ce jeu pour te blottir dans les bras d'un de tes proches qui arrivera dans son Paradis. A ce moment vous serez unis pour l’éternité.
Toi qui n'est pas mort, mais simplement endormi pour un long sommeil, attends tous ceux que tu as aimés sur terre.,

Déposé par biscuit le 05/12/2017  
On ne les appelle pas nos compagnons
Pour une quelconque raison
Mais bien parce qu’ils nous accompagnent
Et nous aident à surmonter des montagnes
Ils s’abandonnent à notre amour
Et nous le rendent jour après jour
A travers le regard on sent leur affection
Et à notre vie, leur entière dévotion
Ils attendent patiemment notre retour
Quand on s’absente des heures, des jours
Leur joie indescriptible nous est promise
Parfois pour nous cacher quelques bêtises
Ils sont fidèles et oublient nos colères
Leur tendresse envers nous plus que sincère
Ils sont capables de nous accompagner
Dans nos souffrances et nous réconforter
Tous ceux qui ont enrichi mes jours
Je leur dédie ces quelques mots d’amour
Jamais je ne pourrais les oublier
Ils m’ont tant parfois regardé pleurer
Ils m’ont fait sourire aussi, si souvent
Quand ils jouaient comme des enfants
Avec leur regard rempli de malice
Ne manquait que la parole complice
Alors comment ne pas verser des larmes
Quand vient cet inévitable drame
De devoir leur offrir une dernière demeure
Dans laquelle le repos remplace la douleur
Aurevoir mes chers compagnons de vie
Mes animaux qui furent mes amis
Je n’oublierai jamais votre gentillesse
Votre présence et votre tendresse




L'Album photo contient 19 photos
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