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En hommage à
Minou,chat du hangar
Il nous a quittés le:20/06/2016
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Minou,chat du hangar
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1406 Fleurs
485 messages
Déposé par biscuit le 22/01/2017LETTRES A MES ANIMAUX DISPARUS Vois-tu le regard de ce chat qui se plante dans mes yeux et les inonde de Mystères, de Rêve et d'Amour... Le regard du chat dit : ' Je t'aimerai à jamais...' Et il s'endort et toi tu pleures... Et tu sais : Bientôt, lorsque nous aurons quitté ce monde, Nous nous retrouverons et nous continuerons à nous aimer Par-delà le Temps et l'Espace, Et avec mes frères et soeurs animaux qui m'attendent, Nous referons le monde! Ma chienne aussi avait eu le même regard avant de partir... Et mes yeux s'étaient embués aussi... Et à chaque fois que l'un d'eux part, chien ou chat, J'ai l'impression d'être un peu plus seul... Mais ils vivent en moi et ils me soufflent à l'oreille, du coin de l'espace: ' Vas ton chemin, fais ce que tu as à faire, Crées la musique et les mots, continues à jouer de ce piano Autour duquel nous nous mettions tous en rond pour t'écouter, Avant de partir... Nous ne t'avons pas abandonné et les êtres qui s'aiment se retrouvent toujours, par-delà la Vie ou la Mort... A travers la Musique des instruments et des mots, Grâce à celle du Coeur, de l'Ame et de l'Amour...' |
Déposé par biscuit le 18/01/2017Parfois, dans la nuit ombragée, je suis devenu l'esprit, Les murs, les barres, les grillages, se dissolvent dans la lumière et je relâche mon âme Et je vole à travers la noirceur de mon être, Je suis devenu transparent, une ombre brillante, un oiseau de rêves chantant l'arbre de la vie. Léonard Peltier (Etats-Unis), |
Déposé par biscuit le 08/01/2017L’ignorance du mal Il était une fois un garçon qui était d’une méchanceté sans égale. Il ne se passait pas une journée sans qu’il ne commette quelque terrible bêtise. Un jour, il résolut d’emmener son chien sur le fleuve pour le noyer. Il le mit dans sa barque et la dirigea vers le milieu du fleuve. Mais en ramant, il se pencha trop et tomba à l’eau. - Au secours, à moi, je me noie !! Criait-il désespérément. Et le chien fidèle plongea, attrapa le garçon par son vêtement et le tira jusqu’à la berge. (Conte africain) smile « La méchanceté gratuite semble bien être une spécialité humaine, inconnue des autres espèces vivantes. Certes les animaux se dévorent entre eux, mais uniquement dans le but de subsister et de permettre à leur espèce de se perpétuer. Un lion repu n’attaquera pas la gazelle qui passe à sa portée. Il arrive par ailleurs que des chiens se sacrifient pour leurs maîtres ou que des dauphins sauvent des marins de la noyade. Les animaux seraient-ils plus « moraux » que les hommes ? (Michel Piquemal) |
Déposé par biscuit le 07/01/2017Presse papier C’est un petit chat noir, effronté comme un page. Je le laisse jouer sur ma table, souvent, Quelquefois il s’assied sans faire de tapage ; On dirait un job presse-papier vivant. Rien de lui, pas un poil de sa toison ne bouge. Longtemps, il reste là, noir sur un feuillet blanc, A ces matous, tirant leur langue de draps rouge, Qu’on fait pour essuyer les plumes, ressemblant. Mais le voilà qui sort de cette nonchalance, Et faisant le gros dos, il a l’air d’un manchon ; Alors, pour l’intriguer un peu, je lui balance, Au bout d’une ficelle invisible, un bouchon. Il fuit en galopant et la mine effrayée, Puis revient au bouchon, le regarde, et d’abord Tient suspendue en l’air sa patte repliée, Puis l’abat, et saisit le bouchon, et le mord. Je tire la ficelle, alors, sans qu’il la voie ; Et le bouchon s’éloigne, et le chat noir le suit, Faisant des ronds avec sa patte qu’il envoie, Puis saute de côté, puis revient, puis s’enfuit. Mais dès que je lui dis : « Il faut que je travaille ; Venez-vous asseoir là, sans faire le méchant ! » Il s’assied … Et j’entends, pendant que j’écrivaille, Le petit bruit mouillé qu’il fait en se léchant. Edmond Rostand |
Déposé par biscuit le 05/01/2017**** Le chemin des Anges **** Les petits anges danse autour d'un être s'endormant douceur immense pour le départ d'un compagnon. puis le vent s’arrête un instant le temps peint aux couleurs des saisons des bleus lisses roses et blancs ce répand Lentement visages tendres et humide des mains tremblantes te glisse dans ton jardin du paradis Se sourient de larme sans chuchotant… sans le moindre tourment ont prend sur nous ce long moment de ce départ nos pensées folles s'envolent dans nos yeux brillants et rougies.. elles s'unissent aux lucioles pour vivre un dernier instant pour qu’à jamais restent en suspens nous avons si souvent souhaités que ce jour n’excitait pas pour ne pas hériter de cette flamme qui s'éteint en gardant le sentiment que nous vivront éternellement et simplement qu'ils fassent que les nuit soit claire comme aux feux de la Saint-Jean que nos yeux soient grands ouverts Pour fêter ce triste enterrement… celle du relâchement nous qui t’aimons puissamment N'adressons aucune prière mais des milliers de pensées Où que tu aille nous te retrouverons... nos cœurs veillent si le corps n’est plus… l’âme reste et Vie hors du temps... alors les anges nous réuniront à nouveaux |
Déposé par biscuit le 02/01/2017Vivre et croire c’est aussi accepter que la vie contient la mort et que la mort contient la vie. C’est savoir, au plus profond de soi, qu’en fait, rien ne meurt jamais. Il n’y a pas de mort, il n’y a que des métamorphoses. Tu ne nous a pas quittés Mais tu t’en es allé au pays de la Vie, Là où les fleurs Plus jamais ne se fanent, Là où le temps Ne sait plus rien de nous. Ignorant les rides et les soirs, Là où c’est toujours matin, Là où c’est toujours serein. Tu as quitté nos ombres, Nos souffrances et nos peines. Tu as pris de l’avance Au pays de la Vie. Je fleurirai mon cœur En souvenir de toi, Là où tu vis en moi, Là où je vis pour toi. Et je vivrai deux fois |
Déposé par biscuit le 31/12/2016**Le temps est... Trop lent, pour moi qui t'attends... Trop rapide, quand j'ai peur... Trop long quand je suis malheureuse... Trop court quand je suis heureuse... Mais pour toi que j'aime, Le temps est éternel.** , |
Déposé par biscuit le 29/12/2016Cette année s’achève Emportant avec elle nos rêves. Tous nos beaux souhaits Ne se sont pas réalisés. Beaucoup de nos serments Ont été balayés par le vent. Mais il reste dans notre cœur, De doux instants de bonheur. Voici qu’arrive le nouvel an. Certains veulent un enfant, D’autres jurent d’arrêter de fumer. Tous nos rêves vont se réaliser. Le bonheur c’est certain, Ne sera plus pour demain. Quant à moi je vous souhaite ; De passer de très belles fêtes De fin d’année En compagnies de ce que vous aimés. Et que l’année entière Vous soit douce et légère, Vous apporte le bonheur, Vous préserve du malheur |
Déposé par biscuit le 29/12/2016Nous sommes séparés pour l'instant mais pas distants pour autant... Je sais que notre amour sortira grandi de cette épreuve de l'éloignement. En attendant de te retrouver, je me remémore tous nos merveilleux moments, je puise sans cesse dans la richesse de ce passé qui nous lie. Je m'ennuie de ton regard posé sur moi, du charme de ta jolie frimousse, de ton doux poil soyeux , toutes ces manifestations de toi devenues synonymes de bonheur. Mais je m'encourage jour et nuit en anticipant le moment où nous serons enfin réunis, et notre amour seras encore plus fort. Tous ces instants sont le bonheur. Notre bonheur Je t'aime tant mon petit chat |
Déposé par biscuit le 28/12/2016Que les étoiles éloignent notre tristesse que les fleurs remplissent notre coeur de beauté que l'espoir essuie nos larmes a jamais que le silence nous rende fort. pensée Amérindienne. mais que le souvenir de ce passé si fragile a notre âme ,notre amour pour nos petits anges ne s'éteigne a jamais,que la lueur de cette flamme brille pour toujours dans notre chair meurtri, afin d'y apporter un peu de lumière ,de sérénité et apaise notre douleur,afin que leur sommeil soit en paix.... |
Déposé par biscuit le 27/12/2016Le soir quand la nuit est tombée Et que j'ai envie de te parler Je regarde l'étoile la plus scintillante Mon regard s'arrête sur la plus brillante Dedans, ta frimousse rayonne comme le soleil Et derrière l'étoile, un arc-en-ciel Qui, de toutes ces couleurs Forme ta frimousse pour embellir mon coeur Il a formé avec douceur ton regard si beaux Se regard remplie de tendresse Maintenant j'aimerai encore plus te revoir M'amuser ,te câliner être avec toi comme avant Aujourd'hui tu es loin d'ici Et j'aimerai te dire que tu comptes dans ma vie Car maintenant sans toi je n'arrive plus à rire comme autrefois Ce soir je te regarde les yeux plein de tristesse Car ce n'est qu'une étoile qui m'a fait la promesse La promesse que tu ne m'oublierais pas Je commence à pleurer je ne veux pas te laisser Tu resteras dans ma vie, et mon coeur à jamais |
Déposé par biscuit le 27/12/2016L'homme voudrait être poisson et oiseau, Le serpent voudrait avoir des ailes, Le chien est un lion désorienté, L'ingénieur veut être poète, La mouche étudie pour devenir hirondelle, Le poète essaie d'imiter la mouche, Mais le chat, Ne veut être que le chat, Et chaque chat est chat, De la tête à la queue. (Pablo Neruda), |
Déposé par biscuit le 24/12/2016les liens cliquables, les images ou les vidéos provoquent des ralentissements du site ils ne sont plus autorisés dans les messages |
Déposé par biscuit le 24/12/2016La neige tombait sur la ville sans faire de bruit. Le petit chat marchait dans la neige sans faire de bruit. Les flocons saupoudraient de blanc ses poils roux. La rue était déserte. C'était la nuit de Noël. Bientôt les douze coups de minuit allaient sonner pour la plus belle nuit de l'année. Mais le petit chat ne le savait pas. Il n'avait que trois mois et avait encore beaucoup de choses à apprendre. Surtout cette nuit où il faisait si froid… et qu'il ne savait pas où se nicher pour dormir. Il était seul pour se débrouiller, si seul et si ignorant des astuces. Ce n'est pas comme ce gros matou gris de tout à l'heure qui l'avait chassé du coin chaud où il s'était blotti. Il en savait des choses, lui, mais alors quel sale égoïste ! Croyez-vous qu'il aurait partagé ce qu'il était en train de manger ? " Va pleurnicher ailleurs" lui avait-il dit. Aussi, le petit chat marchait seul dans la rue. Il avait faim, il avait froid. Et il regardait les fenêtres éclairées derrière lesquelles il devait faire bon vivre. Entendit-il sonner les douze coups de minuit ? Ca n'est pas sûr, mais par contre, il entendit parfaitement quelque chose passer au-dessus de lui, comme le vol d'un gros oiseau. Il s'aplatit au sol de frayeur ; quand il osa relever le museau, un drôle d'engin venait de se poser sur la maison d'en face. Il n'avait jamais rien vu de pareil ! Et maintenant voilà qu'un gros bonhomme tout en rouge en sortait avec un sac sur le dos. Et devant le drôle d'engin, deux grands rennes se mettaient à parler au bonhomme tout en rouge : - Fais attention Père Noël, disait l'un, la cheminée n'a pas l'air bien solide ! - Te mélanges pas dans ta liste, disait l'autre, ici c'est des rollers et une panoplie de "Mulan". - Mais oui, mais oui… Vous n'allez pas commencer à me surveiller quand même ! Vous savez bien que je ne me trompe jamais. D'en bas, le petit chat ne pouvait pas voir si ce bonhomme avait une barbe blanche. Il lui trouva quand même une ressemblance avec le bonhomme en manteau rouge des images qu'il voyait partout dans la ville depuis quelques jours. Mais que faisait-il donc là-haut ? Pour en avoir le cœur net, il décida d'aller voir ça de plus près. … Oui, mais comment faire pour monter ? En passant par les escaliers ? C'est que le petit chat gardait le souvenir cuisant des méchants coups de pied qu'on lui donnait quand il voulait rentrer dans une maison. Il fit donc le tour de l'immeuble, et finit par trouver un endroit pour grimper jusqu'au au premier étage. Ce ne fut pas très difficile. Restaient deux autres étages… et avec des pattes gelées, c'était pas évident ! Il lui fallut sept essais avant d'arriver en haut. Sept essais dont quatre moments d'équilibres acrobatiques, trois griffes arrachées, et un rétablissement miraculeux. Mais ça y était, il était sur le toit, il allait savoir. L'engin était toujours là. Les rennes bavardaient entre eux de choses que le petit chat tout essoufflé ne comprenait pas… Il était question d'une liste avec des noms de garçons et de filles, d'horaire à suivre, d'adresses, etc. Le petit chat se dirigea sans bruit vers l'engin. C'était plein de sacs dedans. Et plein de paquets aussi. Des gros, des très gros même, des plus petits, des minuscules. Tous avaient des couleurs joyeuses et scintillantes qui lui donnèrent envie de jouer avec. Il sauta hardiment dessus. Malheur ! Une petite musique se déclencha sous ses pattes. Le cœur battant, il s'enfuit au fond du traîneau où il trouva un sac à demi-ouvert pour se cacher. C'était tout sombre dedans, mais il y faisait chaud et doux. Le petit chat sentit des poils contre lui. Il renifla pour comprendre si c'était un autre chat ou un des ces monstres de chien, mais comme ça ne sentait ni l'un ni l'autre et que ça ne bougeait pas, il se blottit tout contre, rassuré. Puis il attendit. Dehors un renne parla : - Ca doit être un appareil de musique qui s'est encore déclenché tout seul ! Puis la voix du vieux bonhomme à l'habit rouge retentit, sonore et joyeuse : - Allons-y mes amis, au suivant de la liste ! Le petit chat sentit tout bouger autour de lui. Il eut la sensation de s'envoler puis quelques instants après, un coup de frein suivi d'un choc le déséquilibra. Son cœur tapait fort. Dehors, le vieux bonhomme riait : - Ah ! Ah ! Ah ! Cette fois, la cheminée est large, je vais pouvoir descendre à l'aise ! Le petit chat commençait à sortir le museau dehors quand tout bascula brusquement. Secoué de droite et de gauche, il roula dans le sac, parmi les paquets qui l'écrasaient. Une grande descente dans le vide lui remonta l'estomac dans le gosier… il miaula fort. Une main l'attrapa par la peau du cou. Un grand rire résonna à ses oreilles. - Mais qu'est-ce que je vois là ! Mais croyez-vous, ça !... Un passager clandestin! Le bonhomme en habit rouge le tenait en l'air, en riant très fort. Ses yeux riaient autant que sa bouche. - Tu as donc voulu savoir comment je m'y prend pour faire ma tournée ? Mais le petit chat était effrayé. Et il avait si faim et si froid qu'il miaulait à s'en étrangler et qu'il tremblait à en claquer des dents. - Dis-moi, dis-moi, tu n'as pas l'air si courageux que ça pour un petit curieux ! Il suffit qu'on te découvre pour que tu appelles maman au secours ? Allons, voyons je suis le Père Noël, tu n'as rien à craindre de moi. Bien sûr, je devrais te punir de m'avoir suivi, alors que personne ne doit accompagner le Père Noël pendant sa tournée, mais comme tu viens de me donner une très bonne idée, je ne dirai rien et je vais même te garder un petit moment avec moi. Et le Père Noël le mit dans la grande poche de son manteau. C'était doux à l'intérieur, et c'était chaud. Le petit chat s'y trouva bien de suite. Il ne savait pas encore qu'il allait vivre ce qui sera la nuit la plus extraordinaire de son existence. Ah, si seulement il n'avait pas cette faim atroce au ventre ! Il se redressa pour sortir le nez et pousser un petit miaulement de détresse… Peut-être que ce gentil bonhomme comprendra son problème… - Veux-tu bien te taire, tu risques de réveiller les enfants ! Si tu veux m'accompagner, il faut rester silencieux. Aussi silencieux que la neige qui tombe. Le bonhomme était en train de déposer des paquets auprès de deux paires de chaussons, tout petits, si petits qu'ils disparaissaient sous les paquets. - Tu vois, ici c'est pour Mélanie ; elle a commandé un poney en peluche et une piscine magique. Là c'est pour Eric, il a demandé un "établi de moulage" et une "batmobile". Et regarde comme ils sont gentils tous les deux, ils ont laissé une tasse de lait et des biscuits pour moi. Ils savent que je suis un peu gourmand, tu comprends, et puis ça me redonne des forces… Hé ! Mais qu'est-ce que tu fais ? Le petit chat s'était jeté sur le lait et qu'il le lapait en s'étranglant tellement il allait vite. De retour au traîneau, le Père Noël s'approcha des rennes avec un air mystérieux. - Regardez qui va passer la nuit avec nous ! Il sortit de sa poche une petit boule de poils ébouriffés et aux babines barbouillées de lait. - Il avait si faim, le pauvre chaton, que j'ai partagé mon goûter avec lui… enfin, disons qu'il m'en a laissé quelques gouttes ! Allez les rennes, aux suivants. Le petit chat garda les yeux écarquillés toute la nuit. Jamais il n'avait vu autant de belles choses, jamais il n'avait vu autant de couleurs scintillantes, jamais il n'avait vu autant de jouets, et jamais il n'avait crû que quelqu'un pouvait avoir autant de joie à déposer dans les maisons toutes ces merveilles. A la fin de sa tournée, le Père Noël rentra dans une demeure où brillait une lampe de chevet dans une chambre. Des pantoufles de grand-mère attendaient près du lit. - Tu vois, ici habite une gentille mamy qui m'a écrit pour me demander un cadeau. Elle voudrait quelque chose qui puisse la distraire pendant ses longs jours solitaires, et qui en même temps attirerait ses petits enfants pour qu'elle les voit plus souvent. Alors j'ai pensé à toi. Tu seras heureux ici, regarde comme tout est accueillant. Tu seras bien au chaud et je suis sûr que tu te régaleras… les grand-mères savent si bien faire la cuisine ! Mais chut… ne dis à personne que tu m'a accompagné cette nuit. Il déposa doucement le petit chat dans une pantoufle, lui fit un gros bisou, et attendit qu'il s'endormit, le museau niché dans les pattes, le cœur à jamais étoilé de cette merveilleuse nuit de Noël. |
Déposé par biscuit le 22/12/2016Il y a des souffrances qui pèsent des tonnes Et pour ne pas que tout espoir nous abandonne On joue le rôle de celui pour qui tout va bien Pourvu que les autres n'en sachent rien On fait au mieux pour sauver la face Pour que notre entourage ignore par où l'on passe On rit on danse on fait les fous comme à Venise Mais quoiqu'on fasse mais quoiqu'on dise Les blessures qui ne se voient pas Nous font du mal bien plus que toutes les autres On les enferme au fond de soit Mais est-ce que toute une vie on les supporte ? L'orgueil nous aide à tenir le coup Apparemment on pourrait même faire des jaloux C'est à nous même que l'on se joue la comédie Pour s'inventer qu'on est guéri Les blessures qui ne se voient pas Nous font du mal bien plus que toutes les autres On les enferme au fond de soit Mais est-ce que toute une vie on les supporte ? Ces blessures là Qui ne se voient pas Il y a des souffrances qui pèsent des tonnes Et que ne pas que tout espoir nous abandonne Il faut se dire que tôt ou tard on va guérir Les blessures qui ne se voient pas Parfois semblent avoir perdu nos trace Et quand on ne s'y attend pas Sans que jamais les autres le sachent Elles remontent à la surface Et nous fusillent une fois encore Les blessures qui ne se voient pas Qui nous font du mal bien plus que toutes les autres Ces blessures là Qui ne se voient pas on vit avec chaque jours vous nous manquez nos petits amours |
Déposé par biscuit le 20/12/2016L'animal ne possède rien, sauf sa vie que si souvent nous lui prenons. Marguerite Yourcenar, |
Déposé par biscuit le 17/12/2016Cher Papa Noël, Nous sommes déjà le 18 décembre, alors il est grand temps que je t'écrive mes souhaits de Noël. Je voudrais que tu redonnes la chaleur d'un foyer aux chats et aux chiens qui ont été abandonnés, afin qu'ils puissent manger à leur faim, se reposer sur les genoux d'un bon maître ou jouer à ses pieds... Je voudrais que tu dises aux Hommes de leur apporter le meilleur, qu'ils ne restent pas indifférents à la misère et à la détresse animale, qu'ils comprennent enfin que les animaux ne sont ni des objets, ni des jouets que l'on jette... Alors si un petit enfant te demande un chaton ou un chiot sous le sapin, de grâce, apporte-lui comme cadeau, une poupée ou un ours en peluche. J'espère, Père Noël, que tu entendras ma prière, dans ton beau pays de Laponie. Prends-bien soin de tes rennes et Joyeux Noël à toi aussi ! Une amie des Chats et des chiens |
Déposé par biscuit le 17/12/2016LA PRIÈRE DU CHAT A MON MAÎTRE... Ne me prends pas pour esclave, Car j'ai en moi le goût de la liberté. Ne cherche pas à deviner mes secrets, Car j'ai en moi le goût du mystère. Ne me contrains pas aux caresses, Car j'ai en moi le goût de la pudeur. Ne m'humilie pas Car j'ai en moi le goût de la fierté. Ne m'abandonne pas, Car j'ai en moi le goût de la fidélité. Sache m'aimer et je saurai t'aimer Car j'ai en moi le goût de l'amitié..., |
Déposé par biscuit le 17/12/2016TU VAS ME MANQUER (Maitre Gims) Je ne peux plus porter cette solitude, tu me manques. Je n'ai plus personne à qui me confier. Je passe mon temps à regarder par la fenêtre, et je ne te vois toujours pas rentrer. Tout semble faux. J'en perds mes mots. Que vais-je devenir? Je garde espoir de te revoir dans un proche avenir. Je t'attends comme si tu allais rentrer TU VAS ME MANQUER. TU VAS ME MANQUER Les souvenirs ne cessent de me hanter . TU VAS ME MANQUER. TU VAS ME MANQUER....... |
Déposé par biscuit le 17/12/2016L'avantage d'être tout petit : Comme un brin d'herbe qui lève les yeux vers les arbres, Comme un torrent qui regarde vers l'océan, Comme une lanterne dans la chaumière qui regarde les étoiles du ciel, C'est que, en étant tout petit, Je peux voir ce qui est grand. Auteur chinois anonyme - Extrait de "Le chat zen" de Kwong Kuen Shan |
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