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En hommage à
EUROPEENPetit Roux
Il est né le:--/08/2015
Il nous a quittés le:11/01/2016
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17 messages
Déposé par annie le 11/01/2020🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹🌹 |
Déposé par annie le 11/01/2019💛💛💛💛💛💛💛💛💛💛💛💛💛💛💛💛💛💛💛💛 |
Déposé par GHETGHET le 22/10/2017JOACHIM du BELLAY petits museau , petites dents , yeux qui n'étaient point trop ardents Mais desquels la prunelles perses imités la couleurs diverses qu'on voit en cet arc pluvieux qui se courbes au travers des cieux |
Déposé par GHETGHET le 14/09/2017Que Savent les Hommes ? Nous sommes leurs petites bêtes Leurs domestiques Animaux Ils nous font la fêtes Nous frottent souvent le dos Ils cherchent nos caresses Nos tendres ronronnements Mais notre nobles sagesses Pour eux ce n'est rien, c'est du vents Que savent les Hommes Des petits êtres que nous sommes ? Savent-ils que nos cœurs battent comme leurs propres cœurs ? Et que du bonheurs C'est de faires leur bonheurs Ils nous gardes biens au chauds Dans leurs hermétiques maisons Nourrissent nos petits corps A coups de boîtes de ronrons Nous sommes décoratif Dans leurs impersonnels décors Mais leurs mains qui souvent nous caressent N'apaisent pas notre détresses Que savent les Hommes Des petits êtres que nous sommes ? Savent-ils que nos yeux Ou brillent des ombres noires Ne sont que les reflets De leur secret désespoir ? Nous leur apportons le calmes Les allégeons de leurs angoisses Quand nous restons en silences C'est pour le bien-être de leurs ÂMES Nous les aidons a vivres A supporters leurs mondes d'Hommes Et quand ils partent a la dérives Nous esquissons un pas de danses Que savent les Hommes Des petits êtres que nous sommes ? Savent-ils que dans nos yeux L'univers entiers se reflètes Et que s'ils nous trouvent étranges C'est parce que nous sommes des ANGES ? PHILIPPE MUYL |
Déposé par GHETGHET le 01/07/2017 A mon Maitres ne me prends pas pour esclaves , car j'ai en moi le gouts de la libertés , ne cherche pas a deviner mes secrets , car j'ai en moi le gouts du mystères , ne me contrains pas aux caresses , car j'ai en moi le gouts de la pudeurs , ne m'humilies pas , car j'ai en moi le gouts de la fiertés , ne m'abandonne pas , car j'ai en moi le gouts de la fidélités , saches m'Aimer et je saurais t'Aimer , car j'ai en moi le gouts de l'Amitiés anonymes |
Déposé par GHETGHET le 02/03/2017 L'ESSENTIEL RESTERA Oui, nos mains vont disparaître... Mais nos poignées de mains, mais nos signes de bonjour, nos gestes d’adieu, nos câlins et nos caresses, l'étreinte de nos bras... nous n’allons jamais les oublier. Oui, nos pieds vont disparaître... Mais la foulée de nos promenades, l’élan de nos courses, le saut de nos jeux, le pas de nos danses et de nos rendez-vous... nous n’allons jamais les oublier. Oui, nos visages vont disparaître, et nos oreilles, et nos lèvres et nos yeux... Mais nos sourires, nos paroles, nos éclats de rires, nos écoutes, nos secrets échangés, notre complicité, nos regards, nos baisers... nous n’allons jamais les enterrer. Tout ce que nous avons été l'un pour l'autre, tout ce que nous avons vécu ensemble, tout ces moments partagés resteront à jamais dans nos Cœurs ,L'essentiel restera a l'infini Soit en PAIX et AMOURS a l'infini GABRIEL RINGLET |
Déposé par mistigri13 le 11/01/2017Ne sois pas triste, je suis toujours à tes côtés. Mon corps est parti, mais mon âme est là tout près de toi. Je t'envoie la brise de mon âme pour que tu continues à penser à moi et pour te montrer que où que je sois je continue à t'aimer. |
Déposé par GHETGHET le 25/11/2016Oh ! Non, ne crois pas que ma flamme Se soit éteinte avec le temps , Sur mes sens tu régnas longtemps, Tu vis aujourd'hui dans mon âme ! L'attrait qui séduisit mes yeux, Ma raison aussi le partage , Je semblais t'aimer davantage, Mais à présent je t'aime mieux. Peut-être autrefois ma tendresse N'avait d'ardeur que le désir , Elle a pu survivre au plaisir Sans rien perdre de son ivresse , C'est un culte saint et pieux Qui succède aux feux du jeune âge , Je semblais t'aimer davantage, Mais à présent je t'aime mieux Antoine FONTANEY Soit en PAIX et AMOURS a l'infini |
Déposé par GHETGHET le 24/11/2016Te le rappelles-tu ce jardin solitaire, Où tu reçus l'aveu de mon timide amour ? Tout nous favorisait, et l'heure et le mystère, Et de l'astre des nuits le tremblant demi-jour. Un incarnat léger colorait ton visage , Je lus mon avenir, mon bonheur, dans tes yeux , Et nos cœurs, s'unissant par ce muet langage, Jurèrent de s'aimer à la face des cieux. Mais lorsque, dans l'ardeur de ma brûlante ivresse, Pour peindre mes transports cherchant le plus doux nom, Je te nommais ma vie , alors avec tendresse M'interrompant : Ta vie ! Ô mon amour, non, non, T'écrias-tu soudain. Appelle-moi ton âme , J'ai besoin du garant de son éternité : Ta vie, hélas, la mort en éteindra la flamme ! Mais ton âme est promise à l'immortalité. Antoine FONTANEY Soit en PAIX et AMOURS a l'infini |
Déposé par biscuit le 19/01/2016Pour toi trésor. Le cœur brisé je suis partie. A la maison je t’ai cherchée. Au jardin j’ai cru apercevoir ton ombre mais c’était la mienne. Le temps qui m’a paru si court avec toi à mes côtés S’étire, n’en finit pas et pourtant c’est déjà demain comment ais je survécu à cette nuit sans toi ? Je te cherche, tu es là sur le tapis. Mais non ce sont mes larmes qui brouillent ma vue. Des jours,des mois ont passé... Le vent dans les rideaux Un bruit comme des pattes sur le parquet, non le chagrin ne m’a pas rendu folle. Tu es là tout prés dans mon cœur à l’abri mon chat, mon ange… |
Déposé par biscuit le 17/01/2016Puisque l'ombre gagne Puisqu'il n'est pas de montagne Au-delà des vents plus haute que les marches de l'oubli Puisqu'il faut apprendre A défaut de le comprendre A rêver nos désirs et vivre des "ainsi-soit-il" Puisque tu pars Que les vents te mènent où d'autres âmes plus belles Sauront t'aimer mieux que nous puisque L'on ne peut t'aimer plus Sache qu'ici reste de toi comme une empreinte Indélébile Sans drame, sans larme Pauvres et dérisoires armes Parce qu'il est des douleurs qui ne pleurent qu'à l'intérieur Puisque ta maison Aujourd'hui c'est l'horizon Dans ton histoire Garde en mémoire Notre au revoir Puisque tu pars |
Déposé par biscuit le 16/01/2016Pour toi mon chat Je garderai ton odeur tout au fond de mon cœur Je garderai le souvenir de tes fêtes tout au fond de ma tête Je garderai ces moments en or tout au fond d'un trésor Je garderai ta joie de vivre tout au fond d'un livre Je garderai ta gourmandise tout au fond d'une valise Je garderai ton collier tout au fond de mes pensées Je garderai tout ce qui te plais tout au fond d'un secret Je garderai ton amour tout au fond d'une tour Je garderai tout ce que tu aimes tout au fond d'un poème Tout çà pour dire que je garderai un petit bout de ton regard tout au fond de ma mémoire. |
Déposé par biscuit le 15/01/2016Seigneur Dieu, Ceux qui n'ont jamais eu d'animal de compagnie, Trouveront étrange cette prière, Mais Vous, Seigneur de Toute Vie et Créateur de Toutes les créatures, Vous comprendrez. Mon coeur est lourd, Car je viens de perdre ma(mon) compagne(compagnon) bien-aimé(e), Celle (celui) qui faisait tellement partie de ma vie. Cette compagnie a rendu ma vie plus agréable, Elle m'a permis de rire et de trouver la joie auprès d'elle. Et sa présence me manquera. Avec elle j'ai appris plusieurs leçons, telles la valeur du naturel Et la quête d'affection spontanée, Soucieux de répondre à ses besoins quotidiens, J'ai cessé de penser uniquement à mes propres besoins Et j'ai ainsi appris à être utile aux autres. Puisse la mort de cette créature qui est la Vôtre Me rappeler que la mort attend chacun de nous, Animaux comme les humains, Et qu'elle est un passage naturel pour toutes les formes de vie. Puisse (nom de l'animal) dormir d'un sommeil paisible et éternel sous Votre Divine protection En attendant la plénitude et la libération de toute la création. |
Déposé par elise2512 le 14/01/2016CHAT, TU ES MON AMI Chat, tu es mon ami, mon confident muet, Tu es la poésie, tu es l’art d’être aimé. Tu as l’œil perçant au fond duquel scintille, Le désir envoûtant d’une étoile qui brille. Cet œil est une Agathe version multicolore, Il demande l’Amour, l’attend ou bien l’implore, Tout ton corps se prépare, offert à la caresse, Aussi tendu de joie qu’une jeune maîtresse. A peine que ma main ne vienne t’effleurer, Que tu danses déjà, ne sachant où passer. Tout ton être me frôle, électrique, impatient, Recherchant le plaisir traduit en ronronnant. Il suffit que je te touche et le miracle opère Tu deviens un enfant, dans les bras du père. Je te prends contre moi, monte sur mon épaule, Ta douceur me convient, c’est parti, je te cajole. Tes griffes sont rentrées, tes pattes sont douces, Tu rebondis sur moi, comme balle de mousse. J’arrêterais le temps, sublime instant de paix, Pour te garder, contre mon cœur, toute l’éternité. (Gilbert Dumas) |
Déposé par biscuit le 14/01/2016Il y a des souffrances qui pèsent des tonnes Et pour ne pas que tout espoir nous abandonne On joue le rôle de celui pour qui tout va bien Pourvu que les autres n'en sachent rien On fait au mieux pour sauver la face Pour que notre entourage ignore par où l'on passe On rit on danse on fait les fous comme à Venise Mais quoiqu'on fasse mais quoiqu'on dise Les blessures qui ne se voient pas Nous font du mal bien plus que toutes les autres On les enferme au fond de soit Mais est-ce que toute une vie on les supporte ? L'orgueil nous aide à tenir le coup Apparemment on pourrait même faire des jaloux C'est à nous même que l'on se joue la comédie Pour s'inventer qu'on est guéri Les blessures qui ne se voient pas Nous font du mal bien plus que toutes les autres On les enferme au fond de soit Mais est-ce que toute une vie on les supporte ? Ces blessures là Qui ne se voient pas Il y a des souffrances qui pèsent des tonnes Et que ne pas que tout espoir nous abandonne Il faut se dire que tôt ou tard on va guérir Les blessures qui ne se voient pas Parfois semblent avoir perdu nos trace Et quand on ne s'y attend pas Sans que jamais les autres le sachent Elles remontent à la surface Et nous fusillent une fois encore Les blessures qui ne se voient pas Qui nous font du mal bien plus que toutes les autres Ces blessures là Qui ne se voient pas on vit avec chaque jours vous nous manquez nos petits amours, |
Déposé par biscuit le 13/01/2016Ce n'est qu'un chat.... Je me souviens de cette femme, un soir, qui pleurait... C'était chez des amis. On se donnait des nouvelles des enfants. Elle avait dit simplement : "Mon petit chat est mort". Et elle s'était mise à pleurer... Et, dans un coin du salon, un monsieur avait dit à un autre en haussant les épaules: "Ce n'est qu'un chat, quand même !..." Ce n'est qu'un chat !... Mais c'est immense un chat, vous ne savez pas Monsieur ? C'est immense... Vous n'en avez pas, évidemment, et vous ignorez que l'on peut avoir, lorsqu'il s'en va à tout jamais, autant de chagrin que s'il s'agissait d'un enfant... Aux gens qui n'en ont pas, çà paraît sacrilège... Comment peut-on comparer, n'est-ce pas ? C'est parce que vous ne savez pas Monsieur. Vous ne savez pas la place que ça prend, un chat dans une vie - ces yeux d'or qui vous dédient un regard d'éternité, cette patte douce qui se pose sur votre main, ces mouvements qui sont la beauté et la grâce et dont chacun exprime une sensation , un sentiment, et cette tête ronde et dure qui se colle à votre tempe pour vous dire je t'aime aussi... Tout cela, Monsieur, vous ne le savez pas et quelque chose vous manque. Mais je ne sais pas si je dois vous plaindre ou vous envier... Parce que vous ne tremblez pas chaque fois qu'il tousse, ou éternue, ou n'a pas faim ; chaque fois qu'il s'est battu et que l'on cherche dans son poil, la trace des morsures et des griffes ; chaque fois qu'il rentre tard et que l'on ne sait pas si, dans la rue, un imbécile, qui roulait trop vite, ne la pas projeté contre un mur, désarticulé, brisé... Mais vous ne connaîtrez jamais non plus, c'est vrai, le bonheur d'un amour gratuit partagé. Parce que les chats, Monsieur, c'est tout le contraire de ce que certains racontent : c'est tendre, c'est bon, c'est fidèle, c'est lucide, c'est intelligent, c'est doux et ça vous dit des choses... Tant de choses !... Dors, ma petite Moune, dors... Tu sautais moins bien ces jours-ci... J'ai dit à ta maman : "Il saute moins bien... Il vieillit, peut être ?... Il a hésité dix fois avant de bondir sur le rebord de la fenêtre..." Je ne veux pas y penser. Il sera bien temps... Ce qui doit arriver un jour, c'est vrai pour tout le monde. Mais ça ne nous console pas de le savoir... Alors j'aurais voulu la prendre dans mes bras, cette femme que je connaissais à peine, et qui pleurait, et j'aurais voulu lui dire : "Je vous comprends... Pleurez tant que vous voudrez, pleurez sans vous soucier des autres. Eux ne savent pas et moi si..." Philippe Ragueneau |
Déposé par biscuit le 12/01/2016Un au revoir ne coûte rien Un adieu augmente mon chagrin Une larme coule sur ma joue Et une pensée reste pour toujours Tu me manques pour la vie et à l’infini Tu ne le sais pas Mais je continuerai à penser à toi Car tu as toujours été là pour moi C'est vrai que tu n'es plus sur terre Mais dans mon cœur tu demeures Je pense à toi, c'est impossible de t'oublier Je voudrais revenir en arrière Pour t'empêcher de mourir Enfin arrêter toute cette tristesse Et retrouver le petit monde heureux. Mais je le sais, c'est impossible Je voudrais juste te retrouver Et t'embrasser une dernière fois Te serrer contre moi Pour sentir ton odeur Et la graver à jamais dans mon cœur |