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En hommage à
MAINE-COONVladimir
Il est né le:02/05/2004
Il nous a quittés le:30/12/2015
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34 messages
Déposé par annie le 30/12/2018🎄❤️🎄❤️🎄❤️🎄❤️🎄❤️🎄❤️🎄❤️🎄❤️🎄❤️🎄❤️ |
Déposé par mistigri13 le 30/12/2016Ne sois pas triste, je suis toujours à tes côtés. Mon corps est parti, mais mon âme est là tout près de toi. Je t'envoie la brise de mon âme pour que tu continues à penser à moi et pour te montrer que où que je sois je continue à t'aimer. |
Déposé par GHETGHET le 19/10/2016Assis sur les genoux du temps, Mon chat,immobile et patients, Fait semblant d’être un sablier, J’entends ses moustaches crisser. Les meules, dans les champs, sont de grandes horloges Qui tictaquent de sauterelles. Les chaumes marquent midi Et boivent à la paille Des giclées de soleils. Les martinets fouettent le ciel, Mais ça ne le fait guère Avancer pour autant ! Les serpents, minutes lentes, Glissent dans les roselières. Tout près de mon étang secrets, Poussent de grandes sarbacanes Qui lancent vers le ciel Des flèches de lumières A contre-courants, Que seul mon chat discrets comprend. (Christian Poslaniec) |
Déposé par GHETGHET le 01/10/2016La vie du chat contient une époque, concentre une parcelle de notre vie, elle est une sorte de mesure du temps et une mémoire, elle contient une expérience commune, un morceau de notre histoire, une parcelle de notre temps perdu. Quand le chat mourra, ce sera comme la fin d'un temps, la fin d'une période. L'extinction d'une partie de nous-mêmes avec l'extinction du chat. Karine Miermont |
Déposé par GHETGHET le 16/09/2016Je suis seul Pourquoi suis-je si seul, mon chat, Si seul lorsque tu n'es pas là ? Tu ne fais pourtant aucun bruit. Tu dors, fermé comme la nuit. Tu ne tiens guère plus de place Que mon plus gros livre de classe. Et qui croirait que tu respires Bercé comme un petit navire ? Alors pourquoi, pourquoi, mon chat, Suis-je tout autre quand je vois, Sur mon papier blanc, le soleil Tailler l'ombre de tes oreilles ? ( Maurice Carême ) |
Déposé par GHETGHET le 12/09/2016l'AMIS LE CHATS celui qui te connais par ta voix , par ton pas , celui qui vient en passent te parler de ces chasse et de ces nuit de prince errant , celui qui donne sans demander , celui qui par sans dire adieu , l'amis , le chats ( Luce Guillaud ) |
Déposé par GHETGHET le 31/07/2016Je clame Que la vie est indestructible Malgré la mort. Que l’autre est un frère Que l’espoir est un vent vif qui doit balayer le désespoir avant d’être un ennemi. Qu’il ne faut jamais désespérer de soi-même et du monde. Que les forces qui sont en nous, les forces qui peuvent nous soulever, sont immenses. Qu’il faut parler d’amour et non les mots de la tempête et du désordre. Que la vie commence aujourd’hui et chaque jour et qu’elle est l’espoir. Martin Gray |
Déposé par GHETGHET le 22/07/2016Je me suis simplement glissé dans une autre dimension... La mort n'est rien. Je suis MOI et tu es TOI. Tout ce que nous avons été l'un pour l'autre, nous le sommes toujours! Appelle-moi par mon nom familier, Parle-moi comme tu l'as déjà fait. Que le ton de ta voix ne soit pas différent! Ne prends pas un air solennel ou chagrin. Ris, comme tu as toujours ri. Amuse-toi des petites plaisanteries que nous aimions. Joue, souris, pense à moi et prie pour moi ! Que mon nom continue à être prononcé dans la maison, sans ombre de tristesse. Que la vie soit ce qu'elle a été. Il n'y a qu'une invincible continuité. Pourquoi serais-je hors de vos esprits parce que je suis loin de votre regard? Je vous attends, pour un intervalle, quelque part, très près d'ici. Tout est bien. Cannon Scott Holland |
Déposé par GHETGHET le 15/07/2016Toi que j’avais besoin D’embrasser, De toucher, de regarder, Toi qui t’en es allé, Dont le souvenir Est si vivant en moi, Toi qui as disparu De ma vie quotidienne, De mes allées et venues, Je sais que tu es là, Je sais que ton absence Provoque ma présence, Non pas à de vains souvenirs, Mais à une autre façon D’être présent à toi, D’être aimé de toi, Non pas comme une fleur fanée, Mais comme une fleur Dont, un jour, le parfum Te retrouvera. Père André-Marie |
Déposé par GHETGHET le 01/07/2016Je t'aime encore si fort que ta vie est en moi. Ton horizon est différent mais mon amour est là, vivant, Tes souvenirs me réchauffent de toi Ils sont comme l'ombre, preuve de lumière Si les larmes parfois viennent arroser mon coeur C'est que, jardin fleuri, il embaume encore de ta présence silencieuse. Si parfois ma souffrance veut prendre le dessus, c'est preuve que je t'aime et que rien ne pourra t'arracher de ma vie Père André Marie |
Déposé par GHETGHET le 26/06/2016Toi la présence dans l'absence Toi la parole dans le silence Je ne te trouve nulle part Nulle part ailleurs... que partout Tu es la saveur et le sens De ce qui jamais ne finit Dans les moments de soif intense Tu m'as abreuvé d'infini Mon bonheur d'être, ma source vive Le beau poème de mes jours Je te rejoins sur l'autre rive Là où patiente ton amour Je t'ai rêvé de part en part Dans des instants de rien du tout Je ne te trouve nulle part Nulle part ailleurs... que partout Tu donnes sens à mon existence Je ne peux oublier ce jour Où frôlée d'un amour immense Je t'ai senti là tout autour Comme le doux murmure du vent Fredonne une chanson de ciel Rien ne sera plus comme avant Je ne vis plus que d'essentiel Mon bonheur d'être, ma source vive Le baume à mes peines d'avant Tu ensoleilles ce qui m'arrive Autour de moi et au-dedans Je t'ai rêvé de part en part Dans des instants de rien du tout Je ne te trouve nulle part Nulle part ailleurs... que partout Longtemps c'est vrai je t'ai cherché Sans voir que tu étais toujours Tout près de moi à peine caché Dans les recoins de mon amour. Toi la présence dans l'absence Toi la parole dans le silence Je ne te trouve nulle part Nulle part ailleurs... que partout. Fabienne Marsaudon |
Déposé par GHETGHET le 24/06/2016Tu es parti en emportant une part essentielle de moi-même Que vais-je faire maintenant de nos projets de nos je t'aimes Et tu me vois,perdu,errant là,au milieu des chrysanthèmes Tu es parti en emportant une part essentielle de moi-même. Il y aura toujours une lampe qui brilles Il y aura toujours une lampe allumée Tu es parti en emportant l'essentiels de mon existence Que vais-je faire maintenant de ces journées sans importance Je n'ai plus rien que seulement une présence dans l'absence Tu es parti en emportant l'essentiels de mon existences Tu es parti en me laissant bien plus qu'une immense blessure Que vais-je faire maintenant de toutes mes journées si dures Mais tu me pousses je le sens à inventer ma vie future Pour aller encore de l'avants je ferai de mon mieux,je te l'assures de Jean-Claude GIANADDA |
Déposé par biscuit le 21/01/2016Regard de chat Dans l’eau pure d’un lac profond C’est tout le soleil qui se mire, Une énigme tombée au fond D’un puits secret qui vous attire… Passablement reflet sorcier D’une lune mystérieuse, Se faisant parfois messager De méditation nébuleuse. Deux prunelles et deux bijoux Descendus d’une autre planète Où, grand jamais, pauvres de nous N’aurons accès, je le regrette. C’est là leur pouvoir et beauté Ainsi qu’étrange phénomène, Un regard de tous, convoité, Cadeau d’une étoile lointaine |
Déposé par biscuit le 20/01/2016pour toi mon petit chat adorè, Avec toi je n'ai pas peur d'être ce que je suis, Avec toi je n'ai pas peur de ce que je te confis, Je me sens juste vivre, Je me sens juste sourire... Je n'ai peut-être pas des ailes dans le dos, Je n'ai peut-être pas l'allure d'un oiseau, Mais je t'ai toi, Et c'est tellement plus que tout ça... Tant que tu seras à mes côtés à veiller sur moi, Je n'aurais pas peur d'affronter la réalité, Car tu es celui qui est le plus important a mes yeux, Car tu es celui qui nous à tant apporté Juste un dernier vers, Pour te dire qu'à travers, Toi, Je me sens moi..., |
Déposé par biscuit le 19/01/2016Pour toi trésor. Le cœur brisé je suis partie. A la maison je t’ai cherchée. Au jardin j’ai cru apercevoir ton ombre mais c’était la mienne. Le temps qui m’a paru si court avec toi à mes côtés S’étire, n’en finit pas et pourtant c’est déjà demain comment ais je survécu à cette nuit sans toi ? Je te cherche, tu es là sur le tapis. Mais non ce sont mes larmes qui brouillent ma vue. Des jours,des mois ont passé... Le vent dans les rideaux Un bruit comme des pattes sur le parquet, non le chagrin ne m’a pas rendu folle. Tu es là tout prés dans mon cœur à l’abri mon chat, mon ange… |
Déposé par biscuit le 17/01/2016Puisque l'ombre gagne Puisqu'il n'est pas de montagne Au-delà des vents plus haute que les marches de l'oubli Puisqu'il faut apprendre A défaut de le comprendre A rêver nos désirs et vivre des "ainsi-soit-il" Puisque tu pars Que les vents te mènent où d'autres âmes plus belles Sauront t'aimer mieux que nous puisque L'on ne peut t'aimer plus Sache qu'ici reste de toi comme une empreinte Indélébile Sans drame, sans larme Pauvres et dérisoires armes Parce qu'il est des douleurs qui ne pleurent qu'à l'intérieur Puisque ta maison Aujourd'hui c'est l'horizon Dans ton histoire Garde en mémoire Notre au revoir Puisque tu pars |
Déposé par biscuit le 16/01/2016Pour toi mon chat Je garderai ton odeur tout au fond de mon cœur Je garderai le souvenir de tes fêtes tout au fond de ma tête Je garderai ces moments en or tout au fond d'un trésor Je garderai ta joie de vivre tout au fond d'un livre Je garderai ta gourmandise tout au fond d'une valise Je garderai ton collier tout au fond de mes pensées Je garderai tout ce qui te plais tout au fond d'un secret Je garderai ton amour tout au fond d'une tour Je garderai tout ce que tu aimes tout au fond d'un poème Tout çà pour dire que je garderai un petit bout de ton regard tout au fond de ma mémoire. |
Déposé par biscuit le 15/01/2016Seigneur Dieu, Ceux qui n'ont jamais eu d'animal de compagnie, Trouveront étrange cette prière, Mais Vous, Seigneur de Toute Vie et Créateur de Toutes les créatures, Vous comprendrez. Mon coeur est lourd, Car je viens de perdre ma(mon) compagne(compagnon) bien-aimé(e), Celle (celui) qui faisait tellement partie de ma vie. Cette compagnie a rendu ma vie plus agréable, Elle m'a permis de rire et de trouver la joie auprès d'elle. Et sa présence me manquera. Avec elle j'ai appris plusieurs leçons, telles la valeur du naturel Et la quête d'affection spontanée, Soucieux de répondre à ses besoins quotidiens, J'ai cessé de penser uniquement à mes propres besoins Et j'ai ainsi appris à être utile aux autres. Puisse la mort de cette créature qui est la Vôtre Me rappeler que la mort attend chacun de nous, Animaux comme les humains, Et qu'elle est un passage naturel pour toutes les formes de vie. Puisse (nom de l'animal) dormir d'un sommeil paisible et éternel sous Votre Divine protection En attendant la plénitude et la libération de toute la création. |
Déposé par biscuit le 14/01/2016Il y a des souffrances qui pèsent des tonnes Et pour ne pas que tout espoir nous abandonne On joue le rôle de celui pour qui tout va bien Pourvu que les autres n'en sachent rien On fait au mieux pour sauver la face Pour que notre entourage ignore par où l'on passe On rit on danse on fait les fous comme à Venise Mais quoiqu'on fasse mais quoiqu'on dise Les blessures qui ne se voient pas Nous font du mal bien plus que toutes les autres On les enferme au fond de soit Mais est-ce que toute une vie on les supporte ? L'orgueil nous aide à tenir le coup Apparemment on pourrait même faire des jaloux C'est à nous même que l'on se joue la comédie Pour s'inventer qu'on est guéri Les blessures qui ne se voient pas Nous font du mal bien plus que toutes les autres On les enferme au fond de soit Mais est-ce que toute une vie on les supporte ? Ces blessures là Qui ne se voient pas Il y a des souffrances qui pèsent des tonnes Et que ne pas que tout espoir nous abandonne Il faut se dire que tôt ou tard on va guérir Les blessures qui ne se voient pas Parfois semblent avoir perdu nos trace Et quand on ne s'y attend pas Sans que jamais les autres le sachent Elles remontent à la surface Et nous fusillent une fois encore Les blessures qui ne se voient pas Qui nous font du mal bien plus que toutes les autres Ces blessures là Qui ne se voient pas on vit avec chaque jours vous nous manquez nos petits amours, |
Déposé par biscuit le 13/01/2016Ce n'est qu'un chat.... Je me souviens de cette femme, un soir, qui pleurait... C'était chez des amis. On se donnait des nouvelles des enfants. Elle avait dit simplement : "Mon petit chat est mort". Et elle s'était mise à pleurer... Et, dans un coin du salon, un monsieur avait dit à un autre en haussant les épaules: "Ce n'est qu'un chat, quand même !..." Ce n'est qu'un chat !... Mais c'est immense un chat, vous ne savez pas Monsieur ? C'est immense... Vous n'en avez pas, évidemment, et vous ignorez que l'on peut avoir, lorsqu'il s'en va à tout jamais, autant de chagrin que s'il s'agissait d'un enfant... Aux gens qui n'en ont pas, çà paraît sacrilège... Comment peut-on comparer, n'est-ce pas ? C'est parce que vous ne savez pas Monsieur. Vous ne savez pas la place que ça prend, un chat dans une vie - ces yeux d'or qui vous dédient un regard d'éternité, cette patte douce qui se pose sur votre main, ces mouvements qui sont la beauté et la grâce et dont chacun exprime une sensation , un sentiment, et cette tête ronde et dure qui se colle à votre tempe pour vous dire je t'aime aussi... Tout cela, Monsieur, vous ne le savez pas et quelque chose vous manque. Mais je ne sais pas si je dois vous plaindre ou vous envier... Parce que vous ne tremblez pas chaque fois qu'il tousse, ou éternue, ou n'a pas faim ; chaque fois qu'il s'est battu et que l'on cherche dans son poil, la trace des morsures et des griffes ; chaque fois qu'il rentre tard et que l'on ne sait pas si, dans la rue, un imbécile, qui roulait trop vite, ne la pas projeté contre un mur, désarticulé, brisé... Mais vous ne connaîtrez jamais non plus, c'est vrai, le bonheur d'un amour gratuit partagé. Parce que les chats, Monsieur, c'est tout le contraire de ce que certains racontent : c'est tendre, c'est bon, c'est fidèle, c'est lucide, c'est intelligent, c'est doux et ça vous dit des choses... Tant de choses !... Dors, ma petite Moune, dors... Tu sautais moins bien ces jours-ci... J'ai dit à ta maman : "Il saute moins bien... Il vieillit, peut être ?... Il a hésité dix fois avant de bondir sur le rebord de la fenêtre..." Je ne veux pas y penser. Il sera bien temps... Ce qui doit arriver un jour, c'est vrai pour tout le monde. Mais ça ne nous console pas de le savoir... Alors j'aurais voulu la prendre dans mes bras, cette femme que je connaissais à peine, et qui pleurait, et j'aurais voulu lui dire : "Je vous comprends... Pleurez tant que vous voudrez, pleurez sans vous soucier des autres. Eux ne savent pas et moi si..." Philippe Ragueneau |
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