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En hommage à
EUROPEENPamplemousse dit Settine
Il est né le:25/02/2008
Il nous a quittés le:21/11/2016
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Déposé par biscuit le 31/12/2017🌻🌻🌻🌻🌻🌼🌼🌼🌸🌸🌺🌺💙💙💙💙💛💛💛 Je vous présente tous mes meilleurs voeux pour cette nouvelle année 2018. Que la santé ,la joie et la prospérité soient avec vous et que vos souhaits se réalisent. Bien amicalement,Evelyne🌻🌻🌻🌻🌻🌼🌼🌼🌸🌸🌺🌺💙💙💙💙💛💛💛, |
Déposé par biscuit le 28/12/2017Je t'aime encore si fort que ta vie est en moi. Ton horizon est différent mais mon amour est là, vivant, Tes souvenirs me réchauffent de toi Ils sont comme l'ombre, preuve de lumière Si les larmes parfois viennent arroser mon coeur C'est que, jardin fleuri, il embaume encore de ta présence silencieuse. Si parfois ma souffrance veut prendre le dessus, c'est preuve que je t'aime et que rien ne pourra t'arracher de ma vie Père André Marie, |
Déposé par biscuit le 27/12/2017Mon Ange L’, étincelle qui m’éveille chaque matin, car ma première pensée est pour toi Elle apporte la chaleur en mon cœur et souligne mes lèvres d’un sourire. Mon ange Mon Univers La tendre présence qui accompagne mes pensées. Même que tu es loin de mes yeux mon esprit reste emplit de toi. Mon ange Mon Eden Cette douce lumière qui envahit mes nuits veille silencieusement sur mon sommeil et chasse les ombres de mes songes …..je sens que tu es là …..Je t’aime plus que tout J’aimerai trouver d’autres mots J’aimerai de mes doigts avec le fil de mon amour Broder sur ta peau l’image de ma passion toi mon petit chat , |
Déposé par biscuit le 26/12/2017AU PAYS DES ETOILES Dans le vaste infini Où se noient les étoiles Il existe un pays Que l’absence nous voile. C’est un pays magique, Baigné de pur amour, Aux charmes magnifiques Où seul règne le jour. Des cascades d’eau pure Et des prairies fleuries, Et des lacs, j’en suis sûre Où l’on s’ébat, ravi. A ce pays doré Seules accèdent les âmes De nos êtres aimés Par un grand pont diaphane, Sous un bel arc en ciel, Vers une chaude lumière, Dans ce pays de miel Qui survit dans l’Ether. S’y retrouvent ensemble Nos parents, nos amis, Nos amours et me semble Nos animaux chéris. Ils sont devenus anges Entourés d’une aura, C’est de là qu’ils s’arrangent A gommer nos tracas ! Ils nous veillent sans cesse Et calment nos chagrins, Écartent nos détresses, Nous montrant le chemin. Ils soulagent nos peines Et apaisent nos larmes, Toutes nos peurs sont vaines, Leur amour est une arme. Dans le vaste infini Où se noient les étoiles Il existe un pays Que l’absence nous voile. Clau (novembre 2012) |
Déposé par biscuit le 25/12/2017toi mon beau chat qui a honnoré plus que toutes les belles promesses plus que tous les dons et amours imparfaits qui a couvert d'or la part d'indignité des relations humaines, qui a réanimé la part d'amour, que le hommes n'ont pas pu recueillir, n'ont pas su regarder et ont laissé mourrir, sache que mes plus belles pensées t'accompagne dans ta dernière demeure récompense ta fidèlité sans faille ton amour si parfait toi mon fidèle ami que j'aurais voulu éternel puisses tu être une lumière une étoile au firmament sans pareille. , |
Déposé par biscuit le 24/12/2017La neige tombait sur la ville sans faire de bruit. Le petit chat marchait dans la neige sans faire de bruit. Les flocons saupoudraient de blanc ses poils roux. La rue était déserte. C'était la nuit de Noël. Bientôt les douze coups de minuit allaient sonner pour la plus belle nuit de l'année. Mais le petit chat ne le savait pas. Il n'avait que trois mois et avait encore beaucoup de choses à apprendre. Surtout cette nuit où il faisait si froid… et qu'il ne savait pas où se nicher pour dormir. Il était seul pour se débrouiller, si seul et si ignorant des astuces. Ce n'est pas comme ce gros matou gris de tout à l'heure qui l'avait chassé du coin chaud où il s'était blotti. Il en savait des choses, lui, mais alors quel sale égoïste ! Croyez-vous qu'il aurait partagé ce qu'il était en train de manger ? " Va pleurnicher ailleurs" lui avait-il dit. Aussi, le petit chat marchait seul dans la rue. Il avait faim, il avait froid. Et il regardait les fenêtres éclairées derrière lesquelles il devait faire bon vivre. Entendit-il sonner les douze coups de minuit ? Ca n'est pas sûr, mais par contre, il entendit parfaitement quelque chose passer au-dessus de lui, comme le vol d'un gros oiseau. Il s'aplatit au sol de frayeur ; quand il osa relever le museau, un drôle d'engin venait de se poser sur la maison d'en face. Il n'avait jamais rien vu de pareil ! Et maintenant voilà qu'un gros bonhomme tout en rouge en sortait avec un sac sur le dos. Et devant le drôle d'engin, deux grands rennes se mettaient à parler au bonhomme tout en rouge : - Fais attention Père Noël, disait l'un, la cheminée n'a pas l'air bien solide ! - Te mélanges pas dans ta liste, disait l'autre, ici c'est des rollers et une panoplie de "Mulan". - Mais oui, mais oui… Vous n'allez pas commencer à me surveiller quand même ! Vous savez bien que je ne me trompe jamais. D'en bas, le petit chat ne pouvait pas voir si ce bonhomme avait une barbe blanche. Il lui trouva quand même une ressemblance avec le bonhomme en manteau rouge des images qu'il voyait partout dans la ville depuis quelques jours. Mais que faisait-il donc là-haut ? Pour en avoir le cœur net, il décida d'aller voir ça de plus près. … Oui, mais comment faire pour monter ? En passant par les escaliers ? C'est que le petit chat gardait le souvenir cuisant des méchants coups de pied qu'on lui donnait quand il voulait rentrer dans une maison. Il fit donc le tour de l'immeuble, et finit par trouver un endroit pour grimper jusqu'au au premier étage. Ce ne fut pas très difficile. Restaient deux autres étages… et avec des pattes gelées, c'était pas évident ! Il lui fallut sept essais avant d'arriver en haut. Sept essais dont quatre moments d'équilibres acrobatiques, trois griffes arrachées, et un rétablissement miraculeux. Mais ça y était, il était sur le toit, il allait savoir. L'engin était toujours là. Les rennes bavardaient entre eux de choses que le petit chat tout essoufflé ne comprenait pas… Il était question d'une liste avec des noms de garçons et de filles, d'horaire à suivre, d'adresses, etc. Le petit chat se dirigea sans bruit vers l'engin. C'était plein de sacs dedans. Et plein de paquets aussi. Des gros, des très gros même, des plus petits, des minuscules. Tous avaient des couleurs joyeuses et scintillantes qui lui donnèrent envie de jouer avec. Il sauta hardiment dessus. Malheur ! Une petite musique se déclencha sous ses pattes. Le cœur battant, il s'enfuit au fond du traîneau où il trouva un sac à demi-ouvert pour se cacher. C'était tout sombre dedans, mais il y faisait chaud et doux. Le petit chat sentit des poils contre lui. Il renifla pour comprendre si c'était un autre chat ou un des ces monstres de chien, mais comme ça ne sentait ni l'un ni l'autre et que ça ne bougeait pas, il se blottit tout contre, rassuré. Puis il attendit. Dehors un renne parla : - Ca doit être un appareil de musique qui s'est encore déclenché tout seul ! Puis la voix du vieux bonhomme à l'habit rouge retentit, sonore et joyeuse : - Allons-y mes amis, au suivant de la liste ! Le petit chat sentit tout bouger autour de lui. Il eut la sensation de s'envoler puis quelques instants après, un coup de frein suivi d'un choc le déséquilibra. Son cœur tapait fort. Dehors, le vieux bonhomme riait : - Ah ! Ah ! Ah ! Cette fois, la cheminée est large, je vais pouvoir descendre à l'aise ! Le petit chat commençait à sortir le museau dehors quand tout bascula brusquement. Secoué de droite et de gauche, il roula dans le sac, parmi les paquets qui l'écrasaient. Une grande descente dans le vide lui remonta l'estomac dans le gosier… il miaula fort. Une main l'attrapa par la peau du cou. Un grand rire résonna à ses oreilles. - Mais qu'est-ce que je vois là ! Mais croyez-vous, ça !... Un passager clandestin! Le bonhomme en habit rouge le tenait en l'air, en riant très fort. Ses yeux riaient autant que sa bouche. - Tu as donc voulu savoir comment je m'y prend pour faire ma tournée ? Mais le petit chat était effrayé. Et il avait si faim et si froid qu'il miaulait à s'en étrangler et qu'il tremblait à en claquer des dents. - Dis-moi, dis-moi, tu n'as pas l'air si courageux que ça pour un petit curieux ! Il suffit qu'on te découvre pour que tu appelles maman au secours ? Allons, voyons je suis le Père Noël, tu n'as rien à craindre de moi. Bien sûr, je devrais te punir de m'avoir suivi, alors que personne ne doit accompagner le Père Noël pendant sa tournée, mais comme tu viens de me donner une très bonne idée, je ne dirai rien et je vais même te garder un petit moment avec moi. Et le Père Noël le mit dans la grande poche de son manteau. C'était doux à l'intérieur, et c'était chaud. Le petit chat s'y trouva bien de suite. Il ne savait pas encore qu'il allait vivre ce qui sera la nuit la plus extraordinaire de son existence. Ah, si seulement il n'avait pas cette faim atroce au ventre ! Il se redressa pour sortir le nez et pousser un petit miaulement de détresse… Peut-être que ce gentil bonhomme comprendra son problème… - Veux-tu bien te taire, tu risques de réveiller les enfants ! Si tu veux m'accompagner, il faut rester silencieux. Aussi silencieux que la neige qui tombe. Le bonhomme était en train de déposer des paquets auprès de deux paires de chaussons, tout petits, si petits qu'ils disparaissaient sous les paquets. - Tu vois, ici c'est pour Mélanie ; elle a commandé un poney en peluche et une piscine magique. Là c'est pour Eric, il a demandé un "établi de moulage" et une "batmobile". Et regarde comme ils sont gentils tous les deux, ils ont laissé une tasse de lait et des biscuits pour moi. Ils savent que je suis un peu gourmand, tu comprends, et puis ça me redonne des forces… Hé ! Mais qu'est-ce que tu fais ? Le petit chat s'était jeté sur le lait et qu'il le lapait en s'étranglant tellement il allait vite. De retour au traîneau, le Père Noël s'approcha des rennes avec un air mystérieux. - Regardez qui va passer la nuit avec nous ! Il sortit de sa poche une petit boule de poils ébouriffés et aux babines barbouillées de lait. - Il avait si faim, le pauvre chaton, que j'ai partagé mon goûter avec lui… enfin, disons qu'il m'en a laissé quelques gouttes ! Allez les rennes, aux suivants. Le petit chat garda les yeux écarquillés toute la nuit. Jamais il n'avait vu autant de belles choses, jamais il n'avait vu autant de couleurs scintillantes, jamais il n'avait vu autant de jouets, et jamais il n'avait crû que quelqu'un pouvait avoir autant de joie à déposer dans les maisons toutes ces merveilles. A la fin de sa tournée, le Père Noël rentra dans une demeure où brillait une lampe de chevet dans une chambre. Des pantoufles de grand-mère attendaient près du lit. - Tu vois, ici habite une gentille mamy qui m'a écrit pour me demander un cadeau. Elle voudrait quelque chose qui puisse la distraire pendant ses longs jours solitaires, et qui en même temps attirerait ses petits enfants pour qu'elle les voit plus souvent. Alors j'ai pensé à toi. Tu seras heureux ici, regarde comme tout est accueillant. Tu seras bien au chaud et je suis sûr que tu te régaleras… les grand-mères savent si bien faire la cuisine ! Mais chut… ne dis à personne que tu m'a accompagné cette nuit. Il déposa doucement le petit chat dans une pantoufle, lui fit un gros bisou, et attendit qu'il s'endormit, le museau niché dans les pattes, le cœur à jamais étoilé de cette merveilleuse nuit de Noël. Bon Noël à vous |
Déposé par felinsheureux le 21/12/2017Vole, vole petite flamme Vole mon ange, mon âme Quitte ta peau de misère Va rejoindre la lumière. |
Déposé par biscuit le 21/12/2017Souhaiter un joyeux Noël C’est donner à la pelle Pas rien qu’à sa famille Mais aux gens sans famille Oublier les discordes Et tendre une jolie corde A ceux qui n’ont plus rien Qu’on traite moins que rien Apporter des mots doux Qui apaisent de tout Et partager surtout Un endroit chaud et doux Souhaiter un beau Noël C’est mettre une chandelle Qui fait qu’on se rappelle Que la vie doit être belle Pour tous les êtres humains Qui sont dans le chagrin. |
Déposé par biscuit le 19/12/2017CITATION DE BENJAMIN CONSTANT La douleur réveille en nous, tantôt ce qu'il y a de plus noble dans notre nature : le courage. Tantôt ce qu'il y a de plus tendre : la sympathie et la pitié. Elle nous apprend à lutter pour nous et pour les autres. |
Déposé par biscuit le 10/12/2017Les morts ne sont pas sous la terre Ils sont dans le feu éteint, Ils sont dans les herbes qui pleurent, Ils sont dans le rocher qui geint , Ils sont dans la forêt, Ils sont dans la demeure, Les morts ne sont pas morts. Aimé Césaire, |
Déposé par biscuit le 08/12/2017"Il ne faut pas dire adieu à ceux qui quittent la Terre Pour un voyage merveilleux vers les sphères de Lumière. Il ne faut pas dire adieu à ceux et celles que l'on aime, A l'instant où ils ferment les yeux et qu'un bel Ange les emmène. Il ne faut pas dire adieu à ceux qui, dans la souffrance, S'en vont, au Royaume des Cieux,chercher la délivrance. Il ne faut pas dire adieu à ceux que le Ciel éclaire, Lorsque, sereins et heureux,ils quittent cette vie éphémère. A celles et ceux qui vont là-bas,derrière le voile de l'Au-delà, ce qu'il faut dire, avec espoir,c'est un tout simple : au revoir Texte de Tommy Lobatcheff "Ce n'est qu'un au revoir". |
Déposé par biscuit le 03/12/2017AVOIR UN CHAT C'EST : Sortir en pyjama au beau milieu de la nuit. Passer sans cesse le rouleau à poils sur tous ses vêtements. Avoir un concert privé chaque soir en rentrant chez soi. Avoir un concert privé chaque matin aussi ;). Dépenser des sommes phénoménales chez le véto. Avoir une ombre qui te suit partout et ce même jusqu'au wc Ne plus s'entendre avec tes voisins. Lui trouver des excuses quand il a fait une bêtise. Etre ridicule avec une voix de débile quand tu lui parles. Etre surveillé quand tu manges. Apprendre le sens du partage et finir par lui donner ton assiette. Apprendre à s'organiser et ne plus jamais laisser de nourriture sur la table. Ne plus avoir aucune autorité quand il te fait ses petits yeux de malheureux. Lui interdire le canapé et finir par céder quand tu te sens seul. Organiser tes week end en fonction de lui. Avoir des centaines de photos de lui floues dans ton téléphone. L'avoir aussi sur ton fond d'écran. Lui apprendre des tours idiots et être tellement fier de lui. Avoir envie d'en avoir un deuxième. Avoir un ami qui te fait des calins quand tu es triste. Te sentir incomplet quand il n'est pas avec toi. Des rires à n'en plus finir quand il fait n'importe quoi. De l'amour inconditionnel tous les jours. Appréhender le temps qui passe parce qu'il vieillit plus vite que toi. Etre prêt à tout pour lui. Un immense bonheur que les gens qui n'en ont pas ne peuvent pas comprendre. Avoir la chance d'avoir une petite boule de poil qui t'aime plus que tout au monde et qui te sera fidèle à jamais. Avoir un chat c'est partager tellement d'amour qu'il est devenu impossible de vivre sans. , , |
Déposé par biscuit le 02/12/2017Quand tes yeux peu à peu changeront de couleur Emporte avec toi ton jardin retrouvé Et mes caresses folles Et mon amour qui ne t'a pas sauvé., |
Déposé par biscuit le 01/12/2017J'ai vu un mendiant qui n'avait plus de route ... En le croisant je m'y retrouve un peu ... Et puisque ton absence me laisse que des doutes... Est ce que demain ça ira mieux ... Je pense toujours à toi ., |
Déposé par biscuit le 30/11/2017***Poème d' hommage à nos chers disparus*** Petit être de douceur, qui m' a donné tant de bonheur, toi, qui réchauffais mon coeur, dans mes moments de pleurs. Petit être de douceur, tu as enrichis ma vie, de souvenirs tellement jolis, inscris dans le livre de ma vie. Petite être de douceur, nous avons traversé des nuits d' orages, nos coeur's emplis de rage. Petit être de douceur, toi, l' ami fidèle pour toujours, celui qui ne trahi jamais, quelque soit le parcours. Après un dernier regard, qui m' enlevait mon dernier espoir, Je t 'ai donné un dernier baiser, comme pour te dire, je dois te laisser. Tu es parti doucement, et j' ai revu tous nos moments, te voilà envolé, vers cette fameuse éternité. Va mon coeur, mon bonheur, tu as gagné ta place au paradis, et si jamais tu croise un ange, laisses' toi donc emporté, dans les profondeurs du firmament, Petit être de douceur, n 'oublies jamais ta maman, un jour tu verras, je reviendrai auprès de toi. Au revoir, mon coeur, au revoir, mon grand bonheur, au revoir petit ange, petit-être de douceur. |
Déposé par biscuit le 29/11/2017On ne vit pas sans se dire adieu On ne vit pas sans souffrir un peu Sans abandonner pour aller plus loin Sur son chemin quelque chose ou quelqu'un |
Déposé par biscuit le 28/11/2017Se battre, avancer sans se retourner Peu importe les malheurs de notre vie La vie est trop courte pour être gâchée Il faut continuer à se battre peu importe ce qui est dit Il ne faut jamais baisser les bras Ce serait gâcher ce qu'on a fait jusque là On a pas le droit de tout laisser tomber Juste parce qu'on en a assez On a le droit parfois de craquer Mais il faut réussir à se relever Faire face aux difficultés Ce n'est pas les contourner Mais les surmonter Et sans jamais se retourner La vie est un véritable combat Où il ne faut jamais baisser les bras La peine est une douleur qu'on ne peut effacer Il faut juste attendre et se dire que ça va passer On se dit souvent qu'on y arrivera pas Mais un ange nous y aidera Je sais que le mien veille sur moi Mais même si je ne le vois pas Je sais qu'il est et sera toujours là Et j'attends avec impatience le jour où on se reverra A toi mon ange... Poème de ElisefanGrég |
Déposé par NOIXDECOCO le 21/11/2017Doux repos là-haut Settine. Tu es parti le même jour que Bianca. On ne vous oublie pas...Gros bisou |
Déposé par biscuit le 21/11/2017Trop beau ton Paradis… ***** Un petit nuage flotte dans le ciel ; En tombent de jolies gouttelettes dorées. Et hop, j’en ai plein les yeux… Oh mais c’est magique ! C’est toi que je vois mon Trésor ! Tu cours là-haut dans les herbes folles, Entouré d’autres « jolis cœurs » à 4 pattes, Et dans les airs, ça virevolte d’oiseaux de toutes les couleurs. C’est plein de lacs, de rivières avec une eau si belle, si limpide… C’est plein de forêts, de champs et de fleurs… L’air y est si doux, si pur, si sain… Qu’il est beau ton Paradis, trop beau ! Où trouver l’échelle pour monter là-haut ? Dis-moi mon Ange…où ? , |
Déposé par KEKER le 21/11/2017LES DATES ANNIVERSAIRES *********************** J'ai un profond respect des dates anniversaires Ces portes que le Temps dispose autour de nous Pour ouvrir un instant nos coeurs à ses mystères Et permettre au passé de voyager vers nous. *** Je suis toujours surpris par les coïncidences Qui nous font un clin d'oeil du fond de leur mémoire En posant des bonheurs sur les journées d'absence Et nous laissent à penser que rien n'est un hasard *** Peut-être est-ce un moyen lorsqu'ils se manifestent Pour ceux qui sont partis dans un autre univers De nous tendre la main par l'amour qui nous reste Pour nous aider parfois à franchir des frontières *** Est-ce nous qui pouvons au travers de l'espace Influencer ainsi la course des années Ou serait-ce un lambeau de leur chagrin qui passe En déposant des fleurs sur le calendrier *** Il existe en tous cas dans les anniversaires Une part de magie qui fait surgir d'ailleurs Les visages ou les mots de ceux qui nous sont chers Des êtres qui nous manquent et dorment dans nos cœurs *** Ils sont là quelque part pour un instant fugace Et dans les joies souvent qu'ils partagent avec nous Se rendorment certains que rien n'a pris leur place Et que leur souvenir nous est resté très doux *** Sans amour notre vie n'est plus qu'un long voyage Un train qui nous emporte à travers les années Mais celui qui regarde un peu le paysage Ouvre déjà son coeur pour une éternité *** Au delà des paroles et de la bienveillance Il existe des voies difficiles à cerner Faites de souvenirs, d'amour et de silence Et que bien des savants vous diront ignorer *** Elles sont un privilège au coeur de la souffrance Un baume pour les jours qu'on ne peut oublier Qui pourraient avoir l'air d'être sans importance Mais qui soignent des plaies difficiles à fermer *** J'ai un profond respect des dates anniversaires Ces portes que le Temps dispose autour de nous Pour ouvrir quelquefois nos coeurs à ses mystères Et permettre au passé de voyager vers nous *** Pour ouvrir quelquefois nos coeurs à ses mystères Et permettre au présent de nous sembler plus doux. *** (Yves Duteil) pour toi, Settine, avec amour... |