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En hommage à
Petit Roux
EUROPEEN
Il est né le:--/08/2015
Il nous a quittés le:11/01/2016

Mon petit Roux tu es parti aujourd'hui à 17h45 j'ai regardé l'heure tu étais un petit bout de chat mais battant nous avons été le 29 décembre avec toi chez le vétérinaire tu n'a pas récupéré et ton état s'est dégradé rapidement aujourd'hui prise de sang il t'a décelé une leucose j'ai du prendre une très dure décision de t'endormir mais tu étais si faible tu ne mangais plus je t'adore mon chat mon petit roux et merci à ma tata de m'aider dans ces moments si difficiles elle me comprendra merci à elle. Vole mon coeur va rejoindre tous tes amis chats je t'aime ta maman.




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17 messages

Déposé par annie le 11/01/2020  
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Déposé par annie le 11/01/2019  
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Déposé par GHETGHET le 22/10/2017  
JOACHIM du BELLAY
petits museau , petites dents , yeux qui n'étaient point trop ardents
Mais desquels la prunelles perses imités la couleurs diverses qu'on voit en cet arc pluvieux qui se courbes au travers des cieux

Déposé par GHETGHET le 14/09/2017  
Que Savent les Hommes ?
Nous sommes leurs petites bêtes
Leurs domestiques Animaux
Ils nous font la fêtes
Nous frottent souvent le dos
Ils cherchent nos caresses
Nos tendres ronronnements
Mais notre nobles sagesses
Pour eux ce n'est rien, c'est du vents
Que savent les Hommes
Des petits êtres que nous sommes ?
Savent-ils que nos cœurs battent comme leurs propres cœurs ?
Et que du bonheurs
C'est de faires leur bonheurs
Ils nous gardes biens au chauds
Dans leurs hermétiques maisons
Nourrissent nos petits corps
A coups de boîtes de ronrons
Nous sommes décoratif
Dans leurs impersonnels décors
Mais leurs mains qui souvent nous caressent
N'apaisent pas notre détresses
Que savent les Hommes
Des petits êtres que nous sommes ?
Savent-ils que nos yeux
Ou brillent des ombres noires
Ne sont que les reflets
De leur secret désespoir ?
Nous leur apportons le calmes
Les allégeons de leurs angoisses
Quand nous restons en silences
C'est pour le bien-être de leurs ÂMES
Nous les aidons a vivres
A supporters leurs mondes d'Hommes
Et quand ils partent a la dérives
Nous esquissons un pas de danses
Que savent les Hommes
Des petits êtres que nous sommes ?
Savent-ils que dans nos yeux
L'univers entiers se reflètes
Et que s'ils nous trouvent étranges
C'est parce que nous sommes des ANGES ?
PHILIPPE MUYL

Déposé par GHETGHET le 01/07/2017  
A mon Maitres
ne me prends pas pour esclaves , car j'ai en moi le gouts de la libertés ,
ne cherche pas a deviner mes secrets , car j'ai en moi le gouts du mystères ,
ne me contrains pas aux caresses , car j'ai en moi le gouts de la pudeurs ,
ne m'humilies pas , car j'ai en moi le gouts de la fiertés ,
ne m'abandonne pas , car j'ai en moi le gouts de la fidélités ,
saches m'Aimer et je saurais t'Aimer , car j'ai en moi le gouts de l'Amitiés
anonymes

Déposé par GHETGHET le 02/03/2017  
L'ESSENTIEL RESTERA
Oui, nos mains vont disparaître...
Mais nos poignées de mains, mais nos signes de bonjour, nos gestes d’adieu, nos câlins et nos caresses, l'étreinte de nos bras...
nous n’allons jamais les oublier.
Oui, nos pieds vont disparaître...
Mais la foulée de nos promenades, l’élan de nos courses, le saut de nos jeux, le pas de nos danses et de nos rendez-vous...
nous n’allons jamais les oublier.
Oui, nos visages vont disparaître, et nos oreilles, et nos lèvres et nos yeux...
Mais nos sourires, nos paroles, nos éclats de rires, nos écoutes,
nos secrets échangés, notre complicité,
nos regards, nos baisers...
nous n’allons jamais les enterrer.
Tout ce que nous avons été l'un pour l'autre, tout ce que nous avons vécu ensemble, tout ces moments partagés resteront à jamais dans nos Cœurs ,L'essentiel restera a l'infini
Soit en PAIX et AMOURS a l'infini
GABRIEL RINGLET

Déposé par mistigri13 le 11/01/2017  
Ne sois pas triste, je suis toujours à tes côtés. Mon corps est parti, mais mon âme est là tout près de toi.
Je t'envoie la brise de mon âme pour que tu continues à penser à moi et pour te montrer que où que je sois je continue à t'aimer.

Déposé par GHETGHET le 25/11/2016  
Oh ! Non, ne crois pas que ma flamme
Se soit éteinte avec le temps ,
Sur mes sens tu régnas longtemps,
Tu vis aujourd'hui dans mon âme !
L'attrait qui séduisit mes yeux,
Ma raison aussi le partage ,
Je semblais t'aimer davantage,
Mais à présent je t'aime mieux.
Peut-être autrefois ma tendresse
N'avait d'ardeur que le désir ,
Elle a pu survivre au plaisir
Sans rien perdre de son ivresse ,
C'est un culte saint et pieux
Qui succède aux feux du jeune âge ,
Je semblais t'aimer davantage,
Mais à présent je t'aime mieux
Antoine FONTANEY
Soit en PAIX et AMOURS a l'infini

Déposé par GHETGHET le 24/11/2016  
Te le rappelles-tu ce jardin solitaire,
Où tu reçus l'aveu de mon timide amour ?
Tout nous favorisait, et l'heure et le mystère,
Et de l'astre des nuits le tremblant demi-jour.
Un incarnat léger colorait ton visage ,
Je lus mon avenir, mon bonheur, dans tes yeux ,
Et nos cœurs, s'unissant par ce muet langage,
Jurèrent de s'aimer à la face des cieux.
Mais lorsque, dans l'ardeur de ma brûlante ivresse,
Pour peindre mes transports cherchant le plus doux nom,
Je te nommais ma vie , alors avec tendresse
M'interrompant : Ta vie ! Ô mon amour, non, non,
T'écrias-tu soudain. Appelle-moi ton âme ,
J'ai besoin du garant de son éternité :
Ta vie, hélas, la mort en éteindra la flamme !
Mais ton âme est promise à l'immortalité.
Antoine FONTANEY
Soit en PAIX et AMOURS a l'infini

Déposé par biscuit le 19/01/2016  
Pour toi trésor.
Le cœur brisé je suis partie.
A la maison je t’ai cherchée.
Au jardin j’ai cru apercevoir ton ombre
mais c’était la mienne.
Le temps qui m’a paru si court avec toi à mes côtés
S’étire, n’en finit pas
et pourtant c’est déjà demain
comment ais je survécu à cette nuit sans toi ?
Je te cherche,
tu es là sur le tapis.
Mais non
ce sont mes larmes qui brouillent ma vue.
Des jours,des mois ont passé...
Le vent dans les rideaux
Un bruit comme des pattes sur le parquet,
non le chagrin ne m’a pas rendu folle.
Tu es là
tout prés
dans mon cœur
à l’abri
mon chat, mon ange…

Déposé par biscuit le 17/01/2016  

Puisque l'ombre gagne
Puisqu'il n'est pas de montagne
Au-delà des vents plus haute que les marches de l'oubli
Puisqu'il faut apprendre
A défaut de le comprendre
A rêver nos désirs et vivre des "ainsi-soit-il"
Puisque tu pars
Que les vents te mènent où d'autres âmes plus belles
Sauront t'aimer mieux que nous puisque
L'on ne peut t'aimer plus
Sache qu'ici reste de toi comme une empreinte Indélébile
Sans drame, sans larme
Pauvres et dérisoires armes
Parce qu'il est des douleurs qui ne pleurent qu'à l'intérieur
Puisque ta maison
Aujourd'hui c'est l'horizon
Dans ton histoire
Garde en mémoire
Notre au revoir
Puisque tu pars

Déposé par biscuit le 16/01/2016  
Pour toi mon chat
Je garderai ton odeur
tout au fond de mon cœur
Je garderai le souvenir de tes fêtes
tout au fond de ma tête
Je garderai ces moments en or
tout au fond d'un trésor
Je garderai ta joie de vivre
tout au fond d'un livre
Je garderai ta gourmandise
tout au fond d'une valise
Je garderai ton collier
tout au fond de mes pensées
Je garderai tout ce qui te plais
tout au fond d'un secret
Je garderai ton amour
tout au fond d'une tour
Je garderai tout ce que tu aimes
tout au fond d'un poème
Tout çà pour dire que je garderai un petit bout de ton regard
tout au fond de ma mémoire.

Déposé par biscuit le 15/01/2016  

Seigneur Dieu,
Ceux qui n'ont jamais eu d'animal de compagnie,
Trouveront étrange cette prière,
Mais Vous, Seigneur de Toute Vie et Créateur de Toutes les créatures,
Vous comprendrez.
Mon coeur est lourd,
Car je viens de perdre ma(mon) compagne(compagnon) bien-aimé(e),
Celle (celui) qui faisait tellement partie de ma vie.
Cette compagnie a rendu ma vie plus agréable,
Elle m'a permis de rire et de trouver la joie auprès d'elle.
Et sa présence me manquera.
Avec elle j'ai appris plusieurs leçons, telles la valeur du naturel
Et la quête d'affection spontanée,
Soucieux de répondre à ses besoins quotidiens,
J'ai cessé de penser uniquement à mes propres besoins
Et j'ai ainsi appris à être utile aux autres.
Puisse la mort de cette créature qui est la Vôtre
Me rappeler que la mort attend chacun de nous,
Animaux comme les humains,
Et qu'elle est un passage naturel pour toutes les formes de vie.
Puisse (nom de l'animal) dormir d'un sommeil paisible et éternel sous Votre Divine protection
En attendant la plénitude et la libération de toute la création.

Déposé par elise2512 le 14/01/2016  
CHAT, TU ES MON AMI
Chat, tu es mon ami, mon confident muet,
Tu es la poésie, tu es l’art d’être aimé.
Tu as l’œil perçant au fond duquel scintille,
Le désir envoûtant d’une étoile qui brille.
Cet œil est une Agathe version multicolore,
Il demande l’Amour, l’attend ou bien l’implore,
Tout ton corps se prépare, offert à la caresse,
Aussi tendu de joie qu’une jeune maîtresse.
A peine que ma main ne vienne t’effleurer,
Que tu danses déjà, ne sachant où passer.
Tout ton être me frôle, électrique, impatient,
Recherchant le plaisir traduit en ronronnant.
Il suffit que je te touche et le miracle opère
Tu deviens un enfant, dans les bras du père.
Je te prends contre moi, monte sur mon épaule,
Ta douceur me convient, c’est parti, je te cajole.
Tes griffes sont rentrées, tes pattes sont douces,
Tu rebondis sur moi, comme balle de mousse.
J’arrêterais le temps, sublime instant de paix,
Pour te garder, contre mon cœur, toute l’éternité.
(Gilbert Dumas)

Déposé par biscuit le 14/01/2016  
Il y a des souffrances qui pèsent des tonnes
Et pour ne pas que tout espoir nous abandonne
On joue le rôle de celui pour qui tout va bien
Pourvu que les autres n'en sachent rien
On fait au mieux pour sauver la face
Pour que notre entourage ignore par où l'on passe
On rit on danse on fait les fous comme à Venise
Mais quoiqu'on fasse mais quoiqu'on dise
Les blessures qui ne se voient pas
Nous font du mal bien plus que toutes les autres
On les enferme au fond de soit
Mais est-ce que toute une vie on les supporte ?
L'orgueil nous aide à tenir le coup
Apparemment on pourrait même faire des jaloux
C'est à nous même que l'on se joue la comédie
Pour s'inventer qu'on est guéri
Les blessures qui ne se voient pas
Nous font du mal bien plus que toutes les autres
On les enferme au fond de soit
Mais est-ce que toute une vie on les supporte ?
Ces blessures là
Qui ne se voient pas
Il y a des souffrances qui pèsent des tonnes
Et que ne pas que tout espoir nous abandonne
Il faut se dire que tôt ou tard on va guérir
Les blessures qui ne se voient pas
Parfois semblent avoir perdu nos trace
Et quand on ne s'y attend pas
Sans que jamais les autres le sachent
Elles remontent à la surface
Et nous fusillent une fois encore
Les blessures qui ne se voient pas
Qui nous font du mal bien plus que toutes les autres
Ces blessures là
Qui ne se voient pas
on vit avec chaque jours
vous nous manquez nos petits amours,

Déposé par biscuit le 13/01/2016  
Ce n'est qu'un chat....
Je me souviens de cette femme, un soir, qui pleurait... C'était chez des amis. On se donnait des nouvelles des enfants. Elle avait dit simplement : "Mon petit chat est mort". Et elle s'était mise à pleurer... Et, dans un coin du salon, un monsieur avait dit à un autre en haussant les épaules: "Ce n'est qu'un chat, quand même !..."
Ce n'est qu'un chat !... Mais c'est immense un chat, vous ne savez pas Monsieur ? C'est immense... Vous n'en avez pas, évidemment, et vous ignorez que l'on peut avoir, lorsqu'il s'en va à tout jamais, autant de chagrin que s'il s'agissait d'un enfant... Aux gens qui n'en ont pas, çà paraît sacrilège... Comment peut-on comparer, n'est-ce pas ?
C'est parce que vous ne savez pas Monsieur.
Vous ne savez pas la place que ça prend, un chat dans une vie - ces yeux d'or qui vous dédient un regard d'éternité, cette patte douce qui se pose sur votre main, ces mouvements qui sont la beauté et la grâce et dont chacun exprime une sensation , un sentiment, et cette tête ronde et dure qui se colle à votre tempe pour vous dire je t'aime aussi...
Tout cela, Monsieur, vous ne le savez pas et quelque chose vous manque.
Mais je ne sais pas si je dois vous plaindre ou vous envier... Parce que vous ne tremblez pas chaque fois qu'il tousse, ou éternue, ou n'a pas faim ; chaque fois qu'il s'est battu et que l'on cherche dans son poil, la trace des morsures et des griffes ; chaque fois qu'il rentre tard et que l'on ne sait pas si, dans la rue, un imbécile, qui roulait trop vite, ne la pas projeté contre un mur, désarticulé, brisé...
Mais vous ne connaîtrez jamais non plus, c'est vrai, le bonheur d'un amour gratuit partagé. Parce que les chats, Monsieur, c'est tout le contraire de ce que certains racontent : c'est tendre, c'est bon, c'est fidèle, c'est lucide, c'est intelligent, c'est doux et ça vous dit des choses... Tant de choses !...
Dors, ma petite Moune, dors... Tu sautais moins bien ces jours-ci... J'ai dit à ta maman : "Il saute moins bien... Il vieillit, peut être ?... Il a hésité dix fois avant de bondir sur le rebord de la fenêtre..."
Je ne veux pas y penser. Il sera bien temps... Ce qui doit arriver un jour, c'est vrai pour tout le monde. Mais ça ne nous console pas de le savoir...
Alors j'aurais voulu la prendre dans mes bras, cette femme que je connaissais à peine, et qui pleurait, et j'aurais voulu lui dire :
"Je vous comprends... Pleurez tant que vous voudrez, pleurez sans vous soucier des autres. Eux ne savent pas et moi si..."
Philippe Ragueneau

Déposé par biscuit le 12/01/2016  
Un au revoir ne coûte rien
Un adieu augmente mon chagrin
Une larme coule sur ma joue
Et une pensée reste pour toujours
Tu me manques pour la vie et à l’infini
Tu ne le sais pas
Mais je continuerai à penser à toi
Car tu as toujours été là pour moi
C'est vrai que tu n'es plus sur terre
Mais dans mon cœur tu demeures
Je pense à toi, c'est impossible de t'oublier
Je voudrais revenir en arrière
Pour t'empêcher de mourir
Enfin arrêter toute cette tristesse
Et retrouver le petit monde heureux.
Mais je le sais, c'est impossible
Je voudrais juste te retrouver
Et t'embrasser une dernière fois
Te serrer contre moi
Pour sentir ton odeur
Et la graver à jamais dans mon cœur



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