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En hommage à
PACO
EUROPEEN
Il est né le:01/07/1999
Il nous a quittés le:09/04/2013
 

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En hommage à PACO

Mon beau Paco

Tu es arrivé dans notre vie à l’âge de 4 mois en octobre 1999. Tu t’es bien entendu avec notre Paiva qui en avait à peine 3. Tu étais un amour de chat, très affectueux, vif, vigoureux et joueur. Tu adorais les humains. Tu étais fusionnel avec moi, tu me suivais partout comme un chien. Tu t’es battu courageusement pendant 4 ans contre une insuffisance rénale et une cardiomyopathie hypertrophique, mais un lymphome à la gorge a été plus fort que toi. Depuis le mois de mars, ton appétit devenait capricieux et on entendait un crépitement quand tu ronronnais. Début avril, tu n’arrivais presque plus à manger malgré une injection d’antiinflammatoires.
Le 8 avril, ton état s’est dégradé brutalement : tu ne mangeais plus du tout, tu avais du mal à boire, du mal à te mouvoir, tu nous regardais avec un regard triste et plein d’amour. Tu souffrais. Nous avons décidé qu’il fallait t éviter une agonie et une mort douloureuse. Mais c’est une décision horrible, très dure à prendre. Personne n’a dormi de la nuit, on pleurait tous. Ma fille cadette t’a gardé dans son lit avec elle toute la nuit. Le matin, elle te serrait dans ses bras et n’arrivait pas à te laisser pour aller travailler. C’était horrible….

J’ai appelé le véto. Tu étais dans les bras de ma fille aînée qui pleurait ; tu t’es accroché à elle pour ne pas entrer dans ta caisse de transport. Chez le véto, tu étais calme et tranquille. Le véto a dit que tu étais vraiment au bout du rouleau et encore plus déshydraté que jeudi, qu’il ne fallait pas qu’on culpabilise, qu’aimer un animal c’était aussi lui offrir une mort douce et abréger ses souffrances. Mon mari et moi sommes restés avec toi jusqu’à la fin. Tu nous regardais avec tes doux yeux intelligents comme pour nous remercier d’être là. Nous t’avons parlé, embrassé, câliné jusqu’à la fin.

J’ai un immense chagrin. Tu étais si merveilleux et si affectueux. Tu buvais avec ta patte et t’en servais comme d’une cuillère ; tu ouvrais les portes en sautant sur les poignées ; tu nous faisais des bisous, nous donnais des petits coups de tête en signe d’affection. Tu dormais près de moi le soir à la télé et m’enlaçais le cou avec tes pattes. Je t’ai aimé et choyé comme un enfant pendant plus de 13 ans.

Tu me manques atrocement, je ne pourrai plus te parler, le câliner, t’embrasser. Mais au moins, tu ne souffres plus.
Que ta nouvelle vie au paradis des chats soit douce et heureuse !

Je remercie du fond du cœur celles et ceux qui honoreront ta mémoire par un bouquet ou un message et j’ai de tendres pensées pour les minets ici présents.
Je remercie également le créateur du site car il est très bien fait. Nous aimons nos chats dans la joie et dans la peine et ceux qui ont pleuré réconfortent ceux qui pleurent.




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💛🌼💛
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❤️
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Douces caresses petit cœur 💛🌼💛
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Pensée amicale pour toi petit Paco 💕 Et ta maman 🌹
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💛
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Bonsoir petit Paco j'espère que ta maman est beaucoup mieux 💕🌺🌸💕
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💕😘💕🌹🌹🌹
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Plein de caresses joli Paco
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Caresses à toi et ta sœur petit Paco
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Doux bisous en repassant devant toi petit Paco
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Gros Bisous petit bonhomme


395 messages

Déposé par Tatachou le 09/04/2017  

Coucou Paco
J'ai repassé la chatière une fois de plus à l’occasion de cet anniversaire qui bouleverse le coeur de ta maman humaine. Je suis sûre que d'où tu es tu peux lui passer tes pattes autour du cou et la remercier de ma part pour son récent passage chez mes anges canins.
Douces caresses petit ami.
💛

Déposé par biscuit le 09/04/2017  
Parce que...
C'étaient des moments heureux.
Ces moments ont existé.
Ce bonheur qui a été vécu, rien ne peut faire qu'il ne l'ait pas été,
Même la mort.
La mort ne balaie rien.
Le chagrin peut tout brouiller
Un temps.
Comme à chaque fois qu'on est séparé de ceux qu'on aime
On se dit que plus jamais.
Eh bien plus jamais, d'accord.
N'empêche que ce qui a été est
A l'intérieur.
Pour toujours.

Déposé par tonton le 05/03/2017  
L'animal ne possède rien,
sauf sa vie que si souvent nous lui prenons.
Marguerite Yourcenar,

Déposé par GHETGHET le 02/03/2017  
L'ESSENTIEL RESTERA
Oui, nos mains vont disparaître...
Mais nos poignées de mains, mais nos signes de bonjour, nos gestes d’adieu, nos câlins et nos caresses, l'étreinte de nos bras...
nous n’allons jamais les oublier.
Oui, nos pieds vont disparaître...
Mais la foulée de nos promenades, l’élan de nos courses, le saut de nos jeux, le pas de nos danses et de nos rendez-vous...
nous n’allons jamais les oublier.
Oui, nos visages vont disparaître, et nos oreilles, et nos lèvres et nos yeux...
Mais nos sourires, nos paroles, nos éclats de rires, nos écoutes,
nos secrets échangés, notre complicité,
nos regards, nos baisers...
nous n’allons jamais les enterrer.
Tout ce que nous avons été l'un pour l'autre, tout ce que nous avons vécu ensemble, tout ces moments partagés resteront à jamais dans nos Cœurs ,L'essentiel restera a l'infini
Soit en PAIX et AMOURS a l'infini
GABRIEL RINGLET

Déposé par biscuit le 01/03/2017  
OU ES-TU ?
« Où es-tu, petit ange, où es-tu?
On aurait bien voulu,
À force d’amour,
t’empêcher de partir,
mais le monde est trop lourd,
petit ange léger,
Et n’a pas su te retenir.
Où faut-il te chercher, maintenant ?
Sous les gouttes de rosée? Sur les ailes du vent?
Qui saura nous le dire?
» Maman, »
Là où je suis, je ne crains rien.
J’ai les yeux pleins d’étoiles blondes,
J’ai l’âme vaste comme le monde.
Là où je suis, la joie est sans mélange.
Ne me cherchez pas, je suis dans chaque chose…
sur les ailes d’un ange,
dans la rosée, dans le vent,
dans le cœur d’une rose,
Dans le cœur de mes parents.
Ne me cherchez pas, je suis partout,
Je suis avec vous, je suis chez moi. »
Albert Gui,
,

Déposé par elise2512 le 07/02/2017  
“Le vrai tombeau des morts, c'est le cœur des vivants.”
Jean Cocteau

Déposé par biscuit le 24/12/2016  

La neige tombait sur la ville sans faire de bruit. Le petit chat marchait dans la neige sans faire de bruit. Les flocons saupoudraient de blanc ses poils roux.
La rue était déserte.
C'était la nuit de Noël.
Bientôt les douze coups de minuit allaient sonner pour la plus belle nuit de l'année.
Mais le petit chat ne le savait pas. Il n'avait que trois mois et avait encore beaucoup de choses à apprendre. Surtout cette nuit où il faisait si froid… et qu'il ne savait pas où se nicher pour dormir. Il était seul pour se débrouiller, si seul et si ignorant des astuces. Ce n'est pas comme ce gros matou gris de tout à l'heure qui l'avait chassé du coin chaud où il s'était blotti. Il en savait des choses, lui, mais alors quel sale égoïste ! Croyez-vous qu'il aurait partagé ce qu'il était en train de manger ?
" Va pleurnicher ailleurs" lui avait-il dit.
Aussi, le petit chat marchait seul dans la rue. Il avait faim, il avait froid. Et il regardait les fenêtres éclairées derrière lesquelles il devait faire bon vivre.
Entendit-il sonner les douze coups de minuit ? Ca n'est pas sûr, mais par contre, il entendit parfaitement quelque chose passer au-dessus de lui, comme le vol d'un gros oiseau. Il s'aplatit au sol de frayeur ; quand il osa relever le museau, un drôle d'engin venait de se poser sur la maison d'en face.
Il n'avait jamais rien vu de pareil !
Et maintenant voilà qu'un gros bonhomme tout en rouge en sortait avec un sac sur le dos.
Et devant le drôle d'engin, deux grands rennes se mettaient à parler au bonhomme tout en rouge :
- Fais attention Père Noël, disait l'un, la cheminée n'a pas l'air bien solide !
- Te mélanges pas dans ta liste, disait l'autre, ici c'est des rollers et une panoplie de "Mulan".
- Mais oui, mais oui… Vous n'allez pas commencer à me surveiller quand même ! Vous savez bien que je ne me trompe jamais.
D'en bas, le petit chat ne pouvait pas voir si ce bonhomme avait une barbe blanche. Il lui trouva quand même une ressemblance avec le bonhomme en manteau rouge des images qu'il voyait partout dans la ville depuis quelques jours.
Mais que faisait-il donc là-haut ?
Pour en avoir le cœur net, il décida d'aller voir ça de plus près.
… Oui, mais comment faire pour monter ? En passant par les escaliers ? C'est que le petit chat gardait le souvenir cuisant des méchants coups de pied qu'on lui donnait quand il voulait rentrer dans une maison.
Il fit donc le tour de l'immeuble, et finit par trouver un endroit pour grimper jusqu'au au premier étage. Ce ne fut pas très difficile.
Restaient deux autres étages… et avec des pattes gelées, c'était pas évident !
Il lui fallut sept essais avant d'arriver en haut. Sept essais dont quatre moments d'équilibres acrobatiques, trois griffes arrachées, et un rétablissement miraculeux.
Mais ça y était, il était sur le toit, il allait savoir.
L'engin était toujours là. Les rennes bavardaient entre eux de choses que le petit chat tout essoufflé ne comprenait pas… Il était question d'une liste avec des noms de garçons et de filles, d'horaire à suivre, d'adresses, etc.
Le petit chat se dirigea sans bruit vers l'engin.
C'était plein de sacs dedans. Et plein de paquets aussi. Des gros, des très gros même, des plus petits, des minuscules. Tous avaient des couleurs joyeuses et scintillantes qui lui donnèrent envie de jouer avec. Il sauta hardiment dessus. Malheur ! Une petite musique se déclencha sous ses pattes. Le cœur battant, il s'enfuit au fond du traîneau où il trouva un sac à demi-ouvert pour se cacher.
C'était tout sombre dedans, mais il y faisait chaud et doux. Le petit chat sentit des poils contre lui. Il renifla pour comprendre si c'était un autre chat ou un des ces monstres de chien, mais comme ça ne sentait ni l'un ni l'autre et que ça ne bougeait pas, il se blottit tout contre, rassuré. Puis il attendit.
Dehors un renne parla :
- Ca doit être un appareil de musique qui s'est encore déclenché tout seul !
Puis la voix du vieux bonhomme à l'habit rouge retentit, sonore et joyeuse :
- Allons-y mes amis, au suivant de la liste !
Le petit chat sentit tout bouger autour de lui. Il eut la sensation de s'envoler puis quelques instants après, un coup de frein suivi d'un choc le déséquilibra. Son cœur tapait fort. Dehors, le vieux bonhomme riait :
- Ah ! Ah ! Ah ! Cette fois, la cheminée est large, je vais pouvoir descendre à l'aise !
Le petit chat commençait à sortir le museau dehors quand tout bascula brusquement. Secoué de droite et de gauche, il roula dans le sac, parmi les paquets qui l'écrasaient.
Une grande descente dans le vide lui remonta l'estomac dans le gosier… il miaula fort. Une main l'attrapa par la peau du cou. Un grand rire résonna à ses oreilles.
- Mais qu'est-ce que je vois là ! Mais croyez-vous, ça !... Un passager clandestin!
Le bonhomme en habit rouge le tenait en l'air, en riant très fort. Ses yeux riaient autant que sa bouche.
- Tu as donc voulu savoir comment je m'y prend pour faire ma tournée ?
Mais le petit chat était effrayé. Et il avait si faim et si froid qu'il miaulait à s'en étrangler et qu'il tremblait à en claquer des dents.
- Dis-moi, dis-moi, tu n'as pas l'air si courageux que ça pour un petit curieux ! Il suffit qu'on te découvre pour que tu appelles maman au secours ? Allons, voyons je suis le Père Noël, tu n'as rien à craindre de moi. Bien sûr, je devrais te punir de m'avoir suivi, alors que personne ne doit accompagner le Père Noël pendant sa tournée, mais comme tu viens de me donner une très bonne idée, je ne dirai rien et je vais même te garder un petit moment avec moi.
Et le Père Noël le mit dans la grande poche de son manteau.
C'était doux à l'intérieur, et c'était chaud. Le petit chat s'y trouva bien de suite.
Il ne savait pas encore qu'il allait vivre ce qui sera la nuit la plus extraordinaire de son existence. Ah, si seulement il n'avait pas cette faim atroce au ventre !
Il se redressa pour sortir le nez et pousser un petit miaulement de détresse… Peut-être que ce gentil bonhomme comprendra son problème…
- Veux-tu bien te taire, tu risques de réveiller les enfants ! Si tu veux m'accompagner, il faut rester silencieux. Aussi silencieux que la neige qui tombe.
Le bonhomme était en train de déposer des paquets auprès de deux paires de chaussons, tout petits, si petits qu'ils disparaissaient sous les paquets.
- Tu vois, ici c'est pour Mélanie ; elle a commandé un poney en peluche et une piscine magique. Là c'est pour Eric, il a demandé un "établi de moulage" et une "batmobile". Et regarde comme ils sont gentils tous les deux, ils ont laissé une tasse de lait et des biscuits pour moi. Ils savent que je suis un peu gourmand, tu comprends, et puis ça me redonne des forces… Hé ! Mais qu'est-ce que tu fais ?
Le petit chat s'était jeté sur le lait et qu'il le lapait en s'étranglant tellement il allait vite.
De retour au traîneau, le Père Noël s'approcha des rennes avec un air mystérieux.
- Regardez qui va passer la nuit avec nous !
Il sortit de sa poche une petit boule de poils ébouriffés et aux babines barbouillées de lait.
- Il avait si faim, le pauvre chaton, que j'ai partagé mon goûter avec lui… enfin, disons qu'il m'en a laissé quelques gouttes ! Allez les rennes, aux suivants.
Le petit chat garda les yeux écarquillés toute la nuit. Jamais il n'avait vu autant de belles choses, jamais il n'avait vu autant de couleurs scintillantes, jamais il n'avait vu autant de jouets, et jamais il n'avait crû que quelqu'un pouvait avoir autant de joie à déposer dans les maisons toutes ces merveilles.
A la fin de sa tournée, le Père Noël rentra dans une demeure où brillait une lampe de chevet dans une chambre. Des pantoufles de grand-mère attendaient près du lit.
- Tu vois, ici habite une gentille mamy qui m'a écrit pour me demander un cadeau. Elle voudrait quelque chose qui puisse la distraire pendant ses longs jours solitaires, et qui en même temps attirerait ses petits enfants pour qu'elle les voit plus souvent. Alors j'ai pensé à toi. Tu seras heureux ici, regarde comme tout est accueillant. Tu seras bien au chaud et je suis sûr que tu te régaleras… les grand-mères savent si bien faire la cuisine ! Mais chut… ne dis à personne que tu m'a accompagné cette nuit.
Il déposa doucement le petit chat dans une pantoufle, lui fit un gros bisou, et attendit qu'il s'endormit, le museau niché dans les pattes, le cœur à jamais étoilé de cette merveilleuse nuit de Noël.
Joyeux Noël à vous

Déposé par biscuit le 03/12/2016  

Que les étoiles éloignent notre tristesse
que les fleurs remplissent notre coeur de beauté
que l'espoir essuie nos larmes a jamais
que le silence nous rende fort.
pensée Amérindienne.
mais que le souvenir de ce passé si fragile a notre âme ,notre amour pour nos petits anges ne s'éteigne a jamais,que la lueur de cette flamme brille pour toujours dans notre chair meurtri,
afin d'y apporter un peu de lumière ,de sérénité et apaise notre douleur,afin que leur sommeil soit en paix....

Déposé par mistigri13 le 29/11/2016  
Ne sois pas triste. J’ai quitté mon corps au moment juste, sois-en certaine ! Et crois-moi, si j’avais pu le faire de moi-même un peu plus tôt, je l’aurai fait ! Certaines souffrances m’encourageaient à franchir la barrière, je ne pouvais pas me résoudre à partir... pas par peur, mais pour toi ! Je sentais bien que tu n'étais pas prête. Je me suis résigné à attendre encore quelques temps et ton Amour véritable a aussi amélioré ma condition physique, même si ce n’était que provisoire.
Hier c’était le moment et je t'ai envoyé des signes que tu as compris, même si tu étais réticente. Tu sais tu as pris la bonne décision ! Et vraiment, je n’envie pas les humains qui se retrouvent comme moi, face à la porte et qui n’ont pas le choix que d’avoir un prolongement infini de leurs souffrances par l’acharnement médical qu’ils subissent. J’ai eu une belle mort. Je n’étais pas seul, j’ai eu des mots d’amour, des gestes d’amour, tout a été très doux et s’est passé d’une manière quasi idéale. J’étais pleinement acceptant et reconnaissant et je le suis encore.
Ne sois pas triste, ne pleure pas, tout a été fait au moment juste... je t' aime ! Je ronronne d’Amour pour Toi mon amie, je ne t'oublierai jamais.

Déposé par GHETGHET le 25/11/2016  
Oh ! Non, ne crois pas que ma flamme
Se soit éteinte avec le temps ,
Sur mes sens tu régnas longtemps,
Tu vis aujourd'hui dans mon âme !
L'attrait qui séduisit mes yeux,
Ma raison aussi le partage ,
Je semblais t'aimer davantage,
Mais à présent je t'aime mieux.
Peut-être autrefois ma tendresse
N'avait d'ardeur que le désir ,
Elle a pu survivre au plaisir
Sans rien perdre de son ivresse ,
C'est un culte saint et pieux
Qui succède aux feux du jeune âge ,
Je semblais t'aimer davantage,
Mais à présent je t'aime mieux
Antoine FONTANEY
Soit en PAIX et AMOURS a l'infini

Déposé par GHETGHET le 24/11/2016  
Te le rappelles-tu ce jardin solitaire,
Où tu reçus l'aveu de mon timide amour ?
Tout nous favorisait, et l'heure et le mystère,
Et de l'astre des nuits le tremblant demi-jour.
Un incarnat léger colorait ton visage ,
Je lus mon avenir, mon bonheur, dans tes yeux ,
Et nos cœurs, s'unissant par ce muet langage,
Jurèrent de s'aimer à la face des cieux.
Mais lorsque, dans l'ardeur de ma brûlante ivresse,
Pour peindre mes transports cherchant le plus doux nom,
Je te nommais ma vie , alors avec tendresse
M'interrompant : Ta vie ! Ô mon amour, non, non,
T'écrias-tu soudain. Appelle-moi ton âme ,
J'ai besoin du garant de son éternité :
Ta vie, hélas, la mort en éteindra la flamme !
Mais ton âme est promise à l'immortalité.
Antoine FONTANEY
Soit en PAIX et AMOURS a l'infini

Déposé par GHETGHET le 06/11/2016  
Ce que je sais
Ce que je sais
c’est que la mort ne détruit pas l’amour
que l’on portait à ceux qui ne sont plus … Je le sais parce que,
tous les jours, je vis avec les miens…
Ce que je sais aussi,
c’est que la vie doit avoir un sens
Ce que je sais encore,
c’est que l’amour, le bien, la fidélité
et l’espoir triomphent finalement toujours
du mal, de la mort, et de la barbarie.
Tout cela, je le sais, je le crois …
Martin Gray

Déposé par mistigri13 le 05/11/2016  
Lorsqu'ils disparaissent nos petits compagnons laissent de belles empreintes de pattes à tout jamais dans nos cœurs. Cela ne pourrait pas être autrement étant donné qu'il fut notre confident, notre ami, notre compagnon de vie pendant de belles années.
C'est comme un ange. Il vient dans nos vies pour les remplir d'amour et s'en va un jour tout en continuant de veiller sur nous.

Déposé par GHETGHET le 31/10/2016  
Je pense à toi, lorsque les lueurs du soleil
Brillent dans la mer.
Je pense à toi, lorsque le scintillement de la lune
Se mire dans les sources.
Je te vois, lorsqu’au loin sur le chemin
La poussière se soulève,
Dans la nuit profonde, lorsque sur l’étroit sente
Le voyageur tressaille.
Je t’entends, lorsque des murmures étouffés
La vague monte là-bas.
Dans le paisible bosquet je vais souvent pour écouter
Quand tout se tait.
Je suis auprès de toi, aussi loin sois-tu,
Tu es près de moi.
Le soleil baisse, bientôt brilleront les étoiles.
Ah ! Si tu étais là !
Goethe

Déposé par GHETGHET le 25/10/2016  
le cimetière virtuel pour chats qui es un belle HOAMMAGES pour vous les chats pleins d'AMOURS
avec le cimetière virtuel ces des HOMMAGES pour vous les chats pleins d'AMOURS de bontés et de lumières
avec le cimetière virtuel ces partager en écrits vos vie et rituels vécus avec vous les chats en votre présence
avec le cimetière virtuel ces vous envoyer en écrits des belles pensés et des messages de PAIX et d'AMOURS entre terres et ciels
avec le cimetière virtuel ces des hommages en écrits et notre AMOURS pour vous qui se prolonges dan la continuités
avec le cimetière virtuel pour vous un jardins virtuel fleuris pour adoucir nos chagrins d'AMOURS de votre absence visibles
avec le cimetière virtuel ces d'échanger en écrits histoires et rituels de vies vécus en votre présences d'AMOURS
avec le cimetière virtuel ces des belles pensés pour vous les chats,vous êtes des êtres d'âmes d'AMOURS comme nous
avec le cimetière virtuel ciels terres vies au arc en ciels des hommages pour vous les chats au âmes d'amours
que vos AMES soit en PAIX es AMOURS a l'infini
PAPA-GHETGHET
Merci a cimetières virtuel de pouvoirs faires des hommages a nos chats d'AMOURS

Déposé par mistigri13 le 23/10/2016  
Une lueur transperça la nuit.
C'était la lueur de milliers de bougies qui luisaient brillantes, fortes et puissantes,
Et j'ai compris qu'elle venait de ton amour cette lueur dorée .
Même si nous ne pouvons pas plus être ensemble comme avant,
Nous sommes toujours reliés par un fil invisible .
Chaque fois que tu le souhaites tu peux me retrouver, car nous ne sommes jamais éloignés,
Regardes au delà de l'arc-en-ciel et écoutes avec ton coeur .

Déposé par GHETGHET le 22/10/2016  
Si vous saviez ce qu'il y a
Dans l'œil sans fond d'un petit chat,
Qu'il soit jaune, vert ou lilas
Vrai, vous n'en reviendrez pas !
On y voit des oiseaux de lune,
Des palais de laine et de lait,
Le sphinx émergeant de ses lunes,
Et des ballets ultraviolets.
Sur des bassins d'une eau sans rides,
S'épanouit la fleur de lotus
Tandis qu'une main translucide
Peint des soleils sur papyrus.
Tout l'univers est reflété
Dans cette goutte de lumière
Qui ouvre sur l'éternité
Ainsi qu'un hublot sur la mer
Marc Alyn

Déposé par GHETGHET le 19/10/2016  
Assis sur les genoux du temps,
Mon chat,immobile et patients,
Fait semblant d’être un sablier,
J’entends ses moustaches crisser.
Les meules, dans les champs, sont de grandes horloges
Qui tictaquent de sauterelles.
Les chaumes marquent midi
Et boivent à la paille
Des giclées de soleils.
Les martinets fouettent le ciel,
Mais ça ne le fait guère
Avancer pour autant !
Les serpents, minutes lentes,
Glissent dans les roselières.
Tout près de mon étang secrets,
Poussent de grandes sarbacanes
Qui lancent vers le ciel
Des flèches de lumières
A contre-courants,
Que seul mon chat discrets comprend.
(Christian Poslaniec)

Déposé par mistigri13 le 04/10/2016  
Quand on veut jouer tous ensemble on va sur un grand nuage et quand je veux prendre un peu de temps pour penser à toi, pour veiller sur toi, je reste sur mon petit nuage et je te regarde avec plein d'amour dans le regard...
Ce que je préfère, c'est te voir sourire...Je ne t'oublierai jamais !!!Je t'aime!!!

Déposé par GHETGHET le 16/09/2016  
Je suis seul
Pourquoi suis-je si seul, mon chat,
Si seul lorsque tu n'es pas là ?
Tu ne fais pourtant aucun bruit.
Tu dors, fermé comme la nuit.
Tu ne tiens guère plus de place
Que mon plus gros livre de classe.
Et qui croirait que tu respires
Bercé comme un petit navire ?
Alors pourquoi, pourquoi, mon chat,
Suis-je tout autre quand je vois,
Sur mon papier blanc, le soleil
Tailler l'ombre de tes oreilles ?
( Maurice Carême )




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