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En hommage à
EUROPEENBIBOU
Il est né le:--/07/2014
Il nous a quittés le:27/03/2015
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Déposé par elise2512 le 27/03/2017 Lorsque deux nobles cœurs se sont vraiment aimés Leur amour est plus fort que la mort elle-même Cueillons les souvenirs que nous avons semés Et l'absence après tout n'est rien lorsque l'on s'aime... (Guillaume Apollinaire) |
Déposé par biscuit le 27/03/2017je souffre sans toi. Je souffre énormément de ton absence, J'ai besoin chaque jour de ta présence, Car sans toi ma vie n'a plus le même sens! Puisque sans toi j'ai le coeur en cendre! Je passerai ma vie à t'attendre! Je souffre tellement de ton absence, Je veux que pour toujours tu revienne, Ma triste vie n'est rien sans la tienne, Je pleure mais il faut que je tienne, Je dois m'accrocher et rester forte, Ne pas m'acharner sur mon sort, Je t'aime pour toujours. |
Déposé par biscuit le 01/03/2017OU ES-TU ? « Où es-tu, petit ange, où es-tu? On aurait bien voulu, À force d’amour, t’empêcher de partir, mais le monde est trop lourd, petit ange léger, Et n’a pas su te retenir. Où faut-il te chercher, maintenant ? Sous les gouttes de rosée? Sur les ailes du vent? Qui saura nous le dire? » Maman, » Là où je suis, je ne crains rien. J’ai les yeux pleins d’étoiles blondes, J’ai l’âme vaste comme le monde. Là où je suis, la joie est sans mélange. Ne me cherchez pas, je suis dans chaque chose… sur les ailes d’un ange, dans la rosée, dans le vent, dans le cœur d’une rose, Dans le cœur de mes parents. Ne me cherchez pas, je suis partout, Je suis avec vous, je suis chez moi. » Albert Gui, , |
Déposé par KEKER le 18/01/2017Poème pour quelqu’un au paradis Je ne cesse de penser a toi Tu étais le minou le plus formidable sur cette terre Depuis ton départ un grand vide s’est fait au fond de moi Mon coeur saigne beaucoup car cette place ne sera plus jamais comblée par tout l’amour que tu me donnais. Pour mon chat qui me manque Si les roses rouges poussent au Paradis je voudrais petits Anges que vous en fassiez un joli bouquet et que de ma part vous lui offriez en lui disant que je l’aime beaucoup. et qu’il me manque terriblement à chaque instant toujours je pense à lui. Si le temps a passé Je n’ai rien oublié. J’ai pu te retrouver Au détour d’un sentier Et dans cette forêt Où nous aimions marcher Avant ta maladie Avant ta fin de vie. tu es ma plus belle pensée tu es mon énergie et ma force à chaque pas tu seras en moi dans mon coeur en chaque jour de soleil je te reconnaîtrai j’étais ton petit ange et tu es devenu le mien au paradis tu m’attendras Puisque la vie nous à séparés Et avant de là-haut nous retrouver Nous devons apprendre à vivre sans toi Ce n’ est pas évident crois-moi On n'a rien d’autre à quoi se raccrocher Ton sourire est éteint à tout jamais Nous avons appris à faire de tes souvenirs une force qui nous permet de tenir Tu nous as quittés brutalement pour rejoindre la lumière des étoiles... |
Déposé par KEKER le 08/01/2017"Il ne faut pas dire adieu à ceux qui quittent la Terre Pour un voyage merveilleux vers les sphères de Lumière. Il ne faut pas dire adieu à ceux et celles que l'on aime, A l'instant où ils ferment les yeux et qu'un bel Ange les emmène. Il ne faut pas dire adieu à ceux qui, dans la souffrance, S'en vont, au Royaume des Cieux,chercher la délivrance. Il ne faut pas dire adieu à ceux que le Ciel éclaire, Lorsque, sereins et heureux,ils quittent cette vie éphémère. A celles et ceux qui vont là-bas,derrière le voile de l'Au-delà, ce qu'il faut dire, avec espoir,c'est un tout simple : au revoir Texte de Tommy Lobatcheff "Ce n'est qu'un au revoir". |
Déposé par biscuit le 24/12/2016La neige tombait sur la ville sans faire de bruit. Le petit chat marchait dans la neige sans faire de bruit. Les flocons saupoudraient de blanc ses poils roux. La rue était déserte. C'était la nuit de Noël. Bientôt les douze coups de minuit allaient sonner pour la plus belle nuit de l'année. Mais le petit chat ne le savait pas. Il n'avait que trois mois et avait encore beaucoup de choses à apprendre. Surtout cette nuit où il faisait si froid… et qu'il ne savait pas où se nicher pour dormir. Il était seul pour se débrouiller, si seul et si ignorant des astuces. Ce n'est pas comme ce gros matou gris de tout à l'heure qui l'avait chassé du coin chaud où il s'était blotti. Il en savait des choses, lui, mais alors quel sale égoïste ! Croyez-vous qu'il aurait partagé ce qu'il était en train de manger ? " Va pleurnicher ailleurs" lui avait-il dit. Aussi, le petit chat marchait seul dans la rue. Il avait faim, il avait froid. Et il regardait les fenêtres éclairées derrière lesquelles il devait faire bon vivre. Entendit-il sonner les douze coups de minuit ? Ca n'est pas sûr, mais par contre, il entendit parfaitement quelque chose passer au-dessus de lui, comme le vol d'un gros oiseau. Il s'aplatit au sol de frayeur ; quand il osa relever le museau, un drôle d'engin venait de se poser sur la maison d'en face. Il n'avait jamais rien vu de pareil ! Et maintenant voilà qu'un gros bonhomme tout en rouge en sortait avec un sac sur le dos. Et devant le drôle d'engin, deux grands rennes se mettaient à parler au bonhomme tout en rouge : - Fais attention Père Noël, disait l'un, la cheminée n'a pas l'air bien solide ! - Te mélanges pas dans ta liste, disait l'autre, ici c'est des rollers et une panoplie de "Mulan". - Mais oui, mais oui… Vous n'allez pas commencer à me surveiller quand même ! Vous savez bien que je ne me trompe jamais. D'en bas, le petit chat ne pouvait pas voir si ce bonhomme avait une barbe blanche. Il lui trouva quand même une ressemblance avec le bonhomme en manteau rouge des images qu'il voyait partout dans la ville depuis quelques jours. Mais que faisait-il donc là-haut ? Pour en avoir le cœur net, il décida d'aller voir ça de plus près. … Oui, mais comment faire pour monter ? En passant par les escaliers ? C'est que le petit chat gardait le souvenir cuisant des méchants coups de pied qu'on lui donnait quand il voulait rentrer dans une maison. Il fit donc le tour de l'immeuble, et finit par trouver un endroit pour grimper jusqu'au au premier étage. Ce ne fut pas très difficile. Restaient deux autres étages… et avec des pattes gelées, c'était pas évident ! Il lui fallut sept essais avant d'arriver en haut. Sept essais dont quatre moments d'équilibres acrobatiques, trois griffes arrachées, et un rétablissement miraculeux. Mais ça y était, il était sur le toit, il allait savoir. L'engin était toujours là. Les rennes bavardaient entre eux de choses que le petit chat tout essoufflé ne comprenait pas… Il était question d'une liste avec des noms de garçons et de filles, d'horaire à suivre, d'adresses, etc. Le petit chat se dirigea sans bruit vers l'engin. C'était plein de sacs dedans. Et plein de paquets aussi. Des gros, des très gros même, des plus petits, des minuscules. Tous avaient des couleurs joyeuses et scintillantes qui lui donnèrent envie de jouer avec. Il sauta hardiment dessus. Malheur ! Une petite musique se déclencha sous ses pattes. Le cœur battant, il s'enfuit au fond du traîneau où il trouva un sac à demi-ouvert pour se cacher. C'était tout sombre dedans, mais il y faisait chaud et doux. Le petit chat sentit des poils contre lui. Il renifla pour comprendre si c'était un autre chat ou un des ces monstres de chien, mais comme ça ne sentait ni l'un ni l'autre et que ça ne bougeait pas, il se blottit tout contre, rassuré. Puis il attendit. Dehors un renne parla : - Ca doit être un appareil de musique qui s'est encore déclenché tout seul ! Puis la voix du vieux bonhomme à l'habit rouge retentit, sonore et joyeuse : - Allons-y mes amis, au suivant de la liste ! Le petit chat sentit tout bouger autour de lui. Il eut la sensation de s'envoler puis quelques instants après, un coup de frein suivi d'un choc le déséquilibra. Son cœur tapait fort. Dehors, le vieux bonhomme riait : - Ah ! Ah ! Ah ! Cette fois, la cheminée est large, je vais pouvoir descendre à l'aise ! Le petit chat commençait à sortir le museau dehors quand tout bascula brusquement. Secoué de droite et de gauche, il roula dans le sac, parmi les paquets qui l'écrasaient. Une grande descente dans le vide lui remonta l'estomac dans le gosier… il miaula fort. Une main l'attrapa par la peau du cou. Un grand rire résonna à ses oreilles. - Mais qu'est-ce que je vois là ! Mais croyez-vous, ça !... Un passager clandestin! Le bonhomme en habit rouge le tenait en l'air, en riant très fort. Ses yeux riaient autant que sa bouche. - Tu as donc voulu savoir comment je m'y prend pour faire ma tournée ? Mais le petit chat était effrayé. Et il avait si faim et si froid qu'il miaulait à s'en étrangler et qu'il tremblait à en claquer des dents. - Dis-moi, dis-moi, tu n'as pas l'air si courageux que ça pour un petit curieux ! Il suffit qu'on te découvre pour que tu appelles maman au secours ? Allons, voyons je suis le Père Noël, tu n'as rien à craindre de moi. Bien sûr, je devrais te punir de m'avoir suivi, alors que personne ne doit accompagner le Père Noël pendant sa tournée, mais comme tu viens de me donner une très bonne idée, je ne dirai rien et je vais même te garder un petit moment avec moi. Et le Père Noël le mit dans la grande poche de son manteau. C'était doux à l'intérieur, et c'était chaud. Le petit chat s'y trouva bien de suite. Il ne savait pas encore qu'il allait vivre ce qui sera la nuit la plus extraordinaire de son existence. Ah, si seulement il n'avait pas cette faim atroce au ventre ! Il se redressa pour sortir le nez et pousser un petit miaulement de détresse… Peut-être que ce gentil bonhomme comprendra son problème… - Veux-tu bien te taire, tu risques de réveiller les enfants ! Si tu veux m'accompagner, il faut rester silencieux. Aussi silencieux que la neige qui tombe. Le bonhomme était en train de déposer des paquets auprès de deux paires de chaussons, tout petits, si petits qu'ils disparaissaient sous les paquets. - Tu vois, ici c'est pour Mélanie ; elle a commandé un poney en peluche et une piscine magique. Là c'est pour Eric, il a demandé un "établi de moulage" et une "batmobile". Et regarde comme ils sont gentils tous les deux, ils ont laissé une tasse de lait et des biscuits pour moi. Ils savent que je suis un peu gourmand, tu comprends, et puis ça me redonne des forces… Hé ! Mais qu'est-ce que tu fais ? Le petit chat s'était jeté sur le lait et qu'il le lapait en s'étranglant tellement il allait vite. De retour au traîneau, le Père Noël s'approcha des rennes avec un air mystérieux. - Regardez qui va passer la nuit avec nous ! Il sortit de sa poche une petit boule de poils ébouriffés et aux babines barbouillées de lait. - Il avait si faim, le pauvre chaton, que j'ai partagé mon goûter avec lui… enfin, disons qu'il m'en a laissé quelques gouttes ! Allez les rennes, aux suivants. Le petit chat garda les yeux écarquillés toute la nuit. Jamais il n'avait vu autant de belles choses, jamais il n'avait vu autant de couleurs scintillantes, jamais il n'avait vu autant de jouets, et jamais il n'avait crû que quelqu'un pouvait avoir autant de joie à déposer dans les maisons toutes ces merveilles. A la fin de sa tournée, le Père Noël rentra dans une demeure où brillait une lampe de chevet dans une chambre. Des pantoufles de grand-mère attendaient près du lit. - Tu vois, ici habite une gentille mamy qui m'a écrit pour me demander un cadeau. Elle voudrait quelque chose qui puisse la distraire pendant ses longs jours solitaires, et qui en même temps attirerait ses petits enfants pour qu'elle les voit plus souvent. Alors j'ai pensé à toi. Tu seras heureux ici, regarde comme tout est accueillant. Tu seras bien au chaud et je suis sûr que tu te régaleras… les grand-mères savent si bien faire la cuisine ! Mais chut… ne dis à personne que tu m'a accompagné cette nuit. Il déposa doucement le petit chat dans une pantoufle, lui fit un gros bisou, et attendit qu'il s'endormit, le museau niché dans les pattes, le cœur à jamais étoilé de cette merveilleuse nuit de Noël. Joyeux Noël à vous et vos proches |
Déposé par KEKER le 16/12/2016«Il y a quelque chose de plus fort que la mort, c’est la présence des absents, dans la mémoire des vivants.» (Jean d’Ormesson). |
Déposé par biscuit le 03/12/2016Que les étoiles éloignent notre tristesse que les fleurs remplissent notre coeur de beauté que l'espoir essuie nos larmes a jamais que le silence nous rende fort. pensée Amérindienne. mais que le souvenir de ce passé si fragile a notre âme ,notre amour pour nos petits anges ne s'éteigne a jamais,que la lueur de cette flamme brille pour toujours dans notre chair meurtri, afin d'y apporter un peu de lumière ,de sérénité et apaise notre douleur,afin que leur sommeil soit en paix.... |
Déposé par mistigri13 le 28/09/2016Quand on veut jouer tous ensemble on va sur un grand nuage et quand je veux prendre un peu de temps pour penser à toi, pour veiller sur toi, je reste sur mon petit nuage et je te regarde avec plein d'amour dans le regard... Ce que je préfère, c'est te voir sourire...Je ne t'oublierai jamais !!!Je t'aime!!! |
Déposé par mistigri13 le 21/09/2016Lorsqu'ils disparaissent nos petits compagnons laissent de belles empreintes de pattes à tout jamais dans nos cœurs. C'est comme un ange. Il vient dans nos vies pour les remplir d'amour et s'en va un jour tout en continuant de veiller sur nous. |
Déposé par mistigri13 le 18/09/2016Mon chat, mon ami. Toi qui est entré dans ma vie. Toi qui m'as apporté plein de bonheur. Et, même parfois, un peu de malheur. Toi, mon chat. Sache que j'ai aimé Te chatouiller et te caresser Le matin, t'entendre miauler. Dès qu’on était réveillé Pour avoir ta pâtée. Car tu savais nous charmer. Avec tes miaulements mélodiques et tes mouvements si gracieux. Tu faisais de nous des êtres heureux. Tu étais toujours très drôle dans tes jeux imaginaires. Tu nous faisais rire sans en avoir l'air. Jamais on ne t'oubliera. Car, dans nos coeurs, tu resteras. Ne soyons pas tristes de t'avoir perdu. Mais soyons reconnaissants de t'avoir eu. Car, c'est ainsi, et la vie continue. |
Déposé par GHETGHET le 16/09/2016Je suis seul Pourquoi suis-je si seul, mon chat, Si seul lorsque tu n'es pas là ? Tu ne fais pourtant aucun bruit. Tu dors, fermé comme la nuit. Tu ne tiens guère plus de place Que mon plus gros livre de classe. Et qui croirait que tu respires Bercé comme un petit navire ? Alors pourquoi, pourquoi, mon chat, Suis-je tout autre quand je vois, Sur mon papier blanc, le soleil Tailler l'ombre de tes oreilles ? ( Maurice Carême ) |
Déposé par GHETGHET le 12/09/2016l'AMIS LE CHATS celui qui te connais par ta voix , par ton pas , celui qui vient en passent te parler de ces chasse et de ces nuit de prince errant , celui qui donne sans demander , celui qui par sans dire adieu , l'amis , le chats ( Luce Guillaud ) |
Déposé par biscuit le 07/09/2016La petite espérance *********** C'est la petite lumière qui brille au fond du cœur Et nul au monde ne saurait l'éteindre. Si ton cœur est brisé, malheureux, éperdu, Si ta vie est triste, monotone, sans saveur, Si l'angoisse parfois et souvent te saisit, La petite espérance est là, au fond de ton cœur Qui va te permettre de remonter la pente. Elle est le doux printemps qui surgit après l'hiver, Elle est ta bonne étoile qui scintille dans le ciel, Elle est le souffle du vent qui chasse les nuages... Si tu te crois sans force, sans idée, sans espoir, Tout au fond d'une impasse, dans le noir d'un tunnel, Si tu n'as plus le gout à rien, ni même celui de vivre... La petite espérance est encore là, au fond de ton cœur Qui te donne du courage quand tout semble fini. Elle est la goutte d'eau pure qui jaillit de la source Le bourgeon qui permet à l'arbre de reverdir La clarté du jour, là-bas, au bout de la nuit. Merci d'être toujours là, ma petite espérance, tout au fond de mon cœur Ma merveilleuse lampe magique où je puise tous mes rêves, Toi qui ne connais pas le mot fin |
Déposé par GHETGHET le 05/08/2016 BIBOU en ton ETRE , en ton AME , tu donne pleins d'AMOURS , ton AMOURS es LUMIERES , ton AME es LUMIERES , ton départ assombrie la vue , la vue de ton physique , ne te vois , un ressenties , un ressenties de ton AMOURS en ton AME qui es infini , une AME es infiniment vivantes , la PAIX es en ton AME pleins d'AMOURS , de ton AME d'AMOURS et de LUMIERES , ton AME es lié aux AME qui t'AIME avec un AMOURS de plénitudes , en expansions , l'univers es infini , en expansions , laissent place aux AMOURS infini , aux LUMIERES , les moments sont a l'infini , rien n'es fini , vos rencontres , que vos AME se rencontres avec AMOURS a l'infini , a chaque instants , tu es l'AMOURS de s'eux qui t'AIME , leur plénitudes , l'ami(e) qui a acquis leur AME , ton AME leur a séduit d'AMOURS , de ta Bonté , de respects , tu es , vous êtes , a l'infini lié d'AMOURS , ils t'AIME a l'infini de tous leur AME PAPA-GHETGHET |
Déposé par GHETGHET le 31/07/2016Je clame Que la vie est indestructible Malgré la mort. Que l’autre est un frère Que l’espoir est un vent vif qui doit balayer le désespoir avant d’être un ennemi. Qu’il ne faut jamais désespérer de soi-même et du monde. Que les forces qui sont en nous, les forces qui peuvent nous soulever, sont immenses. Qu’il faut parler d’amour et non les mots de la tempête et du désordre. Que la vie commence aujourd’hui et chaque jour et qu’elle est l’espoir. Martin Gray |
Déposé par GHETGHET le 22/07/2016Je me suis simplement glissé dans une autre dimension... La mort n'est rien. Je suis MOI et tu es TOI. Tout ce que nous avons été l'un pour l'autre, nous le sommes toujours! Appelle-moi par mon nom familier, Parle-moi comme tu l'as déjà fait. Que le ton de ta voix ne soit pas différent! Ne prends pas un air solennel ou chagrin. Ris, comme tu as toujours ri. Amuse-toi des petites plaisanteries que nous aimions. Joue, souris, pense à moi et prie pour moi ! Que mon nom continue à être prononcé dans la maison, sans ombre de tristesse. Que la vie soit ce qu'elle a été. Il n'y a qu'une invincible continuité. Pourquoi serais-je hors de vos esprits parce que je suis loin de votre regard? Je vous attends, pour un intervalle, quelque part, très près d'ici. Tout est bien. Cannon Scott Holland |
Déposé par GHETGHET le 15/07/2016Toi que j’avais besoin D’embrasser, De toucher, de regarder, Toi qui t’en es allé, Dont le souvenir Est si vivant en moi, Toi qui as disparu De ma vie quotidienne, De mes allées et venues, Je sais que tu es là, Je sais que ton absence Provoque ma présence, Non pas à de vains souvenirs, Mais à une autre façon D’être présent à toi, D’être aimé de toi, Non pas comme une fleur fanée, Mais comme une fleur Dont, un jour, le parfum Te retrouvera. Père André-Marie |
Déposé par GHETGHET le 01/07/2016Je t'aime encore si fort que ta vie est en moi. Ton horizon est différent mais mon amour est là, vivant, Tes souvenirs me réchauffent de toi Ils sont comme l'ombre, preuve de lumière Si les larmes parfois viennent arroser mon coeur C'est que, jardin fleuri, il embaume encore de ta présence silencieuse. Si parfois ma souffrance veut prendre le dessus, c'est preuve que je t'aime et que rien ne pourra t'arracher de ma vie Père André Marie |
Déposé par GHETGHET le 26/06/2016Toi la présence dans l'absence Toi la parole dans le silence Je ne te trouve nulle part Nulle part ailleurs... que partout Tu es la saveur et le sens De ce qui jamais ne finit Dans les moments de soif intense Tu m'as abreuvé d'infini Mon bonheur d'être, ma source vive Le beau poème de mes jours Je te rejoins sur l'autre rive Là où patiente ton amour Je t'ai rêvé de part en part Dans des instants de rien du tout Je ne te trouve nulle part Nulle part ailleurs... que partout Tu donnes sens à mon existence Je ne peux oublier ce jour Où frôlée d'un amour immense Je t'ai senti là tout autour Comme le doux murmure du vent Fredonne une chanson de ciel Rien ne sera plus comme avant Je ne vis plus que d'essentiel Mon bonheur d'être, ma source vive Le baume à mes peines d'avant Tu ensoleilles ce qui m'arrive Autour de moi et au-dedans Je t'ai rêvé de part en part Dans des instants de rien du tout Je ne te trouve nulle part Nulle part ailleurs... que partout Longtemps c'est vrai je t'ai cherché Sans voir que tu étais toujours Tout près de moi à peine caché Dans les recoins de mon amour. Toi la présence dans l'absence Toi la parole dans le silence Je ne te trouve nulle part Nulle part ailleurs... que partout. Fabienne Marsaudon |
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