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In tribute to
EUROPEENFLOCON
left us on:06/11/2014
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6 messages
left by KEKER on 23/11/2014LE PETIT CHAT C’est un chat noir et blanc, effronté comme un page. Je le laisse jouer sur ma table, souvent. Quelquefois il s’assied sans faire de tapage; On dirait un joli presse-papier vivant. Rien de lui, pas un poil de sa toison ne bouge. Longtemps, il reste là, noir sur un feuillet blanc, A ces matous, tirant leur langue de drap rouge, Qu’on fait pour essuyer les plumes, ressemblant. Quand il s’amuse, il est extrêmement comique, Pataud et gracieux, tel un ourson drôlet. Souvent je m’accroupis pour suivre sa mimique Quand on met devant lui la soucoupe de lait. Tout d’abord de son nez délicat il le flaire, Le frôle; puis, à coups de langue très petits, Il le lampe; et dès lors il est à son affaire; Et l’on entend, pendant qu’il boit, un clapotis. Il boit, bougeant la queue et sans faire une pause, Et ne relève enfin son joli museau plat Que lorsqu’il a passé sa langue rêche et rose Partout, bien proprement débarbouillé le plat. Alors, il se pourlèche un moment les moustaches, Avec l’air étonné d’avoir déjà fini; Et, comme il s’aperçoit qu’il s’est fait quelques taches, Il relustre avec soin son pelage terni. Ses yeux jaunes et bleus sont comme deux agates; Il les ferme à-demi, parfois, en reniflant, Se renverse, ayant pris son museau dans ses pattes, Avec des airs de tigre étendu sur le flanc. Mais le voilà qui sort de cette nonchalance, Et, faisant le gros dos, il a l’air d’un manchon; Alors pour l’intriguer un peu, je lui balance, Au bout d’une ficelle invisible un bouchon. Il fuit en galopant et la mine effrayée, Puis revient au bouchon, le regarde, et d’abord Tient suspendue en l’air sa patte repliée, Puis l’abat, et saisit le bouchon et le mord. Je tire la ficelle, alors, sans qu’il le voie; Et le bouchon s’éloigne, et le chat noir le suit, Faisant des ronds avec sa patte qu’il envoie, Puis saute de côté, puis revient, puis refuit. Mais dès que je lui dis: "Il faut que je travaille; Venez vous asseoir là, sans faire le méchant!" Il s’assied ... Et j’entends, pendant que j’écrivaille, Le petit bruit mouillé qu’il fait en se léchant. ****** Edmond Rostand, modifié... |
left by KEKER on 11/11/2014Pour ton départ, joli Flocon Je n'ai pas le coeur à écrire Et pourtant je voudrais te dire Que lorsque tu t'endormiras Je te serrerai dans mes bras Je soufflerai dans ton oreille Tous les noms que je t'ai donnés Les noms plus ronds que des soleils Les noms qui te font ronronner Je ne lâcherai pas ton corps Quand je le sentirai frémir C'est moi qui serai le plus fort Quand la mort voudra te saisir C'est moi qui fermerai les bras Et c'est moi qui t'emporterai La suite on ne la dira pas Il est trop tôt pour en pleurer |
left by sky on 11/11/2014Décidement,le destin s'acharne sur vous et vos minous.Pourquoi faut-il toujours qu'ils quittent ce monde lorsqu'ils ont enfin trouvé le bonheur.Veille bien sur maman petit Flocon,et ne t'en fais pas au paradis des minous,personne ne pourra plus te voler ton bonheur.Un jour vous serez de nouveau réunis pour ne plus jamais vous séparer.Tendres caresses à toi et courage à ta maitresse. |
left by elise2512 on 09/11/2014CHAT, TU ES MON AMI Chat, tu es mon ami, mon confident muet, Tu es la poésie, tu es l’art d’être aimé. Tu as l’œil perçant au fond duquel scintille, Le désir envoûtant d’une étoile qui brille. Cet œil est une Agathe version multicolore, Il demande l’Amour, l’attend ou bien l’implore, Tout ton corps se prépare, offert à la caresse, Aussi tendu de joie qu’une jeune maîtresse. A peine que ma main ne vienne t’effleurer, Que tu danses déjà, ne sachant où passer. Tout ton être me frôle, électrique, impatient, Recherchant le plaisir traduit en ronronnant. Il suffit que je te touche et le miracle opère Tu deviens un enfant, dans les bras du père. Je te prends contre moi, monte sur mon épaule, Ta douceur me convient, c’est parti, je te cajole. Tes griffes sont rentrées, tes pattes sont douces, Tu rebondis sur moi, comme balle de mousse. J’arrêterais le temps, sublime instant de paix, Pour te garder, contre mon cœur, toute l’éternité. (Gilbert Dumas) |
left by Sylou on 09/11/2014Il était une fois...Il y a bien longtemps, des petits moutons argentés habitaient dans le ciel! Saint Pierre les avait adoptés pour passer le temps! Ceux-ci n'arrêtaient pas de courir et de jouer partout dans le ciel. Ils étaient très doux , mais aussi très aventureux.Parfois, ils allaient courir dans le ciel sans vraiment faire attention à ce qu 'ils croisaient et souvent des petites étoiles restaient accrochées à leur laine. Un jour Dieu décida de créer l'hiver sur le monde! Les petits moutons qui aimaient bien le confort douillet se mirent à courir dans tous les sens sur les nuages pour se réchauffer. Ils courrurent si vite que les étoiles se détachèrent de leur laine et tombèrent du ciel! Dieu en fût ravi et donna à ces petites étoiles blanches le nom de FLOCON C'est depuis ce jour qu'on peut apercevoir des petits flocons tomber du ciel... |
left by Sylou on 09/11/2014Joli et doux petit Flocon, nous t'avions adopté il y a 3 semaines à la SPA. Tu avais entre un an et demi et 5 ans? TU t'es tout de suite adapté à la maison, au chien, aux petits enfants! Tu parlais toute la journée et arrivait dès quon t'appelait... et puis tu as découvert avec bonheur le grand jardin, mais çà ne t'a pas suffit... tu étais un peit curieux qui n'avait peur de rien. Deux maisons plus loin tu es entré dans le jardin d'un voisin et tu as pensé naivemetn que le chien labrador était gentil !!! mais il t ' a tué :( Notre consolation est de t'avoir vu si heureux penant 3 petites semaines, nous ne t'oublierons pas joli petit Flocon. |
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