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En hommage à
CHARTREUXPapou
Il est né le:14/01/1999
Il nous a quittés le:18/08/2015
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2208 Fleurs
210 messages
Déposé par biscuit le 27/01/2017Assieds-toi à côté de moi, j'ai à te parler. Je t'ai, maintenant je le crois, assez écouté. Je me souviens de notre rencontre, c'était un jour où le soleil brillait, l'air était doux. Un parfum de muguet, que je n'avais encore jamais respiré, se répandait tout autour de nous. Tu es venu vers moi, tu semblais si fatigué, si triste, que je me suis tout de suite sentis proche de toi. Les arbres, les fleurs, l'herbe même sentaient la naissance, le début, la fraîcheur. Quand tu m'as pris dans tes bras, ton cœur battait encore plus fort que le mien. Je me le rappelle bien, j'en étais stupéfait! Tu me donnais tant d'amour qu'il me semblait que l'éternité était en nous, que ma vie était-elle. Tu m'as connu bébé, je suis maintenant beaucoup plus vieux que toi, au crépuscule de ma vie. C'est moi maintenant qui suis fatigué, si fatigué, éreinté. Je ne sens plus mes membres, je ne sens presque plus rien. Il est pour moi l'heure . Tu es ce que tu es, celui que j'ai aimé, que j'ai toujours aimé. Le premier, le dernier. Notre sort aurait pu être si différent… le mien surtout. J'aurais pu me retrouver seul, dans le froid, attendant jusqu'à ma mort ton retour. J'aurais pu me sentir abandonner mais confiant, même si cela peut paraître incompatible. J'aurais pu croire en un faux Dieu, perdre ce que vous appelez des illusions. Comme je me sens bien près de toi… il me semble sentir à nouveau le muguet comme ce jour de mai; je sens ta chaleur, ta vie, il me semble même entendre battre ton cœur, comme au premier jour. Pour moi, c'est le dernier. Ne pleure pas mon ami. Ton tour viendra, et je ne peux m'empêcher de te promettre que je t'attendrais, même si je sais que tu ne crois pas à ces choses-là. Que nous reste-t-il donc ? Rien d'autre que ce que tu penses être un faux espoir. Mais tu en sais sans doute plus que moi sur ce sujet ? Je vais continuer de vivre dans ton cœur, aussi longtemps que tu le souhaiteras. Je serais toujours tout près de toi, tant que mon image sera présente en toi. Je dois maintenant m'arrêter. S'il te plait… Poses ta main sur ma tête… caresses-moi. Je vais partir, et j'ai un peu peur. Il me faut ton odeur… Adieu. |
Déposé par mistigri13 le 26/01/2017Pardon beau Papou de te délaisser ces quelques jours mais ma maman vient de s'éteindre et malheureusement les préparatifs de ses funérailles de demain me prennent beaucoup de temps. La semaine prochaine je recommencerai à venir te faire un coucou aussi souvent qu'avant. |
Déposé par biscuit le 24/01/2017Trop beau ton Paradis… ***** Un petit nuage flotte dans le ciel ; En tombent de jolies gouttelettes dorées. Et hop, j’en ai plein les yeux… Oh mais c’est magique ! C’est toi que je vois mon Trésor ! Tu cours là-haut dans les herbes folles, Entouré d’autres « jolis cœurs » à 4 pattes, Et dans les airs, ça virevolte d’oiseaux de toutes les couleurs. C’est plein de lacs, de rivières avec une eau si belle, si limpide… C’est plein de forêts, de champs et de fleurs… L’air y est si doux, si pur, si sain… Qu’il est beau ton Paradis, trop beau ! Où trouver l’échelle pour monter là-haut ? Dis-moi mon Ange…où ? , |
Déposé par biscuit le 30/12/2016Cette année s’achève Emportant avec elle nos rêves. Tous nos beaux souhaits Ne se sont pas réalisés. Beaucoup de nos serments Ont été balayés par le vent. Mais il reste dans notre cœur, De doux instants de bonheur. Voici qu’arrive le nouvel an. Certains veulent un enfant, D’autres jurent d’arrêter de fumer. Tous nos rêves vont se réaliser. Le bonheur c’est certain, Ne sera plus pour demain. Quant à moi je vous souhaite ; De passer de très belles fêtes De fin d’année En compagnies de ce que vous aimés. Et que l’année entière Vous soit douce et légère, Vous apporte le bonheur, Vous préserve du malheur |
Déposé par biscuit le 24/12/2016La neige tombait sur la ville sans faire de bruit. Le petit chat marchait dans la neige sans faire de bruit. Les flocons saupoudraient de blanc ses poils roux. La rue était déserte. C'était la nuit de Noël. Bientôt les douze coups de minuit allaient sonner pour la plus belle nuit de l'année. Mais le petit chat ne le savait pas. Il n'avait que trois mois et avait encore beaucoup de choses à apprendre. Surtout cette nuit où il faisait si froid… et qu'il ne savait pas où se nicher pour dormir. Il était seul pour se débrouiller, si seul et si ignorant des astuces. Ce n'est pas comme ce gros matou gris de tout à l'heure qui l'avait chassé du coin chaud où il s'était blotti. Il en savait des choses, lui, mais alors quel sale égoïste ! Croyez-vous qu'il aurait partagé ce qu'il était en train de manger ? " Va pleurnicher ailleurs" lui avait-il dit. Aussi, le petit chat marchait seul dans la rue. Il avait faim, il avait froid. Et il regardait les fenêtres éclairées derrière lesquelles il devait faire bon vivre. Entendit-il sonner les douze coups de minuit ? Ca n'est pas sûr, mais par contre, il entendit parfaitement quelque chose passer au-dessus de lui, comme le vol d'un gros oiseau. Il s'aplatit au sol de frayeur ; quand il osa relever le museau, un drôle d'engin venait de se poser sur la maison d'en face. Il n'avait jamais rien vu de pareil ! Et maintenant voilà qu'un gros bonhomme tout en rouge en sortait avec un sac sur le dos. Et devant le drôle d'engin, deux grands rennes se mettaient à parler au bonhomme tout en rouge : - Fais attention Père Noël, disait l'un, la cheminée n'a pas l'air bien solide ! - Te mélanges pas dans ta liste, disait l'autre, ici c'est des rollers et une panoplie de "Mulan". - Mais oui, mais oui… Vous n'allez pas commencer à me surveiller quand même ! Vous savez bien que je ne me trompe jamais. D'en bas, le petit chat ne pouvait pas voir si ce bonhomme avait une barbe blanche. Il lui trouva quand même une ressemblance avec le bonhomme en manteau rouge des images qu'il voyait partout dans la ville depuis quelques jours. Mais que faisait-il donc là-haut ? Pour en avoir le cœur net, il décida d'aller voir ça de plus près. … Oui, mais comment faire pour monter ? En passant par les escaliers ? C'est que le petit chat gardait le souvenir cuisant des méchants coups de pied qu'on lui donnait quand il voulait rentrer dans une maison. Il fit donc le tour de l'immeuble, et finit par trouver un endroit pour grimper jusqu'au au premier étage. Ce ne fut pas très difficile. Restaient deux autres étages… et avec des pattes gelées, c'était pas évident ! Il lui fallut sept essais avant d'arriver en haut. Sept essais dont quatre moments d'équilibres acrobatiques, trois griffes arrachées, et un rétablissement miraculeux. Mais ça y était, il était sur le toit, il allait savoir. L'engin était toujours là. Les rennes bavardaient entre eux de choses que le petit chat tout essoufflé ne comprenait pas… Il était question d'une liste avec des noms de garçons et de filles, d'horaire à suivre, d'adresses, etc. Le petit chat se dirigea sans bruit vers l'engin. C'était plein de sacs dedans. Et plein de paquets aussi. Des gros, des très gros même, des plus petits, des minuscules. Tous avaient des couleurs joyeuses et scintillantes qui lui donnèrent envie de jouer avec. Il sauta hardiment dessus. Malheur ! Une petite musique se déclencha sous ses pattes. Le cœur battant, il s'enfuit au fond du traîneau où il trouva un sac à demi-ouvert pour se cacher. C'était tout sombre dedans, mais il y faisait chaud et doux. Le petit chat sentit des poils contre lui. Il renifla pour comprendre si c'était un autre chat ou un des ces monstres de chien, mais comme ça ne sentait ni l'un ni l'autre et que ça ne bougeait pas, il se blottit tout contre, rassuré. Puis il attendit. Dehors un renne parla : - Ca doit être un appareil de musique qui s'est encore déclenché tout seul ! Puis la voix du vieux bonhomme à l'habit rouge retentit, sonore et joyeuse : - Allons-y mes amis, au suivant de la liste ! Le petit chat sentit tout bouger autour de lui. Il eut la sensation de s'envoler puis quelques instants après, un coup de frein suivi d'un choc le déséquilibra. Son cœur tapait fort. Dehors, le vieux bonhomme riait : - Ah ! Ah ! Ah ! Cette fois, la cheminée est large, je vais pouvoir descendre à l'aise ! Le petit chat commençait à sortir le museau dehors quand tout bascula brusquement. Secoué de droite et de gauche, il roula dans le sac, parmi les paquets qui l'écrasaient. Une grande descente dans le vide lui remonta l'estomac dans le gosier… il miaula fort. Une main l'attrapa par la peau du cou. Un grand rire résonna à ses oreilles. - Mais qu'est-ce que je vois là ! Mais croyez-vous, ça !... Un passager clandestin! Le bonhomme en habit rouge le tenait en l'air, en riant très fort. Ses yeux riaient autant que sa bouche. - Tu as donc voulu savoir comment je m'y prend pour faire ma tournée ? Mais le petit chat était effrayé. Et il avait si faim et si froid qu'il miaulait à s'en étrangler et qu'il tremblait à en claquer des dents. - Dis-moi, dis-moi, tu n'as pas l'air si courageux que ça pour un petit curieux ! Il suffit qu'on te découvre pour que tu appelles maman au secours ? Allons, voyons je suis le Père Noël, tu n'as rien à craindre de moi. Bien sûr, je devrais te punir de m'avoir suivi, alors que personne ne doit accompagner le Père Noël pendant sa tournée, mais comme tu viens de me donner une très bonne idée, je ne dirai rien et je vais même te garder un petit moment avec moi. Et le Père Noël le mit dans la grande poche de son manteau. C'était doux à l'intérieur, et c'était chaud. Le petit chat s'y trouva bien de suite. Il ne savait pas encore qu'il allait vivre ce qui sera la nuit la plus extraordinaire de son existence. Ah, si seulement il n'avait pas cette faim atroce au ventre ! Il se redressa pour sortir le nez et pousser un petit miaulement de détresse… Peut-être que ce gentil bonhomme comprendra son problème… - Veux-tu bien te taire, tu risques de réveiller les enfants ! Si tu veux m'accompagner, il faut rester silencieux. Aussi silencieux que la neige qui tombe. Le bonhomme était en train de déposer des paquets auprès de deux paires de chaussons, tout petits, si petits qu'ils disparaissaient sous les paquets. - Tu vois, ici c'est pour Mélanie ; elle a commandé un poney en peluche et une piscine magique. Là c'est pour Eric, il a demandé un "établi de moulage" et une "batmobile". Et regarde comme ils sont gentils tous les deux, ils ont laissé une tasse de lait et des biscuits pour moi. Ils savent que je suis un peu gourmand, tu comprends, et puis ça me redonne des forces… Hé ! Mais qu'est-ce que tu fais ? Le petit chat s'était jeté sur le lait et qu'il le lapait en s'étranglant tellement il allait vite. De retour au traîneau, le Père Noël s'approcha des rennes avec un air mystérieux. - Regardez qui va passer la nuit avec nous ! Il sortit de sa poche une petit boule de poils ébouriffés et aux babines barbouillées de lait. - Il avait si faim, le pauvre chaton, que j'ai partagé mon goûter avec lui… enfin, disons qu'il m'en a laissé quelques gouttes ! Allez les rennes, aux suivants. Le petit chat garda les yeux écarquillés toute la nuit. Jamais il n'avait vu autant de belles choses, jamais il n'avait vu autant de couleurs scintillantes, jamais il n'avait vu autant de jouets, et jamais il n'avait crû que quelqu'un pouvait avoir autant de joie à déposer dans les maisons toutes ces merveilles. A la fin de sa tournée, le Père Noël rentra dans une demeure où brillait une lampe de chevet dans une chambre. Des pantoufles de grand-mère attendaient près du lit. - Tu vois, ici habite une gentille mamy qui m'a écrit pour me demander un cadeau. Elle voudrait quelque chose qui puisse la distraire pendant ses longs jours solitaires, et qui en même temps attirerait ses petits enfants pour qu'elle les voit plus souvent. Alors j'ai pensé à toi. Tu seras heureux ici, regarde comme tout est accueillant. Tu seras bien au chaud et je suis sûr que tu te régaleras… les grand-mères savent si bien faire la cuisine ! Mais chut… ne dis à personne que tu m'a accompagné cette nuit. Il déposa doucement le petit chat dans une pantoufle, lui fit un gros bisou, et attendit qu'il s'endormit, le museau niché dans les pattes, le cœur à jamais étoilé de cette merveilleuse nuit de Noël. Bon Noël à vous |
Déposé par biscuit le 17/12/2016Cher Papa Noël, Nous sommes déjà le 18 décembre, alors il est grand temps que je t'écrive mes souhaits de Noël. Je voudrais que tu redonnes la chaleur d'un foyer aux chats et aux chiens qui ont été abandonnés, afin qu'ils puissent manger à leur faim, se reposer sur les genoux d'un bon maître ou jouer à ses pieds... Je voudrais que tu dises aux Hommes de leur apporter le meilleur, qu'ils ne restent pas indifférents à la misère et à la détresse animale, qu'ils comprennent enfin que les animaux ne sont ni des objets, ni des jouets que l'on jette... Alors si un petit enfant te demande un chaton ou un chiot sous le sapin, de grâce, apporte-lui comme cadeau, une poupée ou un ours en peluche. J'espère, Père Noël, que tu entendras ma prière, dans ton beau pays de Laponie. Prends-bien soin de tes rennes et Joyeux Noël à toi aussi ! |
Déposé par GHETGHET le 25/11/2016Oh ! Non, ne crois pas que ma flamme Se soit éteinte avec le temps , Sur mes sens tu régnas longtemps, Tu vis aujourd'hui dans mon âme ! L'attrait qui séduisit mes yeux, Ma raison aussi le partage , Je semblais t'aimer davantage, Mais à présent je t'aime mieux. Peut-être autrefois ma tendresse N'avait d'ardeur que le désir , Elle a pu survivre au plaisir Sans rien perdre de son ivresse , C'est un culte saint et pieux Qui succède aux feux du jeune âge , Je semblais t'aimer davantage, Mais à présent je t'aime mieux Antoine FONTANEY Soit en PAIX et AMOURS a l'infini |
Déposé par GHETGHET le 24/11/2016Te le rappelles-tu ce jardin solitaire, Où tu reçus l'aveu de mon timide amour ? Tout nous favorisait, et l'heure et le mystère, Et de l'astre des nuits le tremblant demi-jour. Un incarnat léger colorait ton visage , Je lus mon avenir, mon bonheur, dans tes yeux , Et nos cœurs, s'unissant par ce muet langage, Jurèrent de s'aimer à la face des cieux. Mais lorsque, dans l'ardeur de ma brûlante ivresse, Pour peindre mes transports cherchant le plus doux nom, Je te nommais ma vie , alors avec tendresse M'interrompant : Ta vie ! Ô mon amour, non, non, T'écrias-tu soudain. Appelle-moi ton âme , J'ai besoin du garant de son éternité : Ta vie, hélas, la mort en éteindra la flamme ! Mais ton âme est promise à l'immortalité. Antoine FONTANEY Soit en PAIX et AMOURS a l'infini |
Déposé par BlackKitten92 le 23/11/2016Repose en paix, adorable et magnifique Papou |
Déposé par biscuit le 15/11/2016....LA HAUT......................... Depuis que t'es monté là-haut !! Les anges n'ont jamais été plus beaux......... Depuis que t'es monté là-haut !! Ici moi je me sens toujours de trop....... Depuis que t'es monté là-haut !! Les anges n'ont jamais été plus beaux......... Depuis que t'es monté là-haut !! Ici moi je me sens toujours de trop........ Depuis que t'es monté là-haut !! Ici moi je me sens toujours de seule.. |
Déposé par GHETGHET le 06/11/2016Ce que je sais Ce que je sais c’est que la mort ne détruit pas l’amour que l’on portait à ceux qui ne sont plus … Je le sais parce que, tous les jours, je vis avec les miens… Ce que je sais aussi, c’est que la vie doit avoir un sens Ce que je sais encore, c’est que l’amour, le bien, la fidélité et l’espoir triomphent finalement toujours du mal, de la mort, et de la barbarie. Tout cela, je le sais, je le crois … Martin Gray |
Déposé par GHETGHET le 31/10/2016Je pense à toi, lorsque les lueurs du soleil Brillent dans la mer. Je pense à toi, lorsque le scintillement de la lune Se mire dans les sources. Je te vois, lorsqu’au loin sur le chemin La poussière se soulève, Dans la nuit profonde, lorsque sur l’étroit sente Le voyageur tressaille. Je t’entends, lorsque des murmures étouffés La vague monte là-bas. Dans le paisible bosquet je vais souvent pour écouter Quand tout se tait. Je suis auprès de toi, aussi loin sois-tu, Tu es près de moi. Le soleil baisse, bientôt brilleront les étoiles. Ah ! Si tu étais là ! Goethe |
Déposé par biscuit le 31/10/2016Le décès d'un ami est toujours très difficile et ce même si cet ami à quatre pattes, des poils, une longue queue et qu'il ne parle pas. Qui aurait pensé qu'une petite boule de poils pouvaient donner autant de bonheur |
Déposé par GHETGHET le 25/10/2016le cimetière virtuel pour chats qui es un belle HOAMMAGES pour vous les chats pleins d'AMOURS avec le cimetière virtuel ces des HOMMAGES pour vous les chats pleins d'AMOURS de bontés et de lumières avec le cimetière virtuel ces partager en écrits vos vie et rituels vécus avec vous les chats en votre présence avec le cimetière virtuel ces vous envoyer en écrits des belles pensés et des messages de PAIX et d'AMOURS entre terres et ciels avec le cimetière virtuel ces des hommages en écrits et notre AMOURS pour vous qui se prolonges dan la continuités avec le cimetière virtuel pour vous un jardins virtuel fleuris pour adoucir nos chagrins d'AMOURS de votre absence visibles avec le cimetière virtuel ces d'échanger en écrits histoires et rituels de vies vécus en votre présences d'AMOURS avec le cimetière virtuel ces des belles pensés pour vous les chats,vous êtes des êtres d'âmes d'AMOURS comme nous avec le cimetière virtuel ciels terres vies au arc en ciels des hommages pour vous les chats au âmes d'amours que vos AMES soit en PAIX es AMOURS a l'infini PAPA-GHETGHET Merci a cimetières virtuel de pouvoirs faires des hommages a nos chats d'AMOURS |
Déposé par GHETGHET le 22/10/2016Si vous saviez ce qu'il y a Dans l'œil sans fond d'un petit chat, Qu'il soit jaune, vert ou lilas Vrai, vous n'en reviendrez pas ! On y voit des oiseaux de lune, Des palais de laine et de lait, Le sphinx émergeant de ses lunes, Et des ballets ultraviolets. Sur des bassins d'une eau sans rides, S'épanouit la fleur de lotus Tandis qu'une main translucide Peint des soleils sur papyrus. Tout l'univers est reflété Dans cette goutte de lumière Qui ouvre sur l'éternité Ainsi qu'un hublot sur la mer Marc Alyn |
Déposé par GHETGHET le 19/10/2016Assis sur les genoux du temps, Mon chat,immobile et patients, Fait semblant d’être un sablier, J’entends ses moustaches crisser. Les meules, dans les champs, sont de grandes horloges Qui tictaquent de sauterelles. Les chaumes marquent midi Et boivent à la paille Des giclées de soleils. Les martinets fouettent le ciel, Mais ça ne le fait guère Avancer pour autant ! Les serpents, minutes lentes, Glissent dans les roselières. Tout près de mon étang secrets, Poussent de grandes sarbacanes Qui lancent vers le ciel Des flèches de lumières A contre-courants, Que seul mon chat discrets comprend. (Christian Poslaniec) |
Déposé par vince le 07/10/2016merci pour vince |
Déposé par GHETGHET le 01/10/2016La vie du chat contient une époque, concentre une parcelle de notre vie, elle est une sorte de mesure du temps et une mémoire, elle contient une expérience commune, un morceau de notre histoire, une parcelle de notre temps perdu. Quand le chat mourra, ce sera comme la fin d'un temps, la fin d'une période. L'extinction d'une partie de nous-mêmes avec l'extinction du chat. Karine Miermont |
Déposé par mistigri13 le 28/09/2016Quand on veut jouer tous ensemble on va sur un grand nuage et quand je veux prendre un peu de temps pour penser à toi, pour veiller sur toi, je reste sur mon petit nuage et je te regarde avec plein d'amour dans le regard... Ce que je préfère, c'est te voir sourire...Je ne t'oublierai jamais !!!Je t'aime!!! |
Déposé par KEKER le 25/09/2016Pour ton départ, Je n'ai pas le coeur à écrire Et pourtant je voudrais te dire Que lorsque tu t'endormiras Je te serrerai dans mes bras Je soufflerai dans ton oreille Tous les noms que je t'ai donnés Les noms plus ronds que des soleils Les noms qui te font ronronner Je ne lâcherai pas ton corps Quand je le sentirai frémir C'est moi qui serai le plus fort Quand la mort voudra te saisir C'est moi qui fermerai les bras Et c'est moi qui t'emporterai La suite on ne la dira pas Il est trop tôt pour en pleurer |
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